Un jeu que l'on explique en 2 minutes, assez futé, accessible à tout le monde et dont les parties ne durent pas longtemps, ça fait toujours du bien.
Si le vainqueur d'une partie normale (premier à 5 points) est décidé grandement par le hasard, nous enchainons avec mon père les parties en 20 points et là c'est souvent le même qui gagne à l'arrivée.
C'est simple comme tout mais les choix à faire sont loin d'être évidents.
Ceux qui pensent que le hasard y est plus présent qu'aux Cités Perdues n'ont rien compris, tout simplement.
Je reste convaincu que Reiner Knizia a trouvé des modèles mathématiques secrets pour générer des bons jeux à la pelle. C'est d'ailleurs intéressant de le voir décliner une mécanique sur plusieurs jeux.
Schotten-Totten est de nouveau basé sur une mécanique toute simple (comme le sont tous ses jeux, y compris les plus complexes): je joue une carte-je pioche. Au lieu de jouer un poker à une main, on joue ici 9 mains simultanées de maximum 3 cartes, visibles, sur lesquelles on répartit progressivement des cartes dans l'espoir de réaliser de bonnes combinaisons (suite, brelan, couleur, "quinte" flush...).
Le tout n'est pas de faire des combinaisons d'enfer, il suffit qu'elles soient meilleures que celles de l'adversaire.
Calcul combinatoire, de probabilités, intuition, bluff, tout y passe lorsque l'on joue à Schotten-Totten, et pourtant il laisse une impression de légèreté dont on ne se lasse pas.
C'est encore un coup de maitre.
Derrière une apparente simplicité se cache un bon jeu de stratégie mêlant long-court terme, attaque- défense... Beaucoup de palisir à jouer à ce jeu qui s'emporte partout
Indispensable...
Bon, Battle Line réutilise les illustrations de "The Great Battles of Alexander", genre dessins de manuels d'histoire d'avant-guerre.
Cependant, le jeu est excellent, il rappelle les "Cités Perdues" du même auteur et, allez savoir pourquoi, le thème semble ici moins artificiel.
Il s'agit bien sûr d'un nouvel habillage pour Schotten-Totten, mais avec des cartes "tactique" en plus; ces cartes ajoutent piment et chaos au jeu de base, mais leur utilisation reste optionelle.
Ainsi, selon votre humeur, vous pourrez doser le chaos de vos parties.
Un jeu que l'on explique en 2 minutes, assez futé, accessible à tout le monde et dont les parties ne durent pas longtemps, ça fait toujours du bien.
Si le vainqueur d'une partie normale (premier à 5 points) est décidé grandement par le hasard, nous enchainons avec mon père les parties en 20 points et là c'est souvent le même qui gagne à l'arrivée.
C'est simple comme tout mais les choix à faire sont loin d'être évidents.
Ceux qui affirment que le hasard est prépondérant et que les Cités Perdues (bien qu'étant également un excellent jeu) est au-dessus question stratégie ont probablement raté une grande partie de la subtilité du jeu...
La version Française contient des cartes "action" supplémentaires mais qui n'ajoute pas grand intérêt sauf si vous jouez avec vos enfants et qu'ils veulent une plus grosse part de hasard encore...
[Usage: une dizaine de parties]
On cherchait un jeu à deux, on a choisi celui-ci sur les conseils d'un passionné.
J'ai trouvé l'ambiance un peu fade, je n'aime pas trop le graphisme des cartes. La mécanique du jeu est simple, mais permet des parties assez riches.
C'est certainement un bon petit jeu de réflexion à deux, simple et sans prétentions. Un jeu à jouer au bar entre deux bières en parlant de la pluie et du beau temps ...
Je n'arrive pas à éprouver du plaisir à y jouer, je préfère de loin les jeux avec un thème et une ambiance forte.
Règles rapidement expliquées, matériel simple, ce jeu fait fortement penser aux cités perdues, mais il a pour lui qu'on se sent moins sans pouvoir sur le jeu.
De toute façon, si vous ne gagnez pas, c'est de votre faute !! Il fallait mieux gérer vos cartes !!
La bonne technique pour gagner les frontières, c'est d'attendre le plus longtemps possible avant de s'engager dans une combinaison ou bien de faire en sorte de bluffer votre adversaire, mais si ça se trouve, c'est lui qui à la carte qui vous manque (et il jubile secrètement derrière sa main)
Idéal pour débuter une soirée jeux.
Un seul reproche, l'interaction entre les joueurs est inexistante, mais bon c'est pas ce qu'on lui demande. En tout cas, prévoyez un petit fond sonore, ça sera plus sympa !
Un jeu de cartes de combinaisons très sympathique au mécanisme original et rigolo.
La prise de risque est jouissive même (surtout) quand ça tombe à l'eau!
Très bon jeu à 2. Merci Reiner!
Trop d'incertitude avant les 9/10 de la partie, trop peu de possibilités avec les cartes en main, trop de possibilités de restreindre ses combinaisons avec le peu de cartes en main (car on est obligé de jouer, se seulement chez soi), pioche donc hasard...
-pour la première carte, comment savoir quoi jouer ? alors on joue une carte... et l'adversaire pose en face une carte supérieure. Youpi... alors il faudrait faire pareil...
-et donc dès la deuxième carte, on restreint énormément les combinaisons possibles (ainsi que leur valeur) à cet endroit : impossible, donc, à rattraper.
-tu ne peux jouer que chez toi même si tu possèdes des cartes qui ne t'arrangent pas
- on est obligé de fonder sa "tactique" sur le bluff (super solide comme tactique) et l'espoir d'avoir les cartes nécessaires.
Préférez "Ballon Cup" que beaucoup lui comparent : tous ces points négatifs en sont absents.
[edit : après de nombreuses parties, encore et encore, avec beaucoup de bonne volonté, de tentatives de changement de stratégie, rien n'y fait, ce jeu n'est vraiment pas pour moi, je perds tout le temps, la chance fait tout --> 1/5]
J'ai beauvoup joué à ce jeu et je l'ai ensuite délaissé. J'essaye de trouver des raisons à celà. Est-ce parce qu'il y a une part de chance trop importante pour moi, est-ce à cause de nombreux très bons jeux à deux qui sont sortis par la suite ? Sans doute les deux. Mais disons-le clairement, c'est un jeu très agréable qui peut donner de petites parties très sympa si les deux joueurs jouent vite. Le mécanisme des combinaisons et des menhirs à remporter est vraiment efficace.
Tout ça me fait penser que le prochaine fois, au lieu de sortir l'autre Knizia qui ressemble (Lost Cities), je vais dépoussiérer celui là. Grand bien m'en prendra.
nombre de parties : entre 10 et 20
Petit jeu qui n'a l'air de rien, ce "Schotten totten" (pourquoi pas "Totten Schotten" tant qu'y y sont?) se révèle redoutable.
On peut jouer décontracté, et y prendre du plaisir, et au contraire se concentrer, et y prendre aussi du plaisir.
Partie courte... Quelques faux airs de citées perdues", de "Oh Hisse!", de Poker, vous m'en servirez 800grammes ma p'tit dame.
Vaut le détour à mon humble avis (en tout cas plus que l'Ecosse!!)
J'ai acheté ce jeu juste avant de partir en vacances pour jouer pendant la sieste de ma petite fille. Et comme dirait un copain ... c'est du bonheur !
C'est vrai, la chance est trés présente. Aprés tout, c'est un jeu de cartes :). Néanmoins, on peut définir des stratégies de poses qui minimisent les effets de la deveine. Et une manche est tellement rapide que tout peut changer en un rien de temps ! Il suffit d'y croire.
Des jeux à deux que je connaisse, c'est probablement l'un de ceux que je préfère.
Tout comme beaucoup d’autres jeux à deux de Knizia, le thème est totalement sans importance.
Pour certains, ce jeu est très proche des Cités Perdues, pour d’autres il n’a rien à voir. Une première partie m’a effectivement fait penser auxCités Perdues (et je ne comprenais pas l’intérêt de la « preuve » à apporter), et puis, ben effectivement c’est plus complexe et il y a vraiment des décisions à prendre, des calculs à faire.
Ceci dit, cela reste un jeu de gestion de probabilités et, même si le raisonnement intervient, il n’y a pas grand chose à sauver en cas de tirage désastreux…
Pour le principe du jeu, j’aurais bien mis 5/5, mais bon, les cartes sont vraiment moches (mais on s'y habitue rapidement) et pas très lisibles.
Pour nous, c'est LE jeu à deux. D'abord les illustrations à la Asterix sont géniales et puis vient la partie elle-même. Tous ces choix à faire : cette combinaison là, je suis sûr de l'avoir mais elle pourrait bien avoir plus fort ou il faut que je pose mon 9 bleu pour lui montrer qu'elle ne peut plus avoir la majorité sur cette borne mais où vais-je le mettre ?
Et puis tout ce suspens...
Et puis, moi qui ai horreur d'avoir à retenir les cartes jouées, là, je peux enfin jouer comme les grands : elles sont toutes sous mes yeux...
Du tout bon...
Schotten-Totten, j’adore et ma femme aussi, on sans lasse pas.
Ce jeux est simple et pourtant on enchaîne les parties sans fin.
C’est du bon.
Seul critique négative les couleurs ne sont pas terrible, j’ai un ami joueur qui est daltonien et c’est dur pour lui. Mais il suffit de faire de petits symboles sur les cartes pour que les daltoniens puissent jouer.
Pas évident de faire un jeu aussi complet que **Schotten-Totten**, simple et qui se joue à 2. En plus, les dessins sont bien faits et l'idée des bandes d'écossais qui se disputent des lopins de terre est amusante.
Mention spéciale pour l'idée de donner la victoire finale en cas de 3 pierres adjacentes et pour le fait qu'on puisse déduire le gain d'une pierre en fonction des cartes jouées.
**Schotten-Totten** : ça barde dans les Highlands !
Ya pas photo, c'est celui qui ressort le plus ... et on a la place pour y jouer dans le train.
Du tout bon je vous dis. ^^
Règle simple, partie rapide avec une bonne part de stratégie et de hazard.
**Schotten-Totten** est un jeu simple, très simple avec les mécanismes du poker à 2.
C'est le jeu que j'emmène *presque* partout !
Pour moi, un des meilleurs jeux que je connaisse.
P'tit jeu 2 joueurs sans prétention mais beaucoup d'intéret. Règles simplissimes, puis réflexion tendue pour les appliquer.
Les parties se terminent souvent à l'arraché.
Les bonnes trouvailles : les deux conditions de victoires (5 paturages ou 3 adjacents) et le fait de pouvoir réclamer un paturage s'il apparaît que l'adversaire ne peut faire mieux que vous (vous évitez ainsi que votre adversaire se serve de ce territoire perdu d'avance comme défausse).
En plus, encombrement et prix ridicules. Pourquoi se priver.