Je suis assez fan de la plupart des jeux Ystari, je dois le reconnaître, mais alors que certains ont révélé leur saveur après seulement une dizaine de parties, Olympos s'appréhende très rapidement et révèle toute sa finesse dès la première partie.
Pourtant on sait tout de suite qu'on aura envie d'y jouer très souvent, pour essayer de gagner en empruntant chaque fois un chemin différent, en faisant des découvertes différentes.
D'une grande simplicité de règles, le jeu est sans cesse renouvelé par la disposition des découvertes et les variations apportées à la carte.
Mon fils de 9 ans adore ce jeu et nous y avons joué tout l'été. Il est donc abordable assez tôt par des enfants déjà joueurs.
En conclusion, une nouvelle réussite de Ystari et Philippe Keyaerts.
J'attendais beaucoup de ce jeu et finalement c'est un peu une déception.
Déjà niveau matériel c'est peu lisible et pas très beau. Le choix des couleurs pour les ressources est très très douteux et pas daltonien friendly pour un sous.
Ensuite qu'est-ce que c'est que ce carton pour le plateau des technologies? Ils auraient pu faire un vrai plateau comme pour la carte.
Le thème ne colle pas vraiment, les technos m'ont l'air moyennement équilibré, je trouve le cheval beaucoup trop fort.
Sinon j'aime le mécanisme de la piste de temps, même si on a tendance à s'ennuyer lorsqu'on fait des actions longues. Il y a relativement peu de hasard, la carte est suffisamment petite pour obliger les conflits militaires.
Et puis il manque quelque chose, je ne sais pas. Je trouve le jeu intéressant, mais pas très très fun. A vouloir faire tenir le jeu en 1h30 j'ai l'impression qu'on perd la richesse d'un jeu de civilisation.
Je lui préfère largement le dernier Civilization de Sid Meiers, mais qui pour le coup est beaucoup plus long à jouer.
Bref bien, mais sans plus.
Voilà un jeu qui est très bien fait. Niveau mécanisme, thème, tactique et stratégie, c'est vraiment une très belle réussite.
L'aspect de ce jeu que j'ai préféré est la gestion du temps : les actions coutent du temps en fonction de leur importance mais celui-ci est limité il faut donc bien gérer l'ordre de chacune d'entre elles pour bien les combiner et optimiser vos chances.
Bon, vous risquez de ne rien comprendre à la première partie, tant les différentes possibilités de développement sont nombreuses (militaire, mobilité, technique, religieuse, etc). Mais c'est bien la preuve de la richesse de ce jeu. De plus, comme le placement des tuiles de construction est aléatoire, chaque partie est très renouvelée.
Bref un des meilleurs jeu auquel j'ai joué ces derniers temps.
Voila un jeu dont je ne suis pas prêt de me lasser. La rejouabilité est énorme, entre les nombreux développements à faire et à combiner, les territoires plus ou moins dispo entre chaque parties.
De nombreuses pistes sont à explorer pour arriver à la victoire. Le matos est très correct, mis à part le plateau de développement dont le carton est un peu léger. Seul défaut pour ce superbe jeu.
Olympos est un jeu de civilisation qui s'ajoute à la longue liste des jeux de ce type.
Ystari prouve une fois de plus qu'il maîtrise parfaitement sa copie.
Belle présentation, thème attrayant et paramétrage parfait du rapport complexité/ durée/ accessibilité.
Inévitablement cette nouveauté du moment ne pouvait faire que rapidement des adeptes .
Pour autant Olympos est loin d'atteindre à mon sens les sommets ludiques de l'Olympe...
Le matériel est dans la bonne moyenne mais déçoit avec son médiocre feuillet en carton léger pour les tuiles technologies/merveilles.
On aurait également souhaité un peu plus de lisibilité pour les jetons qui ont tendance à se confondre une fois étalés sur le plateau. Ce manque de visibilité se retrouve sur le plateau annexe de développement. Le graphisme des cartes destin est également peu flatteur...
Les mécanismes sont bien huilés mais restent peu novateurs (gestion du temps et des tours de jeu).
Le renouvellement des parties est astucieusement assuré avec le positionnement aléatoires des tuiles en début de partie.
Le jeu demande une certaine connaissance des pouvoirs que procurent les tuiles pour optimiser sa stratégie. Certaines donnent un avantage incontestable qui peut se révéler déterminant. La possession de merveilles semble indispensable à la victoire. Le nombre de points de victoire qu'elles procurent est conséquent et la recherche des points étoiles nécessaires à leur construction est un point essentiel du jeu qui donne lieu à des combats acharnés pour la possession de certains territoires. Il suffit de peu pour se faire doubler et la victoire est souvent une question de timing.
Toute la richesse du jeu est à chercher dans cette course d'achat de tuiles et dans les combinaisons que l'on peut espérer faire pour les exploiter à leur maximum.
Olympos séduit donc rapidement dés la première partie par la durée raisonnable de ses parties et son accessibilité rassurante associée à une bonne profondeur. Pourtant je lui reprocherais un certain manque de personnalité. Le jeu est indéniablement attrayant mais semble être un assemblage classique de mécanismes déjà appliqués dans d'autres créations plus inspirées.
On peut alors se poser la question légitime sur sa durée de vie. A terme Olympos risque de décevoir bon nombre d’aficionados de la première heure...
Olympos fait partie de ces jeux de réflexion pure, avec très peu de hasard, et où l'ordre des actions est primordial pour réussir : se procurer telle ressource, pour acquérir telle tuile qui donnera tel avantage pour en avoir une autre.
Assez classique, et au final le genre de jeu qui n'est pas trop fait pour me plaire.
Et pourtant, à mon sens, Olympos est sauvé par deux choses :
- Le système de temps : chaque action a un coût en temps, qu'on peut tenter de réduire, mais de toutes manières, on donnera tôt ou tard le tour à ses adversaires. A nous de bien calculer pour nous retrouver avant celui-ci, mais après celui-là pour lui piquer sa tuile juste avant qu'il ait la bonne ressource. Ce système est original, je ne l'ai jamais vu, et il n'est pas gadget : la gestion du temps relatif aux autres et fondamental pour réusssir sa partie.
- La territorialisation et l'aggressivité : contrairement à Agricola et autres jeux du même acabit, qu'on peut au final pratiquer seul, ou à plusieurs tout en regardant la télé car même si on peut prendre les trois bois avant l'autre, chacun fait quand même son truc dans son coin, et bien Olympos territorialise la lutte : on peut attaquer les autres, leur prendre leurs territoires, leurs ressources, obtenir des avantages militaires pour le faire et ainsi les priver de ressources en étant bien placé. Cet aspect directement agressif sauve pour moi Olympos : un joueur qui en réflexion abstraite pure pourra opérer les meilleurs algorythme pourra allégrement se faire rentrer dedans et perdre ses avantages si chèrement réfléchi.
Un peu de diplomatie et de discrétion s'impose.
C'est peut être ce manque de contrôle total que critiquent ses détracteurs?
Pour moi, c'est clairement un plus.
Plusieurs parties à 2 joueurs et à 4.
Le jeu est très plaisant, on est plongé dans le jeu qui demande pas mal de réflexion. Les règles sont simples, vite expliquées mais la profondeur stratégique du jeu vient de la modularité du plateau et de la richesse des technologies.
A deux les parties sont rythmées, on a envie de faire mille choses et pourtant la partie se termine très (trop) vite. Les parties à 5 sont beaucoup plus longues, surtout avec des personnes qui tendent vers l'analysis paralysis.
Les parties sont également très tendu tout le long de la partie. C'est un peu comme une course au développement mais il ne faut bien choisir ses coups pour ne pas trop se mettre en retard !
Je regrette juste un peu qu'à deux il faille focaliser sur les zeus pour ne pas subir la colère des dieux à répétition.
Les illustrations sont jolies mais la boîte est, malheureusement à l'habitude des créations Ystari , le summum de la simplicité, ce qui joue néanmoins en faveur du prix de la boîte.
Un jeu a acheter pour les amoureux du thème et/ou des jeux Kayaerts.
Servit par un mécanisme simple et binaire, Olympos n'en reste pas moins un gros jeu. Tout joueur appréhendera après 2-3 tour sa profondeur, sa finesse et sa richesse.
Les 2 plateaux sont remarquablement complémentaires, un pour la stratégie et un pour la tactique. Comment utiliser le second pour faire avancer sa civilisation.
En plus de cela, le jeu n'est pas figé. On se déplace énormément sur la carte, on change de territoire, on conquiert, on s'enfuit, Ca bouge et ça interagit.
Très bon titre, que je sortirais de préférence pour faire un jeu de civ' vu le temps raisonable qu'il propose.
Un très bon jeu, j'ai une partie à mon actif (Paris est Ludique)
J'aime le côté, on descend vers le bas du plateau de jeu, à la recherche de l'atlantide !
J'adore avant tout le plateau d'évolution des compétances, grosse richesse stratégique !
De l'expansion sur la carte, quelques combats, et un arbre de technologies, tous les ingrédients d'un jeu de civilisation sont là.
Un mécanisme basé sur une échelle de temps à la Thèbe : une piste de temps autour du plateau, chaque joueur est positionné et le joueur actif est celui le plus en retard sur la piste ; chaque action prend un certain temps et fait donc avancer sur la piste ; lorsqu'on arrive au bout de la piste, le jeu est terminé. Simple, efficace. Un nombre d'actions limités : s'étendre sur la carte, développer une technologie ou construire une merveille, permet un jeu simple est rapide. À cela s'ajoute des combats gagnés automatiquement mais qui prennent plus ou moins de temps, et voici comment on arrive à tenir en moins de 2h.
Simple ai-je dit, mais pas simpliste. Clairement, il me semble que ce jeu est plus exigent qu'il ne le laisse paraitre sur les premières parties. Jouer dans son coin, privilégier son développement sans se préoccuper des autres est une erreur fatale. Mais pour que ça fonctionne bien, il faut que tous les joueurs soient conscients de cela et soient prêt à aller contrer les autres, en prenant le risque de ne pas pouvoir suivre ensuite le plan initial, car sinon, c'est la victoire assuré pour celui qui prend un meilleur départ ou une ligne de développement qui semble meilleure.
J'ai le sentiment, mais aucune certitude, que ce jeu est meilleur à 3, voire à 2 qu'à 4 ou 5. Notamment à 5, il me semble très difficile de contrer un adversaire bien parti car les changements sont tels entre deux tours, les risques de s'affaiblir face à un autre joueur si grands, que finalement les joueurs restent assez prudents et donc favorisent implicitement un joueur qui aurait pris un départ particulièrement bon.
Quoiqu'il en soit, ce jeu est un de mes coups de coeur récents. Alors, pas aussi épique que l'ancêtre Civilization de AH, Olympos est un jeu riche et complet. Profond, riche, avec une grande rejouabilité du fait de la configuration de départ changeante (régions interdites différentes à chaque partie, tableau de technologie disposé différemment), il est facile à expliquer tout en recélant une vraie richesse et profondeur de jeu.
Olympos connait un gros buzz.
Mais je rejoins beaucoup de personnes qui ont testé le jeu en ne comprenant pas pourquoi tant de bruit.
Le jeu est très sympa mais il manque quelque chose :
J'ai l'impression de trouver un mélange de plusieurs débuts d'idées sans être convaincu par le mélange.
Small World restera donc mon favoris de Keyaerts.
J'y rejouerai avec plaisir cependant mais il n'est pas le messie tant attendu.
...et toujours pas envie de faire la deuxième.
J'attendais beaucoup de cette partie et franchement très déçu. Très loin d'un jeu de l'année pour moi.
Mais bon je le répète, une seule partie à mon actif. Je modifierai peut-être après 4-5 parties.
J'ai bien aimé Olympos et je l'ai acheté comme tous les Ystari mais je ne suis pas sûr d'y jouer si souvent.
D'une part, le plateau qui est une copie en gros plan de Civilisation m'a laissé sur ma faim. Le matériel pourrait être de bien meilleure qualité et le design néo-grec pseudo-antique est hyper kitch. Ca manque un peu de classe tout ça. En plus, les couleurs piquent les yeux, les ressources sont illisibles. Ce n'est pas vilain, mais peu ergonomique. Bref, le jeu mérite amplement d'être réédité.
A part ça, le cours du temps se laisse parcourir avec un intérêt, le jeu des tuiles est cohérent, les petits mécanismes adjacents sont bienvenus, le tout visiblement bien testé, bien équilibré. C'est donc un vrai bon jeu que les amoureux d'Ystari apprécieront à juste titre.
En ce qui me concerne, un jeu de civilisation aussi court me laisse sur ma faim, d'autant plus qu'il reprend des recettes déjà vues dans d'autres jeux de Civ plus lourds, plus anciens, plus longs, et bien plus passionnants.
Olympos est accessible et profond. C'est là déjà une prouesse qui rend compte à elle seule de l'excellence ludique qu'il constitue. En tant que tel, il rejoint donc la catégorie restreinte de ces jeux qui s'adressent à des joueurs pressés mais désireux de complexité.
La mécanique propre à l'échelle de temps ne promeut aucune stratégie en particulier : elle encourage néanmoins à optimiser ses actions en ne déviant pas de sa ligne stratégique initiale. On ne prendra pas de réduction sur les déplacements maritimes si l'on ne compte pas fréquemment faire un tour en mer.
Le principe laisse donc très (trop?) peu de place à l'imprévu et à l'improvisation, en favorisant les esprits rigoureux et calculatoires. L'effet le plus pervers d'un "mauvais jeu" (entendez, un jeu trop gourmand en nombre de temps)sera donc, plus encore que d'être pénalisé sur le décompte final des points "prestige", la sanction de l'attente, qui peut être longue lorsqu'un bon joueur (c'est-à-dire, calculateur), doit effectuer plusieurs tours et considérer chaque fois l'action qui lui permettra d'atteindre un optimum de points.
Au vu du nombre conséquent de tuiles "découverte", chacune ayant un effet propre, les orientations stratégiques sont rendues multiples. Par ailleurs, la configuration du plateau central, à géométrie variable, fonction de la répartition des territoires condamnés, participe à renouveler l'intérêt en incitant les joueurs habitués à diversifier leur jeu. On discerne ici la profondeur d'Olympos.
S'il est extrêmement calculatoire, il réussit toutefois le tour de force de rassembler les esprits : ceux qui perdent souvent réitèrent pour tenter d'améliorer leurs scores précédents (et souvent y parviennent), en explorant de nouvelles voies, et généralement en se montrant plus économes et plus parcimonieux. Quant aux doués, le challenge mathématique indéniable et renouvelé suffit à maintenir leur intérêt.
Justement, Olympos pêche parfois par son aspect individualiste : il insiste par trop sur les parcours parallèles aux dépens de l'interaction entre les joueurs. Qu'y a-t-il pour agir sur les autres? Le système de combat? Il s'associe généralement à une course au nombre d'épées. La compétition pour l'achat des tuiles "découverte" ou des merveilles? Peut-être, pourtant, la plupart préféreront acheter la découverte ou la merveille qui leur sera directement utile, plutôt que de tenter (opération quelquefois autrement plus avantageuse) d'endiguer l'avancement d'un autre joueur en achetant celle qui aurait pu lui être utile.
C'est sans doute une dernière subtilité d'Olympos.
Tout simplement un des meilleurs jeux auxquels j'ai pu jouer .
Boite sublime (exception faite pour le nom), matos de bonne facture (excepté le plateau des devellopements , oui encore lui).
Une mecanique tres bien trouvée , un choix d'action a son tour de jeux au premier abord limité mais quelle richesse derriere .
Une rejouabilitée incroyable et differente stategies a exploiter a chaque nouvelle partie .
Theme accrocheur pour des joueurs casual voir des non joueur et qui au final colle assez bien au jeu .
Bref une incroyable reussite , et pourtant je ne suis ni fan de Mr keyaerts , ni Fan en general des jeux Ystari (Sauf R4TG).
Des regles simple et efficace (Merci la TTTV), et un prix correct.
Que demander de plus ?
Et dire que je pensais sincerement que se jeu n'etait pas pour moi !!!
Déjà séduit par l'expérience sur proto lors du salon de Cannes, j'ai vraiment pu jouir de ce jeu en présence de mes amis lors de sa sortie sur les étals. Les forces d'Olympos sont :
- son accessibilité. Les règles sont claires et brèves à lire comme à expliquer. On se lance très vite dans la première partie.
- sa richesse et sa subtilité. Très vite on se rend compte qu'une habile stratégie est nécessaire pour l'emporter. A chaque tour se pose le dilemme entre s'installer ou acheter une découverte moyennant beaucoup de temps.
- une interactivité plaisante. On ne fait pas que jouer de son côté. On peut aller combattre un adversaire, acheter la découverte convoitée par d'autres, etc. Tout cela sans perte de rythme. L'ambiance à table est assurée.
- sa rejouabilité. A chaque partie des territoires différents sont condamnés et les tuiles découvertes sont placées différemment. De fait chaque partie est unique.
- Son esthétique. Cyril Demaegd a de la chance d'avoir un frère aussi doué ! L'aspect général est très beau et les tuiles sont superbes. Chapeau.
Pour conclure, ce jeu a fait l'unanimité parmi mes amis aux goûts ludiques variés. Je n'ai qu'une hâte, rejouer encore et encore !
bon jeu qui allie le temps dépensé la guerre et les ressources pour développer la civilisation
un peu frustrant de ne pas finir ce que l'on a entreprit
la beauté du jeu fait oublier le rangement sommaire de tout bon ystari!
Ce jeu ne m'a pas emballé comme l'ont fait Evo ou encore SmallWorld pour citer les autres jeux récents du même auteur que je possède.
Premièrement, le matériel est décevant, le plateau est difficile à lire et visuellement pas très agréable à regarder.
Les jetons de ressources sont très petits et le bois et le grain trop semblables au niveau des tons de couleur ce qui peut parfois induire des erreurs.
Finalement ces mêmes jetons sont également trop chargé graphiquement, d'où un rendu peu éloquent et peu esthétique.
La feuille de développements annexe, hormis le fait que ce soit une "feuille", est également peu lisible...toujours à cause de ces icônes de ressources très mal conçu !
Des pièces de bois ou de plastiques pour remplacer ces jetons rendrait la chose plus sympa à manipuler, à regarder et surtout à appréhender.
Les cartes sont très fines et les impressions semblent un peu délavées !! en tous cas mal calibrées ...
Malgré cela, le jeu est assez sympa à jouer, cours, avec un système de tour "original" (même si cela existe déjà ailleurs). On regrettera parfois d'attendre un peu trop son tour justement ! Analysis Paralysis oblige ! Ne pas jouer avec des gens impatient.
Pas mal de calcul et de coups fourrés possible, trop peut être ... les stratégies pouvant être réduite à néant victimes des combats sans pitié !
A essayer ! à approuver et éprouver... Personnellement je n'ai pas encore renoncé à y jouer, car son potentiel est intéressant et mérite probablement d'être approfondi.
Une diversité bienvenue dans la création du tableau de technologies, du plateau de jeu.
Un déploiement ludique bien rendu.
Une traçabilité des adversaires et des possibilités de se retourner tout font que le mont OLYMPOS peut sans vergogne cotoyer la montagne ( magique )COLONS DE KATANE.