Excellent jeu d'enchères épuré. La première fois que j'y ai joué à 3 joueurs, on a enchaîné 5 parties de suite, en plus la nouvelle édition est superbe et rend bien le thème (à mon goût), donc très bon !
J'ai effacé mon ancien avis car en fait, je n'ai pratiquement pas pris de plaisir a y joué depuis. En fait les règles proposée dans la documentation de cette nouvelles éditions font que les partie trainent affreusmeent en longeur et qu'on s'enui ferme!
Bref, joli jeu mais trop lent!
Le jeu de base meritait 5/5.
Cette reedition n'enleve rien, au contraire:
- Les graphismes sont mieux faits (en particulier on distingue mieux les types de marchandise)
- La boite est plus petite c'est pas plus mal
- Les 4 cartes supplementaires ajoutent un peu de piment (mais on peut continuer sans)
Les changements de regles (1 seul tour d'enchere par ex) ne sont pas mieux de mon point de vue (plus accesibles peut-etre) mais bon qui nous empeche de jouer avec les regles originales ? ;)
Medici est un bon petit jeu d'enchères.
Petit, parce qu'il n'y a pas grand chose à savoir.
Enchères, parce que c'est bien là l'unique règle ou presque.
Et qui dit enchères, dit majoritaire.
Mais voilà, j'aurais pu mettre une note un peu élevé si seulement le design du jeu avait permi de s'y repérer plus facilement.
A essayer, c'est rapide et sympa.
C'est souvent le préféré des fans de jeux d'enchères. Et c'est vrai qu'il est sympa. Mais allez comprendre : je lui préfère un Ra ou un Modern Art, plus funs.
Il y a déjà beaucoup d'avis sur ce jeu, difficile d'ajouter quoi que ce soit de neuf dans un avis de plus.
Je n'ai fait que 3 parties, à 4 ou 5, toujours avec la nouvelle règle de base (plusieurs tours d'enchères possibles).
J'ai toujours passé un très bon moment, même si je suis vraiment mauvais.
Les parties sont courtes, légères et tendues à la fois, l'ambiance n'est pas forcément à la rigolade, mais pas à la prise de tête non plus. La part de hasard n'est pas négligeable, mais ajoute de la tension également en fin de saison surtout.
Les règles sont très simples et rapides à expliquer.
Le matériel est "correct" pour le prix, mais la piste de score n'est pas vraiment pratique pour jouer à beaucoup. Les navires ont une fâcheuse tendance à toujours se montrer par la tranche quand on veut les manipuler, donc les couleurs ne sont pas repérables facilement. Les illustrations sont très belles, par contre.
En résumé, un très bon jeu de format "moyen" pour moi, qui doit se bonifier avec l'expérience, à condition, bien évidemment, d'aimer les enchères : on ne fait vraiment que ça pendant toute la partie !
En ce sens, il n'a pas la variété de types d'enchères de Modern Art, que je préfère pour l'instant à Medici.
Une fois de plus, je vais me retrouver à contre-courant ludique par rapport aux autres avis exprimés. Je vais donc essayer de bien transmettre ma pensée.
Tout d’abord, je précise que je ne suis pas arrivé à **Medici** du fait de l’écho qu’a eu sa sortie ou bien parce que je connaissais une édition précédente. **Medici** m’a été offert, avec tout ce que cela implique de surprise mais surtout de satisfaction (et donc de positivité) avant même d’avoir essayé le jeu. Reiner Kinizia d’écrit sur la boîte (encore un gage de confiance) et ouverture de ladite boîte avec un effet très positif sur le contenu - je trouve le travail graphique de Dominique Ehrhard très réussi (même si je concorde sur le point que certaines couleurs prêtent à confusion - mais je ne chipote pas là-dessus : le jeu est visuellement beau).
Par rapport à certains autres avis, mon introduction était donc importante : pas de critique quant aux "feu" pions de bois des éditions précédentes (que je ne connaissais pas) ou sur le prix du jeu (je ne l’ai pas acheté).
Le premier impact était donc pour moi optimal d’autant qu’une première lecture de règle me donnait l’impression d’un jeu simple mais très subtil.
Première partie dans la foulée de l’ouverture de la boîte, et là, une sensation mitigée. Comme le recommandaient certains avis, mon intuition première était d’économiser le plus possible et de profiter des cartes finales. Mais cette stratégie ne s’est pas avérée payante.
Une sensation mitigée donc, mais pas seulement en négatif où j’ai eu le sentiment qu’une part de hasard non négligeable est présente mais aussi en positif où j’ai compris que plusieurs stratégies sont possibles (jouer sur les bonus de points, sur les cargaisons, économiser, faire un peu de tout).
Bref, avant de me faire une idée j’ai voulu jouer un nombre certain de parties avec joueurs et configurations différents (disons que c’est déjà ce que je fais d’habitude avec tous les autres jeux, mais je l’ai fait encore plus avec **Medici**).
Pour ne pas écrire un roman, je vais synthétiser ma conclusion qui me fait mettre la note minimale avec mention ***Je déconseille ce jeu***.
En résumé, ce que je n’aime pas : **beaucoup d’énergie, de réflexion et de calcul pour gagner quelques points sont anéantis par le hasard qui peut faire basculer la balance de plus de 30 points d’un côté ou de l’autre**.
"Sans maîtrise, la puissance n’est rien". Le slogan de Pirelli est exactement ce que je pense du jeu. Le jeu a tout pour être puissant. Et je tiens à bien préciser que je n’ai rien contre le hasard - surtout pas dans les jeux qui se présentent comme tels (il faut bien s’amuser un peu) mais quand bien même dans les jeux de réflexion avec une part utile, par exemple le **Poker** ou le **Backgammon** pour ne citer que deux jeux que j’apprécie. Mais là, le hasard est maîtrisé : cela s’appelle de la statistique. On peut avoir un "manque de pot" flagrant, mais c’est accepté, cela fait partie du jeu. **Medici** devrait en revanche laisser au hasard une place mineure, une variation de quelques points (qui serait alors acceptable parce que amusante) car c’est un jeu de longue haleine.
J’étaye mon argumentation par des exemples. Dans une partie, j’avais fait mes calculs et dépensé beaucoup au premier tour pour m’assurer de prendre le bonus du plus gros total (les 30 points ; nous étions 4). Une amie décide, elle, de se concentrer sur la cargaison et joue à l’économie. Elle récupère les deux dernières cartes de la pile gratos : deux cartes de valeur 5 d’une cargaison qui en plus l’intéresse. Je me fais flouer le bonus d’un point, ce qui est tout bénéf pour elle car en ayant économisé pour suivre sa stratégie, elle gagne 40 points tombés du ciel. Quand j’avais tenté cette même stratégie (oui, la différence c’est que j’avais tenté du fait des cartes sorties précédemment) lors de ma première partie, j’ai été gratifié de 0 et de 1...
Lors de la dernière partie que j’ai jouée, j’ai voulu inclure les cartes spéciales afin de me rendre compte si c’était la clef pour arriver au plaisir...
**Une catastrophe !**
En particulier le doigt qui fait remettre aux enchères une carte déjà acquise. Au deuxième tour, alors qu’il reste peu de cartes dans la pile, j’achète au prix fort un lot composé d’une cargaison à 5 et du 10 - je suis alors en tête et l’investissement réalisé vaut selon moi nettement les dépenses. Manque de chance, le lot suivant propose le doigt. Mon 10 est remis aux enchères... Je me retrouve dernier comme un triste sire. Par rapport au joueur qui finira premier (et qui ne participait plus aux enchères car il avait déjà ses 5 cartes) je me fais entuber de la beauté de.. 50 points ! (car en plus de perdre moi 40, il gagne un bonus de 10 points supérieurs par rapport à ce qu’il aurait dû être). A-t-il bien joué ? A-t-il calculé mieux que moi ? Non, rien de tout ça. J’ai juste eu "pas de chance". Alors oui, c’est un cas particulier. Mais dans toutes les parties il y a des cas particuliers. La preuve, au dernier tour, bon dernier que je suis, je décide de ne pratiquement plus prendre part aux enchères. J’achète à 1 un lot composé d’un 5 et de deux 0, mais qui me feront gagner quelques points sur la cargaison. À la fin des enchères, de manière inattendue, je récupère le 10 et un 5... Du coup, sans aucune réflexion, sans aucun mérite, en économisant et en étant bougon dans mon coin, je gagne 15 points et le bonus de 30. 45 points qui me font resauter en deuxième position !? Du grand n’importe quoi !!
En résumé, une grande frustration pour la réflexion qui est annihilée par le tirage chaotique des cartes. J’ajoute à cela que le jeu n’est franchement pas très vivant (comparé à un **Boursicocotte** par exemple) et je passe sur les possibilités de *kingmaker*.
En clair : **NIET, NEIN, NO, FORBIDDEN, DEHORS !**
Je ne veux plus rien savoir de ce jeu !
Il n'y a pas de doute c'est du brut de pommes.
Un seul tour d'enchères et hop j'emporte le lot ou je le perd. C'est dans ce seul tour que l'on voit toute la difficulté d'évaluer la cargaison mise en jeu. Il faut savoir dépenser sans se ruiner et c'est bien là la difficulté.
Un jeu d'enchères qui fonctionne bien, qui stresse, qui vous fait peser le pour et le contre.
L'apport de cette nouvelle édition avec une enchère en plusieurs tours est un plus pour ceux qui redoute cette enchère en un seul tour. Les cartes spéciales sont également très bien.
On ne parlera pas de la présentation qui est magnifique et attrayante. Une superbre réalisation pour une réédition.
Du grand Knizia. N'oubliez pas Modern Art dans ce type de jeu, c'est également de l'enchère sous toutes ses formes.
"Médici" a cette particularité de paraître complexe alors que pas du tout. C'est donc un excellent jeu pour permettre aux gens de découvrir qu'ils ont tort d'être effrayé par ces jeux nouveaux de type subtil et qu'ils ne sont pas plus bête que les joueurs 6 Dan.
Autant la premiere manche peut paraître aléatoire d'on choisit d'enchérir au pif, autant à la seconde et, surtout, la troisième et dernière manche, tout devient clair. Tellement que souvent on a envie d'en faire une autre parce qu'on a pigé le truc et qu'on ne se fera pas avoir...
Bien sûr, c'est du Knizia, c'est de l'enchère, c'est du subtil. Mais une subtilité qui apparaît rapidement. D'autant que vous pouvez, pour initier, commencer avec les règles d'enchères simples, c'est-à-dire que l'on enchérit jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un seul joueur. Comme des enchères classiques de la vraie vie, ça parle. Une fois maîtrisé, hop, Level 2. Les enchères en une seule annonce par joueur. Et là, pfiou, on fait dans le très fort du subtil.
Ajoutez là-dessus un superbe travail d'édition et d'illustrations (sauf que ça brille, moi, je n'aime pas quand ça brille et il n'y a pas de pion en bois) et vous avez là, le jeu d'enchères indispensable à toute ludothèque personnelle.
Medici applique avec bonheur des mécanismes d’enchères épurés à l’extrême. C’est une réussite totale et difficilement explicable.
Le matériel lui-même (du moins dans cette version) est réduit à sa plus simple expression. 5 pyramides dessinées sur un minuscule plateau de jeu, quelques cartes numérotées de 0 à 5 et des cubes colorés servant de marqueur constituent le maigre et peu séduisant matériel.
Médici parvient donc à captiver avec un plateau de jeu minable et des règles basiques. Quel est donc la recette miracle ?
Certainement au retour à l’essence même du jeu et à une avantageuse simplicité… Pas de « frou frou», de figurines sculptées, de règles tarabiscotées ou de détails superflus !
Juste un génial principe d’enchère, stressant comme il faut sans être prise de tête.
Les tours s’enchaînent rapidement et l’implication des joueurs est permanente. On joue sans interruption le temps que dure la partie puisque tout le monde participe aux enchères. Celles-ci sont du type « fermé » et constituent le cœur du mécanisme. Le plus délicat est d’estimer correctement la somme que l’on est prêt à investir pour les cartes proposées. Dans le même temps, il est impératif d’estimer également la somme que les adversaires seraient susceptibles de proposer pour acquérir les fameuses marchandises.
Le bluff est donc présent et fait partie intégrante du jeu.
On ne peut qu’être séduit par ce jeu accrocheur qui peut réunir dans une atmosphère tendue à souhait jusqu’à 6 joueurs.
3 parties.
Jeu accessible à tous et qui demande sans cesse de faire des choix difficiles. Au delà de la mise (c'est un jeu d'enchères), l'importance du nombre de cartes tirées, la double utilisation de chaque carte, le nombre de cartes limité, tout participe à l'installation d'une tension palpable pendant les parties.
De plus, l'habillage du jeu est très réussi.
Il est fort ce Knizia !
Assez de vous cantonner avec vos amis non-joueurs aux sempiternels Monopoly et autres dinosaures que les moins de 25 ans ne peuvent pas connaitre ?
LE remède incontournable, celui qui fera découvrir la fameuse école allemande, c'est bien Medici !
Alors évidemment, amateurs de grosse ambiance de déconne, passez votre chemin... Mais d'un autre côté, ce jeu est à la fois d'une accessibilité et d'une profondeur confondantes, on se demande comment l'on n'aurait pas conçu ce jeu soi-même. C'est pour moi un modèle d'intelligence (normal de la part de Herr Doktor KNIZIA...) qui séduit toujours les plus réticents : durée courte (40 minutes), explication des règles en 3 minutes chrono, jeu très tendu (pour le peu que l'on joue effectivement avec un seul tour d'enchères), "thème" (inexistant) qui n'étouffe pas les mécanismes, et beauté du matériel (quelles cartes !) depuis l'édition 2005 qui a bénéficié à plein d'un très joli lifting (excepté la carte permettant de remettre aux enchères une carte déjà acquise, inutile), bravo à ce courageux éditeur !
Enfin sachez qu'il constitue l'un des rares jeux où il est presque plus passionnant de jouer à 6 qu'à 3...
Recourez donc vite à cet elixir, dont on espère que Boîte à Jeux mettra un jour l'application en ligne accessible à tous.
Assez de vous cantonner avec vos amis non-joueurs aux sempiternels Monopoly et autres dinosaures que les moins de 25 ans ne peuvent pas connaitre ?
LE remède incontournable, celui qui fera découvrir la fameuse école allemande, c'est bien Medici !
Alors évidemment, amateurs de grosse ambiance de déconne, passez votre chemin... Mais d'un autre côté, ce jeu est à la fois d'une accessibilité et d'une profondeur confondantes, on se demande comment l'on n'aurait pas conçu ce jeu soi-même. C'est pour moi un modèle d'intelligence (normal de la part de Herr Doktor KNIZIA...) qui séduit toujours les plus réticents : durée courte (40 minutes), explication des règles en 3 minutes chrono, jeu très tendu (pour le peu que l'on joue effectivement avec un seul tour d'enchères), "thème" (inexistant) qui n'étouffe pas les mécanismes, et beauté du matériel (quelles cartes !) depuis l'édition 2005 qui a bénéficié à plein d'un très joli lifting (excepté la carte permettant de remettre aux enchères une carte déjà acquise, inutile), bravo à ce courageux éditeur !
Enfin sachez qu'il constitue l'un des rares jeux où il est presque plus passionnant de jouer à 6 qu'à 3...
Recourez donc vite à cet elixir, dont on espère que Boîte à Jeux mettra un jour l'application en ligne accessible à tous.
Alors, c'est clair qu'il faut être amateur d'enchères pour apprécier, puisque Médici est pratiquement mono-mécanisme.
Quoique, on dit souvent enchères, mais ce n'est réellement un jeu d'enchère que dans la nouvelle règle proposée par Philippe des Pallières, et qui est la version la plus "abordable" du jeu. En version originale, c'est un système d'enchère à un seul tour, donc on a plutôt l'impression de jouer à un jeu de mise qu'à un jeu d'enchère.
Dans tous les cas, ce sont des mécanismes que j'aime au départ, donc je suis bon public pour Médici. Dans la réalisation, c'est tout simplement parfait et on ne peut plus simple: on mise des points de victoire pour gagner des... points de victoire.
Bravo pour les nouvelles cartes (une fois de plus proposées par Philippe des Pallières) qui viennent ajouter de nouvelles perspectives et de nouveaux dilemmes sur l'évaluation de la valeur des lots mis en vente.
Et enfin, bravo pour la magnifique réalisation graphique de Dominique Ehrhard.
medici est un super jeu auquel j'aurai volontier mis 5/5, mais je ne lui mais que trois à cause du matériel.
l'éditeur est sympa mais le concept je fais une boîte sans penser au rangement ça marche peut-être pour les loups-garou (parce qu'il n'y a que des cartes) mais là quand on ouvre la boite c'est un joyeux bordel.
je fais abstraction de l'esthetique particulière du jeu, parce que moi ça ne m'a pas franchement dérangée. par contre je trouve quand même dommage que les cases soient trop petites pour les pions.
alors pour un jeu vendu en moyenne près de trente euros dans une gamme qui correspond plutôt à 20 euros je trouve cela un peu gonflé
cela dit, le jeu est vraiment très bon
Un des meilleurs jeux de bluff, et certainement un des plus simples.
La premiere partie n'est pas tres evideemnte a joeur (il faut prendre des reperes sur la force des cartes, l'importance des monopoles), ensuite ca s'enchaine bien...
Et puis les parties sont tres courtes!
C'est un jeu d'enchère, personnellement j'accroche pas à ce jeu.
Donc si comme moi vous n'aimez pas ce type de jeux, passer votre chemin.
En plus je le trouve très moche...
Medici a tout pour plaire: facile à apprendre, riche en rebondissement et avec de grandes possibilités de variantes...
Et plus subtil qu'on pourrait le croire: les joueurs qui attendent trop avant d'acheter des cartes se retrouvent souvent coincés: mais il faut avoir un principe à l'esprit: pour gagner, il faut gagner des deniers, pas éviter que les autres en gagnent!
Nous avons joué à 5 pendant toute la nuit (bon d'accord, on s'est arrêté à 5 heures du mat').
J'en avais un peu assez des jeux où il y a 250 cartes avec du texte dessus qui explique quelle est l'action à faire, le nombre de points à gagner, et les embêtements infligés aux adversaires...
Le propre de ces jeux est qu'on peut s'en lasser rapidement...
Knizia nous prouve encore une fois que simplicité et richesse vont de pair. Un de mes jeux préférés!
L'auteur de ce jeu, Reiner Knizia, est le maitre inconteste des jeux d'encheres, auquel Medici appartient.
Trois jeux en particulier ressortent du lot dans ses creations - Ra, Modern Art et Medici - Medici est probablement celui des trois qui provoque le plus de tensions.
Les trois sont bien sur aussi bons les uns que les autres dans leurs styles.
A par ca, il faut absolument acquerir la nouvelle edition (2005) de ce jeu, l'ancienne etant non seulement hideuse mais aussi son plateau est difficelement lisible.