Une réussite de plus pour Ystari qui semble condamné à ne faire que des bons jeux. Rapide, mental, agréable. Mon seul regret est le plateau central, trop petit à mon goût... mais bon je pinaille...
Tout à déjà était dit sur ce jeu.
C'est un superbe jeu de majorité, court mais intense, avec de multiples stratégies, avec un matériel très agréables. Bref, rien à redire à part bravo à l'auteur et à l'équipe d'Ystari.
Voilà un bon jeu pour débuter une soirée cérebral avant d'attaquer les grands jeu dit stratégie.
Fort simple et rapide quand on maitrise un bon jeu de placement savoir se placer et controler une plaque pour avoir le perssonage que l'on voulait ou le symbol désirait en fonction de son placement au musée.
Le plus dur et de garder les même simbol pour gagner un maximun de point tout dépend des adversaire si il vous boies pas venir c'est gagner.
Perssonage préfére celui qui vous envoie au musée au lieu d'un placement fort car vous pouvez bloquer les autres.
Mykerinos me plait par periode... Je suis capable de ne plus le sortir pendant longtemps puis un jour refaire une partie avec plaisir.
Il est un peu trop terne à mon gout mais la jouabilité est très bien trouvé.
Si on ajoute le prix, l'achat de Mykerinos est indispensable
Mykerinos est un bon jeu. Un très très bon jeu, même. Il possède cette qualité que je recherche - presque - avant toute chose dans un jeu: de la tension... du dilemne... des choix cornéliens à tous les tours. Et là, je peux dire que je suis servi. Le pétage de neurones n'est pas très loin.
Côté jeu en lui-même, tout ou presque a été dit, et je vous renvoie à l'excellent avis de sieur gigi pour vous faire une idée des qualités du jeu.
Mykérinos souffre quand même de mon point de vue de quelques défauts:
Le matériel n'est tout d'abord pas à la hauteur des productions actuelles, y compris à ce niveau de prix.
Le design du jeu ne me plait pas du tout: comme le dit très bien Cyril, au moins comme ça le jeu a une vraie identité graphique. Le risque étant de déplaire, ce qui est fait dans mon cas ;o)
Pour finir, Mykerinos souffre d'un déficit d'ambiance / plaisir qui va au-delà de ce qu'on peut attendre d'un jeu de ce type. Je m'explique parce que je ne suis pas clair du tout: les jeux de majorité / placement à l'allemande sont très souvent des jeux cérébraux dans lesquels la réflexion prend le pas sur l'ambiance. Avec Mykerinos, on est dans l'extrème du maximum... et j'ai des tas d'exemples de jeux basés sur les mêmes mécanismes, et qui me procurent bien plus de plaisir en jouant.
Bref, voilà un jeu auquel je rejouerai bien volontiers, mais qui ne reste à la porte de mon panthéon à moi que j'ai :o)
Le jeu qui m'a fait découvrir les jeux de société, n'y ayant plus joué depuis mon adolescence. Mykerinos est intelligent, subtil, joliment tactique, plus stratégique qu'il n'en a l'air, et propose des parties ni trop longues, ni trop courtes. A vrai dire, si on aime les jeux de placement/blocage, il fonctionne superbement bien et on se rend compte à la longue que les pouvoirs spéciaux des différents mécènes sont particulièrement bien équilibrés. En un mot, les mécanismes sont splendides.
Ayant joué plusieurs dizaines de parties, à deux, je suis toujours impressionné par la conception. Bien sûr, le thème s'évente peu à peu pour laisser place à une mécanique un peu abstraite, puis les parties commencent à se ressembler, peinant à se renouveller. Un constat, plus qu'un reproche, car c'est le lot de tout jeu de finir par lasser, et avant de l'être par Mykerinos, il faut l'avoir pratiqué longtemps !
Quoi qu'il en soit, c'est indubitablement un jeu à posséder et à qui je souhaite de décrocher un trictrac d'or, même si tout de suite, c'est dans un genre tout autre Mr. Jack qui me fascine :)
Même si j'ai découvert *Mykerinos* en compagnie de son auteur, on ne pourra pas m'accuser de partialité, tant mon avis est mitigé. Je ne suis habituellement pas amateur des jeux de majorité, pourtant la création de Nicolas Oury présente de nombreux attraits à mes yeux, et des faiblesses aussi.
La première chose qui frappe, c'est le grand nombre de choix qu'on a à faire au cours de chaque partie, relativement au format du jeu. Tout semble important. Il faut gérer au mieux ses cubes, la prise de tuiles et son placement au musée. Le moindre détail paraît avoir des implications importantes. Si bien qu'on a la sensation d'être constamment en train d'orienter ou du moins de légèrement réajuster l'orientation de son jeu. En découle une tension et une implication permanente assez jouissive.
Le jeu tourne bien et les parties sont fluides grâce à des mécanismes plutôt simples et bien pensées, à l'exception peut-être de l'équilibre entre les différents mécènes. Le système de jeu est aussi élégant et ingénieux qu'il est artificiel. En fait, il paraît d'autant plus élégant et ingénieux qu'il est artificiel. En effet, le thème est visiblement plaqué. Toutefois paradoxalement et sans doute grâce au soin apporté à l'esthétique et au matériel, il est assez présent. On a néanmoins souvent l'impression de se contenter de poser des cubes de bois sur des cases abstraites et non pas d'envoyer en Égypte des archéologues sur les traces de tombeaux pharaoniques.
Mais à peine une partie de *Mykerinos* est-elle commencée qu'elle est déjà finie. Et c'est finalement ce qu'on pourrait reprocher le plus à la création de Nicolas Oury : elle manque de ventre, d'ampleur. Il y a finalement peu de stratégies payantes, et c'est surtout la dimension tactique qui prime. La variété des parties est loin d'être infinie. On se retrouve souvent à faire la même chose. A partir de là, une certaine monotonie peut s'installer.
Ystari nous comble une nouvelle fois avec Mykerinos.
En effet, les cubes en bois nous font penser de suite à caylus (pour ceux qui y on joué), ainsi que la présentation des règles. Mais voilà, la ressemblance s'arrête là car Mykerinos réussi à créer son univers propre avec un temps de jeu relativement cours.
Le mix entre la pose des cubes pour bloquer ses adversaires et l'utilisation des mécènes est vraiment très bien pensé. De plus la pression monte quand on veut aller au musée et que les places sont prises (et oui il n'yaura pas de la place pour tout le monde).
Pour avoir joué dans toutes les configurations, je le trouve aussi bon à 2 qu'à 4 joueurs même si les parties sont plus tendues à 4 joueurs (plus il y a du monde, plus les places sont chères).
Mykerinos est un très bon jeu mais qui ne plaira pas forcément à tout le monde.
Pour moi c'est du tout bon.
Et oui, j'adore ce jeu ! Un plateau de jeu aléatoire, mais la possibilité de calculer ses coups, la pression pour choisir le bon moment pour passer, les intéractions avec les autres joueurs, le dilemne pour poser ses pions dans le musée ou prendre les cartes... Bref un super jeu pour calculateurs avec une part minime de hasard, ce qui en fait pour moi un de mes jeux préférés !
Mykerinos allie plusieurs qualités qui font que c'est devenu un classique parmi mes JDS.
Un jeu qui nécessite de la réflexion, du choix entre différentes actions intéressantes, un bon placement et une vision tactique des cartes "mécènes" au fil des saisons et au final un jeu rapide.
Amateur de hasard, de jeu long, de franche hilarité, passer votre chemin.
Amateur de réflexion, de jeu rapide et de coup bloquant, goutez-y sans retenue.
La mécanique est belle et le thème accrocheur.
Je vais essayer de faire court, Mykerinos est un jeu excellent, il est simple se joue en 1 heure et surtout il est très stratégique. Placement, blocage et majorité en font un très bon jeu et surtout je le trouve visuellement très beau et très complet.
J'ai quand même quelques petits reproches à lui faire : il y a un léger déséquilibre à 3 joueurs et il se joue en optimal à 4 joueurs (je n'ai jamais essayé à 2 joueurs). Le plateau du musée est vraiment trop petit. Mais à part ces petits détails, cela reste un jeu excellent que je conseille plutôt aux gros joueurs.
Un jeu original dans sont format et sa durée de jeu:
Intermédiare entre gros jeux et petit.
Jeu de majorité pour la prise de tuiles ,puis de points de victoire en fonction de votre placement dans le musée ( multiplicateur de points de victoire par tuiles acquises ).
Simple à prendre en main, rapide sans être pour autant simpliste.
La qualité du materiel est encore une fois au rendez vous , merci YSTARI.
voici une autre merveille d'Ystari. Que du bon.
Le jeu est simple, tactique et le materiel jolie et agréable en main.
Les parties, de part leur construiction, peuvent peuvent sembler quelques peut identique niveau stratégie, mais justement, niveau strategie...je n'ai pas encore eu l'impression de faire le tour. Entre le musée, la collection de 5 cartes differentes,... les possibilité de marquer des points sont nombreux. De plus, chaque personnage à un pouvoir speciale qui aura une grande influence sur la suite du jeu. Il faut donc se decider de l'ordre dans lequel il serait bon de les recupere pour ensuite les utiliser.
C'est un des jeux qui m'ont le plus marqué (avec Caylus ;) ) cette année.
Moi je dis bravo te merci messieurs d'Ystari!!
... Pas convaincu par ma première et unique partie de Mikerinos. J'ai trouvé le jeu un peu trop mécanique dans sa première partie et tout juste intéréssant uniquement dans sa dernière phase. On a un peu l'impression que le jeu se précipite pour se finir aussitôt après. Quelque chose m'a peut-être échappé...
Je lui préfère Louis XIV qui, bien que plus alambiqué, me procure plus de plaisir ludique.
Un jeu simple mais pas évident.
Des situations difficiles à gérer et une frustration omniprésente du fait qu'on ne peut pas tout faire, la possibilité de bloquer ses adversaires, des personnages aux pouvoirs interessants, amènent un grand plaisir de jeu.
Tout est bien trouvé, bien rodé.
Bravo.
Agréable petit jeu de placement/majorité rapide qui conviendra à un public très large. Les règles sont simples et vite assimilées et les parties rapides (1/2 h. à 3/4 h.) quand on connait les règles, un peu plus pour la première partie naturellement.
On le compare à Louis XIV, mais les règles y sont plus complexes et les parties plus longues.
*4 parties jouées:*
J'ai trouvé ce jeu très rafraichissant à sa découverte : facilement expliqué, rapide à jouer (compter une bonne demi heure - 3/4 d'heure), interraction importante, matériel de bonne facture et les iconographies sont bien lisibles... ce jeu a de quoi séduire.
Et puis une fois qu'on a découvert l'intéret tactique du musée... quand tout le monde est prévenu de l'attrait de ce lieu hautement stratégique (et oui, seul les personnages pour lesquels vous êtes représentés au musée valent des points.), tout le monde se rue dessus ce qui fait qu'au bout de deux manches, il n'y a plus de place. Le musée est étroit puisqu'il ne peut recevoir qu'un cube sur chaque emplacement.
Comme le jeu est court (4 manches), la deuxième moitié du jeu va être consacrée à collecter des cartes correspondant à votre placement au musée... et du coup, le jeu ne présente plus d'autre intéret que la phase de placement sur les fouilles. Autant dire que le sel du jeu , le dilemne fouille ou musée, n'existe plus.
M'enfin, c'est comme ça que mes deux dernières parties à 4 joueurs se sont déroulées. C'est dommage pour la durée de vie. J'ai peur que ça ne devienne du coup très répétitif. La rejouabilité me semble de ce fait très très faible.
A 2 ou 3 joueurs, il y a plus de place. Je le préfère dans cette configuration.
Petit jeu de réflexion très bien foutu. Comme quoi, y'a pas besoin d'une tonne de règles pour faire travailler les neurones.
Le mélange connexion/blocage/majorité est très bien trouvé et donne sa saveur (et sa difficulté) à ce petit jeu dont les parties n'excède pas 45 minutes.
Dans ce type de format, c'est un premier choix.
Mykerinos fait parti de ces jeux à posséder d’urgence :
1°) Il ne prend pas de place,
2°) il n’a pas un coût excessif
et 3°) surtout, oui surtout, il est excellent !
Quelque soit le nombre de joueur (à deux, comme à plus), on éprouve du plaisir à jouer : Rapide à jouer, les règles sont simples et la tension augmente au fur et à mesure des saisons (les tours de jeu, qui sont au nombre de quatre) : Plus on avance, plus on voit les scores des joueurs progresser en cours de partie sur la piste des scores mais cela ne veut parfois rien dire, tant, si l’on y prête pas attention, il peut y avoir des retournements spectaculaires avec le décompte final des points obtenus grâce aux combinaisons des cartes mécènes.
Même si le thème peut sembler un peu tarabiscoté à la mécanique, il n’en demeure pas moins finement utilisé et, finalement, on se prend assez vite au jeu des explorateurs/organisateurs d’expo en cours de partie. Ce thème est donc une valeur ajoutée certaine puisque cela permet aussi à des non gros joueurs de plonger dans le jeu plus facilement.
Quant à la mécanique, si, à la base elle est relativement simple (on pose chacun son tour un ou deux pions sur des cartes-territoire pour les gagner en y étant majoritaire ; ces mêmes cartes ayant un recto figurant en fait un personnage), voire peu originale, sa grande originalité justement est de permettre de jouer sur deux plateaux de jeu différents. Il y a donc le désert (qui permet d’obtenir des cartes), mais il y a aussi le musée (qui permettra en fin de partie de donner plus de valeurs aux cartes obtenues) dont chaque place est comptée et précieuse.
Cela n’a l’air de rien, mais c’est, àmha, la présence même de ces deux plateaux de jeu (aussi important l’un que l’autre) qui fait la très grande force de Mykerinos.
Même de plus gros jeux de majorité, comme les excellents Kardinal &Konig ou El grande par exemple, ne proposent pas ce genre de réjouissement cérébral (même si ces derniers en proposent tout de même d’autres, mais « autrement » ! Ne me faîtes pas dire ce que je n’ai pas écris !).
Enfin, il y a encore plein de petits détails qui font que finalement la sauce Mykerinos prend carrément bien : Plateau de jeu modulable (le désert est constitué au hasard), gestion de ses pions (il faut parfois savoir les économiser pour en avoir plus au tour d’après ou pour prendre une meilleure place sur la piste d’ordre des joueurs)… etc.
Aussi simple soit-elle, ces règles ont été testées et éprouvées : Cela se sent et tant mieux : C’est de la fine ouvrage au final qui fait vraiment plaisir à jouer.
Mykerinos fait donc, pour moi, parti des grands jeux (et des bonnes surprises) de l’année 2006.