Nombre de parties : 20+
Heureusement, dans le monde des jeux de société grand public de quand j'étais jeune, il y avait Risk. J'ai adoré jouer à ce jeu quand je gagnais et que même ma mère était partante pour une partie quand elle gagnait. J'ai détesté jouer à ce jeu quand je perdais ou que mon beau-père saccageait la partie parce que c'était lui qui perdait. Je me souviens avec nostalgie de ces après-midi entier passés à y jouer plutôt qu'à la bonne paye.
Je me souviens que j'avais 10 ans et c'est bien comme ça. Entre temps, j'ai découvert le jeu de rôle, les wargames, les jeux de plateau et ces derniers ont fini par se démocratiser. Mais on entend encore des gens dire "Risk, le jeu super stratégique, super compliqué?" Et là on mesure le chemin qu'il reste encore à parcourir et on comprend mieux l'engouement autour des aventuriers du rail...
L'avantage de la version "boîte rouge", c'était sa belle carte à l'ancienne et ses pions en bois pas super beaux mais bon. La version pions plastique avait l'avantage d'être pratique, à défaut d'être belle. Les versions plus récentes ont bien réussi leur coup avec les figurines mais ça reste Risk avec ses (gros) défauts : hasard omniprésent, stratégie réduite à la portion congrue et objectifs disproportionnés, sans compter le temps investi qui est aujourd'hui l'apanage de jeux nettement plus conséquents en termes de règles et d'intérêts. Et le plus beau dans tout ça, c'est que j'ai rarement rencontré des gens qui jouaient avec les règles réellement lues et comprises. Quand je vous dis "Grand public", et puis c'est tout.
Le monopoly a côté c'est tout gentil... là tu pars en guerre et pas de pitié pour les adversaires... Par contre il faut aimer passer des heures assis autour d'une table (merci l'époque de la fac pour passer des jeudis après-midi).
Que dire sur ce jeux qui traverse les ages?
Pas grand chose... ça reste vieillot! Et les différentes éditions n'y changent pas grand chose. Ce jeu devait être génial dans les années 70, ou pour des joueurs sur la bonne voie ludique! La passerelle entre le monopoly et le vrai monde ludique?
En tout cas, pour moi ce jeu à été un declic. J'ai vu qu'il y avait autre chose que le monopoly ou la bonne paye! Première partie dans la fin des années 80 chez mes voisin, j'avais une dizaine d'année et j'aimais joué, mais je ne le savais pas encore!
Bien sur les parties sont longues, très longues... Bien sur il y a des dès, donc du hasard... Mais ça reste Risk, ce jeu mythique! Et on le ressort avec plaisir une fois de temps en temps. Il a vraiment sa place dans une ludothèque, à 2 doigts d'être un must have. A part pour les nostalgiques, qui lui trouveront une place entre un Space Crusade et un Heroquest.
Nico.
Certes, il y a une part très importante des dés et cela peut faire passer une attaque ou la faire capoter assez "injustement" mais sur toute une partie (soit des centaines de coups de dés), la chance s'équilibre et tout le monde en a plus ou moins à un moment donné. Réduire le jeu à cela, c'est faire abstraction de toute la partie "remodelage" des troupes et diplomatie entre voisins.
Le plateau est superbe et les territoires sont nombreux.
Les forteresses, les généraux et les navires ajoutent une dimension stratégique certaine qui rend les versions plus anciennes du Risk plus ennuyeuses. La diplomatie entre joueurs est aussi riche et non sans écueils, ce qui encourage l'interactivité entre joueurs.
Un classique assez dévalorisé donc.
Je vais être brutal : Risk est à Diplomacy ce que le jeu des 7 familles est au poker. Si, à l'extrême rigueur, on peut reconnaître qu'il faut un minimum de diplomatie pour ne pas se retrouver seul face aux autres puissances coloniales, le reste de la partie tient avant tout à ménager sa chance pour arriver à gagner des batailles improbables à coup de dés incertains. On voit ainsi des armées imposantes se casser les dents sur une petite unité tenace, ou des continents entiers tomber sous la coupe d'une force militaire à peine capable d'en conserver le contrôle.
Risk est sans doute un des "classiques" les plus dépassés du moment, tant les jeux de conquêtes se sont amélioré pour tous les types de joueurs.
L'un des premiers jeux de stratégie auxquels j'ai joué.
C'est simple - simpliste diront certains -, les règles ne sont pas toujours très fines, et la frustration peut vite s'installer aussi sûrement qu'une bouteille de rouge sur la table d'un ivrogne à mesure que la chance se fait la malle !
Mais il faut, en dépit de tous ces défauts, lui reconnaître cette qualité : c'est un formidable instrument de prosélytisme, capable, de par sa candeur et sa sobriété, de convertir le joueur du dimanche en gamer acharné !
Et c'est peut-être, en définitive, parce que Risk se satisfait du peu qu'il est aussi plaisant de le dépoussiérer de temps en temps !
Un classique. Les mécaniques de jeu sont très simples mais diablement efficaces. Par contre on s'en lassera assez vite en découvrant d'autres jeux du même type (ou non) plus complexes. Mais pour ma part je serai toujours partant pour une petite partie. La variante *conquête du monde* est à éviter à tous prix si vous voulez avoir une chance de finir la partie à une heure convenable.
que de bon souvenirs :)
Le mode mission et le génial mode conquête du monde.
Ce sentiment de puissance avec tous les pions sur le plateau, les duels aux dés ce jeux a sans doute inspiré des mécaniques de jeux de duels, il a initier a la stratégie , moi je ne pouvaient pu m’arrêter on a passer des super après midi quand j’étais enfant a jouer à risk parent et/ou enfants. J'y joue de temps en temps sur PC j'attends que mes enfants soient plus grand car les petites pièces pas top
Je n'aime pas les jeux de diplomatie et de conquête. Ils sont longs, répétitifs et offrent la possibilité de s'acharner sur un joueur.
Risk n'échappe pas à ces défauts.
La chance est déjà trop présente : devoir lancer les dés pour attaquer son voisin et risque de perdre malgré un effectif largement supérieur est pour le moins frustrant et ne colle pas au thème : qu'est-ce qui peut expliquer qu'une armée misérable puisse l'emporter sur un adversaire beaucoup plus nombreux ?
Par ailleurs, les territoires de départ sont définis aléatoirement. Bref, il est possible de devoir protéger des territoires trop éloignés les uns des autres, voire de les perdre presque tous car dispersés.
Les objectifs secrets sont une bonne idée. La conquête du monde n'est pas forcément obligatoire. Mais tous ne se valent pas. Certains sont beaucoup plus faciles que qu'autres, ce qui induit un déséquilibre majeur. Quoi que plus facile que de contrôler l'océanie, l'europe et un 3e territoire au choix ? Alors qu'éliminer un joueur est autrement plus difficile et long (surtout avec les renforts).
En plus, l'affrontement tourne vite à la conquête du monde lorsque, deux joueurs se sont ligués contre le 3e, doivent à présent s'affronter jusqu'à l'anéantissement de l'un d'entre eux pour remplir leur objectif. Evidemment, le 3e devra attendre looooooongtemps pour entamer autre chose.
Enfin, celui qui prend l'avantage (a plus de territoires en l'occurence) le conservera tout au long de la partie puisqu'il pourra obtenir plus de renforts que ses adversaires.
Bref, un jeu long, ennuyeux, pas amusant, frustrant et injuste. Je passe mon tour car ce jeu ne m'amuse pas.
Un grand classique des jeux de sociétés, une référence des jeux de conquète. On regrètera seulement la trop grande part d'aléatoire (jeu de dés!), pour tout le reste : c'est du bon classique!
Ce jeu était un ovni dans les années 80 et maintenant il en devient un jeu si banal. En 1983, je lui aurai mis un 5/5. A présent je descends à 3 car je n'y joue plus et que outre ma mémoire qui oublie de plus en plus de chose il me reste de bons souvenirs. .
Mais cette mémoire n'enlève pas le plaisir des parties qui duraient une AM entre amis. Des objectifs où l'on devait se mettre en rang pour conquérir des parties du monde. Des dés qui sortaient des 1 et qui nous faisait passer pour une armée de blaireau. La chance quand on ne l'a pas...
Les pions étaient moches et dans le temps on pris des vrais formes pour être encore plus réalistes. La version napoléonienne m'a toujours bien plus.
En conclusion, l'édition de 1983 reste dans mon armoire mais jamais je ne pourrais m'en débarrasser...
Nbre de parties : plusieurs centaines.
Je me souviens, quand j'avais 13/14 ans, avec mes potes dans la batcave, on se faisait d'interminables parties de risk en s'insultant et en se faisant des coups de p\*\*e.
On ne connaissait que ce jeu là et le monopoly à l'époque, et on a toujours détesté le monop.
Ce jeu nous a occupé tellement de soirées que je ne suis plus objectif quand il s'agit de le juger.
Une chose ne peut pas lui être enlevée : c'est un classique parmi les classiques. Au même rang que le scrabble ou le monop.
Qu'on le veuille ou non Risk est LE grand jeu qui a initié des milliers d'enfants aux jeux de plateaux en général.
Une mécanique de jeu simple mais où la stratégie est indispensable et où la diplomatie est (selon les personnes avec qui vous joués) peu vous faire gagner ou perdre la partie.
Non Risk n'est pas une succession de lancer de dés, c'est un jeu profond qui n'est pas près de nous quitter
Qu'on le veuille ou non Risk est LE grand jeu qui a initié des milliers d'enfants aux jeux de plateaux en général.
Une mécanique de jeu simple mais où la stratégie est indispensable et où la diplomatie est (selon les personnes avec qui vous joués) peu vous faire gagner ou perdre la partie.
Non Risk n'est pas une succession de lancer de dés, c'est un jeu profond qui n'est pas près de nous quitter
A moins d'être afficionado du Risk, cette version ne présente pas d'intérêt, ne renouvelant aucunement le genre. Elle se situe parfaitement à mi-chemin entre la version 2008 (objectifs, récompenses, base, villes) et la version 2210 (héros, cartes à pouvoir, design futuriste).
Elle trouvera preneur chez les fans de Starcraft voulant jouer avec un public jeune : ici pas de différence entre les races (les 3 decks, un par race, se suivent et se ressemblent), ce qui est inacceptable pour un stratège, mais appréciable pour ceux qui veulent de la simplicité. Le système de cartes et de leaders est beaucoup plus léger qu'au Risk 2210.
En conclusion une jolie mouture pour ceux qui n'auraient pas les précédentes (4/5), les autres passez votre chemin (2/5).
Plus qu'un jeu, c'est devenu une famille de jeu!
On parle des Puerto Rico-like pour les jeux de gestion, et les Risk-like pour les jeux de guerre non simulationnistes. ALors cela fait du bien de temps en temps mais il faut avouer que la part du hasard avec la malchance lors du lancer de brouette de dés, peut annihiler la plus fine stratégie de jeu.
J'ai juré comme jamais pour cette raison, lors de parties mémorables de risk.
D'autant que les parties restent très longues pour un jeu aux règles si simples!
Depuis, il y a eu Napoléon, 2210, seigneur des anneaux, star wars.
J'avoue préférer les petits frères (vieux aussi) comme targui, zargos etc.
Mais ce n'est que mon avis.
Bon voilà, on va pas se la raconter, c'est un Risk : un presque pur jeu de dés bête et méchant où on se jette des menaces par-dessus la table, on crie, on pleure, on se moque... Risk, quoi.
Les allergiques DOIVENT passer leur chemin, il n'y a rien de neuf ou presque sur la base des règles.
En revanche, et c'est bien ce qui est annoncé, le grand intérêt de ce Legacy est une immersion et une implication au niveau des inter-parties. Le jeu va changer entre chaques parties (ou même pendant), parfois juste le plateau, parfois carrément des pans de règles entiers. Chaotique ? Sûrement. Mais, hé, les gars, c'est la guerre ou bien ?
Ces évolutions définitives finissent par raconter un semblant d'histoire, unique à chaque tablée. On rit parfois jaune à certains grands tournants tragiques de sa faction favorite, mais c'est aussi ça qui m'a plu.
Ecrire des bêtises sur le plateau ? Déchirer des cartes ? Oui, on fait ça aussi... et alors ?
Je déteste le Risk, et ce d'autant plus que les joueurs prétendent savoir y jouer: je te prends un territoire et je pioche, tu me le reprends et tu pioches, et la partie s'éternise de longues, loooongues heures et c'est juste horrible! Même les sempiternels jets de dés me dérangent moins que ça!
Je vomis les démarches commerciales qui poussent un éditeur à vous "offrir" un demi-jeu.
Mais je suis fana de l'univers de Tolkien (je ne parle pas des grotesques films que j'ai pourtant vu et revu parce que visuellement, c'est ça, mais des écrits, des langues, de la mythologie) et la carte du Risk SdA est tellement belle et j'aime tellement les cartes! Et quitter la Lothlorien avec une armée d'Elfes pour les Terres Brunes me fait tellement rêver que je ne peux pas détester ce jeu.
Voilà c'est pas objectif, c'est peu argumenté, c'est juste le coeur et l'imagination d'un nostalgique des Ages oubliés qui parlent.