Voila une réedition qui fait plaisir ; dans ce jeu malin comme cochon (d'inde) il faut savoir garder (à) sa main pour tirer partie du meilleurs de certains territoires , celà permettant d'acquerir diverses matieres 1ere et de construire des palais tout ceci donc avec des cartes. La force de sieur knizia c'est d'entremeler plusieurs styles de jeux (carte, placement , enchére...) en un seul et de rendre le tout fluide et efficace. Bref au delà de toutes explications rien ne vaut une partie sur la route embûchée des Indes.
Je ne veux pas descendre ce jeu, mais après plusieurs parti je m'ennuie toujours autant.
Première partie j'apprends les règles avec des joueurs expérimentés une légère défaite mais bon beaucoup de tatonement qui gache un peu le plaisir.
les parties suivantes les macanismes son acquis la stratégie se met en place et paf j'ai le sentiment que la chance a une certaine part.
Je m'explique quand on se retrouve a 3 ou 4 a faire des enchères chacun vise a obtenir quelque chose et souvant seul celui qui ne s'est pas engagé sort victorieux car les autres pour pouvoir obtenir un avantage sont obligé de se saigner a moins d'avoir eut un peu de "chance". Jouer une couleur que les autre n'avait pas, c'est vrai que nous avons une habitude de jouer en bloquant les autre au lieux de nous développé a beaucoup de jeu.
Après les "cartes avantages" (je ne rappelle plus du nom, sont disproportionné. Comme le +2pt
A coté de ca la matos est sympa bien que je ne le trouve pas exceptionnel.
En résumé je trouve ce jeu sans réel relief, j'ai un sentiment partagé car j'ai bien envie de refaire une partie tout en ayant le sentiment que contrairement a un puerto je ni trouverais pas trop de plaisir
Bon, je ne vais pas m'apesantir:
C'EST UN BON KNIZIA!
Des cartes, oui. Un plateau utile (y'a beaucoup de jeux de cartes où le plateau est là... pour augmenter le prix. Ici, ce n'est pas le cas) Une règles touffue, mais simple. Des mécanismes subtils avec de nombreux petits paramètres à suivre pour gagner.
Un aspect stratégique important mais simple à appréhender...
J'aime bien. D'ailleurs, je vais l'acheter.
**J'aime :**- thème
- design
- enchères
**J'aime moins :**- règles difficiles et mal rédigées
- sensation de pouvoir creuser un écart irratrapable en 1 ou 2 provinces
- froideur du système de jeu (très calculatoire sans se sentir vraiment dans le thème)
*Très déçu car les commentaires laisser entrevoir un must du jeu de plateau. Content de l'avoir acheté en super promo.
Je reviendrai peut-être sur mon avis après plusieurs parties...*
Il n'y a aucun doute, Knizia est un (le ?) des plus grands concepteurs de jeu de tous les temps. Presque tous ses jeux sont des petites perles et certains sont du pur plaisir comme celui-là.
Sur un principe connu à la Camelot/condotière/Iliade, Knizia renouvelle totallement le genre avec tout plein de petites subtilités qui rendent ce jeu unique. Beaucoup de possibilités différentes de gagner des points de victoires, cela rend le jeu riche, mais parfois un peu frustrant. On ne maîtrise pas toujours les conséquences de certains choix. Mais la tension est présente jusqu'au bout et chaque tour de jeu est un vrai bonheur. Du grand Knizia.
pour l'instant, je m'ennuie. Avis à revoir après plusieurs parties...Confirmation, voilà un jeu qui me laisse de marbre. Pouf, à l'échange contre un bon pique plume !
Ce jeu est tellement chaleureux... les couleurs très belle et le plateau aussi..rien que ça donne envie d'y jouer.
Il y a de la stratégie pour arriver à ses fins. Le reproche c'est le hasard par les cartes.
Ce jeu est familial et peut permettre à des personnes non habituée de vouloir s'intéresser et aller plus loin dans d'autres jeux plus stratégiques
Je le recommande vivement
Qu'on soit clair, Taj Mahal n'est pas un mauvais jeu, loin de là. Mais il ne justifie pas son prix. Le matériel est basique, le plateau minuscule et peu travaillé... De plus, j'ai eu l'impression que les choix étaient partiels et finalement très dépendants des actions des autres joueurs qui sont par définition imprévisibles, ou encore du hasard de la pioche... Le système d'enchère est bon, certes. Mais c'est tout ?
J'adore ce type de jeu. J'adore ce jeu. Pourquoi ?
Première raison: un apprentissage rapide. Autant dire que l'acquisition de la première province sert d'espace d'apprentissage.
Deuxième raison: le bluff. Gérer sa main et se prendre pour un boeuf ou faire croire que l'on est un boeuf alors que l'on est qu'une petite grenouille, c'est géant. C'est du poker. Savoir s'arrêter à temps pour ne pas tout perdre. Mais aussi faire fléchir ses adversaires en leur faisant croire n'importe quoi.
Troisième raison: un jeu tactique voire stratégique. Gérer sa main pour gagner au tour n+2 ce qui vaut vraiment la peine, tout en nuisant au tour n et n+1, là est la finesse du jeu.
Fortement inspiré de Condottiere, avec un peu d'Aventuriers du Rail et des morceaux de Louis XIV dedans, un bon gros jeu, annoncé pour 1h, 2h minimum pour peu que chacun réfléchisse un brin. Le thème aurait pu être tout autre, mais celui-ci, rarement utilisé, est très sympa.
Le plusse mieux stratégique est bien entendu de choper via les zéléphants la carte du territoire : c'est extrèmement payant en fin de partie, si les zautres joueurs vous les laissent. Mais, une fois connu ce fait, les parties sont très équilibrées. Entre joueurs avertis, il faut être fort et avoir économisé au préalable pour passer un coup fourré très gratifiant. C'est donc au point près qu'on calcule, et c'est jubilatoire de réaliser un coup qu'on préparait de longue date.
Bref, c'est complexe, gratifiant, riche, mais moyennement fun. Pour joueur aguerris donc...
C'est le genre de jeu qui ressort souvent. Des tactiques multiples, une intéraction avec la phase d'enchère qui est prenante, voila déjà de bons ingrédients.
Ce jeu est super si on passe sur la charte graphique qui peut en rebuter quelques un.
Evidemment, quand on joue à ce genre de jeu, il vaut mieux savoir où on met les pieds, ou plutôt les neurones.
Il faut savoir qu'on ne va pas passer la soirée à se rouler sur la moquette en se tenant les côtes, ni faire le tour de la pièce en sautillant sur son derrière; ce n'est ni Tme's Up, ni Jungle Speed.
On va plutôt la passer en se frottant les tempes en regardant son paracétamol se dissoudre gentiment pendant que le joueur suivant réfléchit en silence.
Donc, ce n'est pas la peine de venir se plaindre après, il vallait mieux être averti avant.
Cela étant, dès lors qu'on sait où on va, et si éventuellement on aime ça (car il y a des gens qui aiment ça ! j'vous raconte pas...), on ne risque pas d'être déçu.
C'est à dire, si on a envie de jouer à un jeu allemand, c'est à dire un jeu hyper calculatoire au thème complètement factice, avec de la gestion, des enchères, du placement et un système de décompte capillo-tracté comme y'a pas, servi par un matériel irréprochable, ben... on peut essayer de jouer à Taj-Mahal.
Un grand Knizia.
Une seule partie joué au moment de cet avis, mais envie de rejouer.
Le jeu n'est pas trop compliqué à comprendre quand on l'explique à l'endroit.
Le système d'enchère est sympathique : on peut arrêter quand on veut pour encaisser ses dividendes (si on en a), mais on laisse le reste aux autres facilement.
Des choix importants sont à faire au cours de la partie : est-ce que je joue cette province, ou est-ce que je stocke des cartes pour la suivante? Est-ce que j'essaye de m'emparer des matières premières, ou est-ce que j'accumule les persos pour avoir des cartes spéciales? Est-ce que je prends les avantages avec mes palais, ou est-ce que je les place à des endroits stratégiques pour essayer de faire des chaines? Est-ce que je surenchéris pour gagner au risque de ne plus avoir assez de cartes à la prochaine province, ou est-ce que je laisse filer pour prendre des avantages plus tard?
De nombreux choix à faire, mais sans que ce soit la confusion, car l'échelle des choix se restreint au fur et à mesure du jeu de chacun, et parce que les cartes à disposition sont généralement limitées.
C'est un jeu où il faut savoir gérer à long terme, mais aussi faire des bons coups, et économiser pour la fin. Des équilibres subtils qui méritent bien d'autres parties pour les maitriser.
Car il faut savoir surenchérir, savoir passer, savoir gérer son stock de cartes...
On veut tjs plus au risque de tout perdre et en plus de cette tension et de cette incertitude il vous faut penser à mener une tactique...
Stock de carte, pose de pions, cartes à pouvoirs, collection de jetons, enchères et j'en passe...
Le jeu est riche, on score de nombreuses façons et pourtant tout ça reste simple et limpide...
Un jeu qui sort du lot par tous ses ingrédients qui le rendet unique, différent.
Nombre de parties: 4
Car il faut savoir surenchérir, savoir passer, savoir gérer son stock de cartes...
On veut tjs plus au risque de tout perdre et en plus de cette tension et de cette incertitude il vous faut penser à mener une tactique...
Stock de carte, pose de pions, cartes à pouvoirs, collection de jetons, enchères et j'en passe...
Le jeu est riche, on score de nombreuses façons et pourtant tout ça reste simple et limpide...
Un jeu qui sort du lot par tous ses ingrédients qui le rendet unique, différent.
Le mathématicien germanique réalise ici (enfin, avait réalisé en 1999), une œuvre d'art. La pureté, la finesse et l'équilibrage des mécanismes n'ont d'égale que la fluidité et le plaisir du jeu.
Comme dans la plupart des jeux de « Knizia », le thème est quasiment absent pour laisser transparaitre des mécanismes simples et finement articulés. Les règles sont intégrées en une seule lecture et ne contiennent aucune exception ou cas tordus. Les parties sont tendues avec des successions de petites décisions tactiques à prendre qui relèvent plutôt de l'adaptation à votre main de cartes du moment, mais l'ensemble se fait dans une stratégie globale qu'il convient de toujours considérer. Il faut estimer ses capacités de revenu, les axes selon lesquels on est fort et ceux ou l'ont est faible et qui méritent ou non d'être défendue. Donner une valeur à chacune de ses actions est primordiale, mais ce jeu est aussi fait d'opportunisme et je suis sur que l’on peut gagner en jouant au feeling.
La réédition de "Rio Grande/Ystari Game" est de qualité même si j'aurais aimé un relooking un peu plus poussé, mais dans ce cas l’éditeur aurait été obligé de changer le thème ;o)
"Taj Mahal" est donc bien un standard de ludothèque, la durée de partie annoncée à 60 minutes sur la boite devrait plutôt être donnée à 20 minutes par joueur. D'ailleurs, je trouve globalement que les durées devraient être annoncées par joueur pour ce genre de jeu, la durée de partie en étant linéairement dépendante.
Belle production d’une valeur sure, et belle nouvelle gamme de jeu "Vintage" de la part d'Ystari en attendant les "Princes de Florence".
En découvrant *Tadsch Mahal*, je redoutais au départ d'avoir affaire à une version revisitée de *Condottière*, dans laquelle les princes italiens auraient troqué leurs valeureuses montures contre des pachydermes enturbannés. Il faut dire que le docteur Knizia est également le digne auteur de *Camelot*, lui-même peu éloigné du classique de Dominique Erhard, et qu'on retrouve dans tous ces jeux le même système d'enchères/ majorités par pose de cartes. Ce n’est finalement pas le cas : si *Tadsch Mahal* est nettement plus difficile à appréhender que son faux jumeau transalpin, il est aussi bien plus riche, et nettement moins aléatoire. Les mécanismes fluides et ingénieux de Knizia ne surprendront plus grand monde, pas plus que le système tarabiscoté de décompte des points, mais ils sont toujours aussi savoureux, et ne révèleront leur richesse qu'avec de la pratique. Beaucoup de mécanismes viennent par ailleurs se greffer sur le système de jeu principal (cartes joker, palais...), ce qui accentue l'aspect calculatoire du jeu, mais offre des axes de développement multiples. Alors certes, c'est toujours un jeu de cartes, mais de la carte poids lourd, celle qui a fait de la gonflette, et qui fait mal aux neurones.
Beaucoup d'interaction, de tension, de bluff et d'intimidation dans ce jeu, et une subtile combinaison d'enchères et de placement qui ne laisse finalement qu'une faible part au hasard, puisqu'en gérant bien son timing on peut presque choisir sa main. Le matériel est quant à lui très élégant, malgré une thématique plaquée à grands coups de truelle, mais bon de la part de Knizia ce n'est pas non plus une très grande surprise. Pour moi, *Tadsch Mahal* n’est peut-être pas l’un des tous meilleurs Knizia, mais c’est en tout cas un jeu qui vaut largement le détour.
Taj Mahal à plusieurs qualités, le matériel donne envie de jouer , sous des dehors de jeu compliqué et lourd une fois commencé il est fluide et relativement simple, enfin après deux ou trois parties il est assez rapide. MAIS ! Il a aussi des défauts assez marqués, les cartes sont mal faites et induisent en erreur si ont ne fait attention, le jeu devient rapidement trop calculatoire, le thème est artificiel ce qui laisse une impression de froideur abstraite, en plus la règle est inutilement alambiquée.
Lointain cousin de Camelot que je préfère pour son côté chaotique et fun Taj Mahal reste quand même intéressant et je ne refuserais pas une partie de temps en temps.
La lecture des règles m'avait laissé un peu dubitatif, tout cela me semblait un peu brouillon et alambiqué.
En fait, il ne faut pas trop se laisser impressionner par les systèmes de décompte tordu à la Knizia. C'est avant tout un jeu de plis et d'enchères, enrobé juste comme il faut pour qu'il y ait un peu de réflexion mais pas trop, un peu de tension, et beaucoup d'interaction et de couinements.
Ceci dit, on ne contrôle pas tout et on a quand même parfois l'impression de ne pas pouvoir faire grand'chose. Comme le jeu est court, ce n'est guère gênant.
Certes, le thème est très artificiel, mais est-ce que ça empêche de se faire plaisir ?
*Nombre de parties : 5-10*
plus riche qu'un RA au niveau des mécanismes et de l'interet tactique
Jouable de 3 à 5, ma preference : à 3 joueurs car on contrôle mieux la repartition des palais pour les connexions & les cartes speciales circulent mieux
Beaucoup de tension pendant la partie, à l'instar des parties de poker : je joue, je passe ?
Des encheres tres astucieuses : un peu le système de camelot mais en mieux
Le systeme de score n'est pas si alambiqué que ça mais on reconnait bien la patte du maître !