Nombre de parties : 4
J'ai déja fait mieux comme accroche mais bon, on s'en contentera.
Voilà un jeu brillant qui continue de me prouver que je suis fan du genre (Piliers, Age de pierre ...)
Pour plus de précisions, lisez donc le test complet ICI
Essen 2019 est passé... alors un avis sur un très bon jeu de Essen 2009, ça vous intéresse ? Non ? Aller, soyez sympa, c'est Noël, dites moi oui quoi... et puis malgré une quinzaine de parties jouées je culpabilise un peu d'avoir rarement parlé de Vasco Da gama ici.
Pour commencer, un aveu : je ne suis pas très voyage. Non, c’est vrai, dans la vie, j’ai un petit coté casanier. Mais quand un jeu propose de partir à l’aventure quelque part dans le monde, je suis le premier à préparer mon baluchon. Vasco da Gama vous invite à devenir un fringant capitaine assoiffé de gloire et d'aventure, c’est quand même pas n’importe quoi : Voguer loin vers l’inconnu, découvrir de nouvelles terres et leurs populations, vivre des échanges culturels stimulants et accessoirement (à moins que se soit le principal), établir de nouvelles routes commerciales... ça fait rêver non ? Bon, évidemment, si le thème du jeu est attirant, il faut pas oublier que l’auteur est monsieur Paolo Mori ; "Heu...et alors ?" me direz-vous...Alors ? Et bien globalement, la thématique n’a pas la réputation d’être hyper-présente dans ses créations. Mais questions mécanismes, alors là, pas d’hésitation : Vasco da Gama est une vraie réussite.
A la fin de l'année 2009, ce jeu vous proposait des problématiques ludiques pas piquées des vers. Comme souvent dans un jeu typé « Ecole allemande », il faudrait pouvoir faire des tas de choses en même temps (et avant les autres), mais vos capacités d’action sont limitées et les moyens dont vous disposez dépendent notamment de votre savoir-faire pour gérer au mieux vos finances. Vous vous doutez bien que monter une expédition maritime à cette époque, ça demandait patience et courage certes, mais aussi des marins, des navires, des sous, un peu de réussite et parfois, il fallait se faire aider par des gens influents. Durant la partie, il vous faudra aussi être opportuniste car la concurrence est féroce. On retrouve donc un peu tout cela dans le jeu, et les différentes phases d’un tour vous feront ronger plus d’un ongle.
Vasco da Gama a surtout été loué pour son système d’actions : en choisissant certains jetons numérotés (et rien à voir avec une quelconque loterie, sachez-le bien), vous allez déterminer les actions que vous voudriez réaliser, dans quel ordre et à quel coût. Plus vous jouerez avant les autres, plus cela risque de vous coûter cher. Le soucis, c’est que ce coût peu varier après le positionnement de tout le monde, si bien que financièrement, il faut prévoir large, ou bien "parier" un peu sur une fluctuation avantageuse. Tout aussi intéressant, bien que plus classique, est le choix éventuel d’un perso pour recevoir un petit coup de pouce (Navire déjà armé, marin supplémentaire, une action en plus, des points-victoire et jouer premier).
Le mécanisme des expéditions est particulièrement retors et les places limitées dans les ports et les déplacements des navires rendent possibles des petites fourberies très amusantes... enfin, surtout pour ceux qui n’en sont pas victimes. Au sujet des expéditions, se dégagent je crois deux grandes stratégies : celle des petits navires et celle des gros navires. Pour les premiers, il faut essayer de lancer le plus possible d’expéditions, sachant qu’ils n’iront pas loin. Pour les seconds, il faut chercher à les placer le mieux possible pour leur faire atteindre l’étape ultime : Calicut.
Pour le choix des personnages, il y aurait semble-t-il des considérations stratégiques assez subtiles, par exemple en sélectionnant plus les uns que les autres... ou bien en essayant de "mixer" un peu tout ça. Mais naturellement, d’autres paramètres interviennent (et changent à chaque tour) comme celui des "couleurs" de marins à recruter (ils se recrutent par "lot" : oui, ben vous savez, les considérations sociales et le respect des masses laborieuses à l'époque...remarquez, maintenant, je sais pas si c'est mieux), la somme d’argent gracieusement offerte par monsieur Da Gama (un peu radin le gars des fois), le rang à partir duquel les actions sont payantes et les expéditions disponibles sur le tour...pour tout cela, l’auteur a glissé ici une part d’aléatoire bienvenue, afin d’éviter un jeu trop mécanique. C’est l'une des raisons pour laquelle une partie ne ressemble pas à une autre, contrairement à l’idée que le jeu serait un peu trop répétitif comme j’avais pu le lire par ailleurs. Il est important de souligner que Vasco da Gama se joue très bien sans rien perdre de son intérêt dans toutes les configurations indiquées sur la boîte (2 à 4 joueurs). Cependant, à 2 joueurs, j’y ai joué avec une petite variante que je vous recommande chaudement : pas de jeton action après le n° 15, ce qui rajoute une tension supplémentaire parfaite pour cette configuration.
Voilà, j’espère vous avoir donné envie de le trouver et de l’essayer où d'y rejouer. Vasco de Gama a été édité avec le design et le matériel désormais typique des "What’s your game?". Il avait bénéficié en plus d’une traduction dans la langue de Molière chez "Iello". Du coup, je me suis donné l'envie de le ressortir bientôt...
Voilà un jeu qui me désole...Je l’aime et pourtant je ne l’achèterai jamais. Il faut déjà des joueurs entraînés pour y jouer, et si vous faites une partie tous les 2 mois, il faut se replonger dans les règles. Non pas quelles soient hyper complexes, mais il y a des subtilités qui font que... : le placement payant, le prix de plus en plus cher pour des marins d’une même couleur (et capitaine) et surtout la position de votre navire qui, selon les fins de manche prendra de la valeur ou devra disparaître dans les fonds abyssaux.
Certes, Vasco est moins complexe que Madeira, mais quand même, j‘ai l‘impression à chaque fois d’être obligé de réapprendre le jeu...(mon alzheimer est peu être plus précoce que je ne veux me l’avouer..).
Iello une fois de plus avait tenté le coup du gros jeu, et a tapé juste, mais peut être trop fort. Ce jeu passé sous les lumières du phare, il mérite pourtant son arrêt au port.
N’hésitez pas à en faire une , voire 2, parties si on vous le propose, il le mérite
Je ne pense pas que les jeux sortis il y a quelques années étaient meilleurs que ceux de 2018 et pourtant mon dépoussiérage récent de Vasco de Gama me montre qu'il reste un des jeux que j'apprécie le plus et que je continuerai à y jouer quand j'aurai oublié les "bombes ludiques" qui explosent sans cesse autour de moi.
Ce jeu rassemble trois éléments qu'il est très rare de trouver associés aussi harmonieusement :
- planification
- prise de risque
- interaction
Le premier ingrédient en fait un jeu "à l'allemande" car il faut programmer avec cohérence ses futures actions pour optimiser ses tours.
Le deuxième élément qui gène souvent ceux qui apprécient les jeux sans aléa est la nécessaire prise de risque dans l'ordre des actions. Jouer en premier et payer ou jouer plus tard gratuitement mais avec moins de choix. Sachant qu'un astucieux système de sélection ne permet pas de connaitre précisément à l'avance le prix à payer. Certains n'y verront qu'une insupportable part de hasard là où je vois plutôt une incertitude à savoir gérer.
L'interaction est présente à double titre. Indirectement comme dans la plupart des jeux de placement d'ouvriers mais aussi très directement lors d'une phase de navigation où l'on peut franchement nuire à l'adversaire. Cette interaction est beaucoup plus forte que dans des jeux comme Scythe.
Il faut donc savoir être opportuniste pour réagir aux coups du sort mais la maitrise stratégique et une bonne connaissance du jeu sont des atouts maitres. La courbe de progression est réelle.
La meilleure preuve en est la présence de "personnages" que les joueurs peuvent recruter pour les aider. Certains aux bénéfices immédiats sont privilégiés des débutants alors que d'autres sont prisés des habitués.
Je trouve le thème en adéquation avec les mécanismes et le jeu est assez facile à expliquer car logique (achat de navires, puis d'équipage, puis de capitaines, puis mise à l'eau puis navigation). C'est un jeu pour joueurs expérimentés car même s'il n'est pas très complexe il faut rapidement avoir une vision globale de la situation sous peine de rater un ou deux tours et comme il n'y a que cinq tours de jeu !
Le jeu est moins tendu à deux et donc moins intéressant à mon goût même si une première partie à deux est idéale pour bien l'appréhender. Il est excellent à trois et impitoyable à quatre. Les parties durent environ 90 minutes.
C'est un jeu qui nécessite une réflexion solide mais souple. Aucune partie ne ressemblera à une autre. Les certitudes peuvent vous perdre car les chemins vers la victoire sont divers. Pour avoir essayé plusieurs approches (petits bateaux, gros bateaux, peu de personnages, beaucoup de personnages...) je peux vous garantir qu'aucune n'est infaillible mais que toutes sont envisageables à condition de bien les mener et de les adapter aux circonstances (et aux autres joueurs).
Je pense que vous pouvez trouver ce jeu d'occasion pour une vingtaine d'euros et dites-vous bien que pour le prix d'une figurine en plastique de KS, d'un sachet de pièces en métal ou d'un jeu jetable à la mode vous avez un excellent jeu.
Alors certes il a dix ans et n'est pas très beau selon les canons actuels mais est-ce le plus important ?
Les + :
Règles (en français) denses mais pourtant simples
Matériel est superbe
Fonctionne quel que soit le nombre de joueurs
Plein de petites choses intéressantes :
- principe de l’ordre du tour des actions
- prix des marins
- prix du capitaine
- certains rôles comme Girolamo Sernigi (qui permet de disposer d’un navire marchand pouvant modifier l’expédition ou la navigation) ou Manuel 1er (qui propose une action supplémentaire)
- la phase navigation
Pas de majoration de prix par rapport à l’édition What’s your game ?
Les - :
Nécessite (au moins) une première partie pour bien comprendre comment programmer au mieux ses actions
Pas de résumé des règles (pourtant bien utile)
Donc :
Très bon jeu où il faut savoir jouer la bonne action au bon moment. Merci Iello
Nombre de parties : 4
J'ai déja fait mieux comme accroche mais bon, on s'en contentera.
Voilà un jeu brillant qui continue de me prouver que je suis fan du genre (Piliers, Age de pierre ...)
Pour plus de précisions, lisez donc le test complet
[ICI](http://www.jedisjeux.net/vasco-de-gama-t-2638.html)
C'est ce que me disait ,hier ,mon concierge portugais, M.Da Silva, que j'initie certains soirs aux jeux de société, faut dire que dans mon immeuble parisien, y a que des artistes préoccupés par des urgences existentialistes plus importantes (dixit le voisin du dessous)
Donc lui, il aime bien :" à chette époque nous jettions lou maichtres dou mounde , cha a changé doupui lou mort dou chalajard, malourougement" ajoute-t-il de façon récurrente à chaque partie!
Bon ,moi j'adore ce jeu ,je vous le dis tout de suite et il fait partie de mon "must have" (même si le must have me monte au nez!)
C'est un subtil jeu de programmation dans lequel chaque zone du plateau (4 en tout) vous offre un dilemme à gérer.Chacune est riche d'un petit système inventif, certains innovants ,comme la zone d'achat de marins et de capitaine.
Super simple , très agréable à manipuler avec ses jolis jetons de programmation sortis du loto de grand-mère Da Silva,tendu à souhait grâce au paramètre aléatoire de la carte qui augmentera ou pas le prix à payer pour les prises de risque(s) choisis lors de la phase de programmation de ses actions, un réel bonheur ludique pour toute la famille...
Fou lour dire que Chaime boucou auchi " dou balai" tient à ajouter M.Da Silva qui lit dans mon dos (en aparté: Un concierge c'est difficile de s'en passer ou de s'en débarrasser ,j'hésite,comme vous! )
C'est beau, la mécanique de jeu est bien ficelé mais c'est frustrant est ennuyeux, surtout quand tu n'as plus d'argent au 5ème et dernier tour et que tu n'as aucune autre options pour rattraper, le mauvais choix tactique du premier tour.
Edition : 4/5 (materiel et clarté des regles)
Thème : 3/5 (immersion dans le theme)
Mecaniques : 5/5
Rejouabilité : 3/5
Plaisir ludique : 17/20
16/20
qu'est ce que je regrette de ne plus avoir ce jeu.
c'est typiquement le type de jeu que j'aime beaucoup, c'est un a dire un jeu qu'on peut sortir facilement car il n'y a pas 50 points de regles et du coup on est pas obligé de tout réexpliquer a chaque fois.
contrairement a beaucoup de jeu ou on peut gagner de 1258 façons differentes (que j'aime beaucoup aussi hein), ici, une façon de gagner, envoyer des bateaux. et pour cela il va falloir en acheter, recruter des équipages, s'attirer les faveurs des persos spéciaux adéquats et surtout envoyer nos bateaux au bon moment.
un jeu de prise de risque ou la tension augmente au fur et a mesure que la partie avances. des décision difficiles a prendre. tout ce que j'aime, par contre un petit doute sur la rejouabilité
Oui c'est à mon sens le mot qui qualifie le mieux mon sentiment par rapport à ce jeu !
Attention ce n'est pas le jeu qui réinvente le kubenbois, non il y a dedans tous les bons ingrédients que l'on connaît par ailleurs dans d'autres jeux, mais il faut avouer que le système d'enchères aveugles pour l'ordre des actions à réaliser est pour le moins sympathique à jouer.
Le reste du jeu est très bien réglé, propre, logique, sans fausses notes, c'est calculatoire et cartésien mais peut être un peu trop froid et plaqué pour qu'on ressente le souffle épique d'un grand jeu. Il a sa place aisément dans ma ludothèque, j'y joue et y rejoue avec plaisir, mais il n'a pas réussi à me transcender pour atteindre mon nirvana ludique.
Compatible deutéranomalie
Avis fait après une première partie qui vaut donc ce qu'elle vaut dans des conditions pas faciles au niveau concentration (grande ludothèque dans un restaurant).
Une fois les règles lues et plus ou moins assimilées (vous en louperez quelques unes mais ça n'est pas si grave pour la découverte), le jeu est très fluide et assez agréable.
Par rapport aux autres jeux auxquels j'ai pu jouer, j'ai trouvé que VdG était plus simple que Descendance (un seul moyen de faire des points de victoire et donc un seul objectif) et calculatoire mais tout en ayant un aspect hasard qui permet de pouvoir rattraper son retard en cas d'erreur (ce qui n'est pas le cas de Myrmes).
Le meilleur étant que chaque action va apporter quelque chose puisqu'en cas d'erreur, vous pouvez choisir de ne pas effectuer l'action et prendre des pièces. De quoi prendre l'avantage au tour suivant.
Bref, avant d'attaquer du plus costaud, Vasco de Gama me semble être assez sympathique et bénéficie d'un matériel de qualité.
Il fait partie de ma ludothèque depuis peu, 2 parties au compteur et mis à part les quelques points de règles un peu flous (personnages et navigation) c'est du très très bon. Un jeu exigeant car il va falloir bien choisir ses actions et l'ordre dans lequel on va les réaliser.
Dommage qu'ils n'aient pas sortis une extension car il le mérite vraiment.
Vasco de Gama ressemble à un jeu de placement d'ouvrier, mais il présente plusieurs particularités intéressantes :
- Au moment du choix d'une action, son auteur va choisir un numéro. Puis sera connu le numéro à partir duquel les actions sont gratuites ; Ainsi, prendre le n°1 va garantir d'exécuter l'action en premier mais coutera de l'argent (ex : si la première action gratuite est la 5, ça coutera 4) ; Prendre le n°5 sera intermédiaire (on ne sait pas encore que le 5 sera la première action gratuite, on a un chiffre qui peut subir un modificateur de -3 à +3) ; Et prendre le 8 permet d'être certain que ce sera gratuit.... mais pas en premier (le 20 garantira de choisir une fois que les autres auront fait leur choix et donc qu'on saura qui fait quoi) ;
- L'achat des marins obéit à une règle amusante : le prix ne dépend pas du nombre de marins.... mais du nombre de couleurs de marins : ainsi, 3 marins de même couleur couteront plus cher que deux marins de couleurs différentes (le prix d'un capitaine correspond lui... au nombre de marins que l'on vient d'acheter) ;
- Une fois achetés, dotés des marins nécessaires et d'un capitaine, les bateaux pourront partir à la découverte du monde, avec des règles de déplacement qu'il faudra essayer de maîtriser pour optimiser le moment où on fera partir le bateau (et le bateau qui aura été choisi d'ailleurs).
Vasco Da Gama est un jeu intéressant par ses quelques mécanismes particuliers, pas toujours évident à contrôler.
J’adore Augustus ou Libertalia, mais Vasco da Gama est d’un tout autre niveau. Il peut paraître compliqué de prime bâbord, mais le nombre d’actions est relativement restreint : 4 : engager des marins, récupérer de l’argent ou recruter un personnage avantageux, construire un bateau ou l’envoyer naviguer. Les tours de jeu s’enchaînent donc de façon plutôt fluide et rapide, même s’il faut bien anticiper ses actions. Ce qui est remarquable est la façon de gérer ses actions : on dispose de 4 marqueurs d’actions, qu’on place au tour par tour, sur des emplacements numérotés de 1 à 20. Ensuite, les actions sont résolues dans l’ordre croissant, on pourrait donc potentiellement jouer 4 actions de suite, sauf que plus une action est réalisée tôt, plus elle sera chère, mais on ne sait pas avant de placer ses pions d’actions, quel sera le coût exact de l’action. Comment ça vous ne suivez plus ?
Autre aspect vraiment sympa : les voyages des navires : en optimisant cet aspect, on peut gagner des points bien sur, des bonus, mais on peut aussi se garantir des revenus réguliers pour chaque tour…d’où le dilemme de choisir la meilleure destination pour ses bateaux. Un top de chez what’s your game/iello,tout comme madeira…
Vasco est un jeu des plus intéressant pour plusieurs raisons. Déjà, par rapport aux deux autres jeux que je connais de l'auteur (Augustus et Libertalia), c'est le seul qui soit un jeu avec "vraiment du matos" donc pas un jeu de loto, ni un jeu de cartes. Du coup, cela montre le côté complet d'un auteur, ce qui est toujours intéressant. Mais bon, cela ne suffit pas à faire un bon jeu, du coup la mécanique est belle, avec un système de résolution des actions assez original avec un coût "presque" connu et une importance de quand notre action s'effectue. Un joli système de planification "semi-connue". Le matériel est plutôt joli, le jeu a une durée honorable mais pas excessive. Seul bémol: c'est vraiment à 4 que l'on atteint la tension nécessaire à de vrais dilemmes, à moins, c'est un peu plus souples et donc moins palpitant. Mais dans la catégorie jeux à 4, il reste l'un des grands d'après moi.
Malgré le buzz d'Essen pas acheté en VO. La VF est plutôt bien faite mais ce jeu m'a laissé une impression de stagnation. Rien de nouveau, pas de fun, pas de plaisir.
un grand chef d'oeuvre du jeu de placement et de planification d'action.
Un jeu à mettre au même rang qu'un Tribun, Cuba ou encore "piliers de la terre"