Sérieux par excellence, je comprends parfaitement qu'on qualifie les échecs de roi des jeux par excellence. Mais peut-être est cela la cause pour laquelle tout le monde n'accroche pas : sa rigueur.
A améliorer avec un tempête sur l'échiquier...
Un jeu hérité d'une autre époque, où le but était de se mesurer directement à un adversaire, sans aucun dérivatif lié à la chance ... De la confrontation pure et dure ! Amis amoureux des dés et autres cartes, passez votre chemin ...
Des règles simplissimes (chacun joue à son tour une de ses pièces, chaque pièce possédant son propre mode de déplacement), mais offrant des choix tactiques extrèmements vastes ...
Pour moi, définitivement le jeu des jeux. Peut-être un peu trop studieux parfois, mais toujours agréable (et pourtant, des taules, j'en ai pris et j'en prends encore ;-)
L'échec est un jeu qui doit être connu par tout jeueur. Le problème, c'est qu'il est extremement riche et y le maitriser signe l'arret de tout autre jeu, à moins de passer sa vie à ça !!
Le jeu par excellence. Les règles sont assez simples pour être assimilées très jeune, et néanmoins assez riches pour que l'on y consacre sa vie !
Et si l'on se lasse de ce classique, on peut toujours l'agrémenter d'un soupçon de fantaisie, avec [Tempête sur l'Echiquier](//www.trictrac.net/jeu-de-societe/tempete-sur-l-echiquier) ou bien Yalta (variante permettant de jouer à trois avec un échiquier hexagonal, je n'ai pas testé).
Un jeu pour tous.
L'intérêt: une partie n'est jamais l'autre. Il y a tellement de possiblités de manoeuvrer ses pions, d'adopter une tactique ou une autre, ou encore d'en changer en cours de jeu!
Tout cela fait que ce jeu est vraiment bien.
A déconseiller: au personne qui n'arrive pas à avoir une vue d'ensemble d'un jeu et d'ainsi prévoir plusieurs coups à l'avance (de soi ou de son adversaire)
A la portée de chaque bourse!
Un des meilleurs jeux à 2!
Si vous voulez être sûr de trouver un adversaire au bout du monde allez y sans hésiter mais si vous cherchez quelque chose de sympa, oubliez tout de suite.
LE symbole même des jeux de plateau / reflexion, tendance wargame. Des parties sans différentes, des joueurs disponibles partout. Incontournable. Par contre, pas très fun.
J'ai joué aux ehecs plus d'un an en club, et à force, je me suis franchement lassé.
Ce jeu a effectivement d'innombrables points forts, et il est inconstestable que les stratégies à appliquer pour gagner peuvent être extrêmement fines.
Cependant trois points faibles m'ont finalement lassé à la longue :
1. La différence de niveau. Jouer contre un joueur plus fort n'a que peu d'intérêt, car il n'existe pas de système correct de handicap aux echecs et c'est la taule assurée. De quoi écoeurer bien vite.
2. Le jeu est incroyablement statique - beaucoup plus statique que le jeu de go, alors que paradoxalement, au go les pierres ("pions") ne se déplacent pas. Ceci découle de la taille. 64 cases, c'est pas si énorme que ça. Du coup, la liberté de mouvement est extrêmement limitée.
3. Le seul moyen de gagner est de détruire en face. Il n'y a aucun aspect de construction et l'ouverture est limitée par le placement obligatoire des pièces au début du jeu.
Tous ces inconvénients me font de loin préférer le jeu de go. Cependant, je comprends tout à fait que l'on puisse aimer.
J'aime bien me prendre la tête avec ce type de jeux et puis, ça apprend l'anticipation. Vraiment, j'aime beaucoup.
Seul problème mon amoureux, il aime pas du tout alors je peux pas jouer souvent.....
Veritable doyen des jeux de societé.
les eches s'adressent à un public averti c'est un sport cérébral!!!!
pour ceux qui veulent plus de fun, essayez avec le petit plus de Faidutti "Tempête sur l'échiquier".
J'ai beaucoup joué aux échecs dans ma jeunesse, j'ai étudié les combinaisons, j'ai affronté mon ordinateur, j'ai progressé, j'ai compris la tactique, comment analyser un plateau.
Ce jeu magnifique ne m'intéresse absolument plus maintenant parce que j'ai envie de m'amuser!!
Pour bien jouer aux échecs, il faut un adversaire de niveau similaire, ou alors jouer tout seul contre un ordinateur. Mais est-ce qu'on s'amuse vraiment?
Est-ce qu'on est vraiment en train de faire quelque chose avec son partenaire?
On retrouve les échecs sous divers formats à travers les âges et sur tous les continents, est-ce encore un jeu ou un exercice du prolongement de la pensée et de la réflexion?
Je ne me hasarderais certainement pas à le juger mais je donnerais humblement mon sentiment face à ce "monstre sacré" : c'est grâce à lui que mon père m'a enseigné la stratégie et la tactique, c'est avec ce jeu que j'ai appris la patience et la réflexion, enfin c'est autour de ce jeu que l'on s'est retrouvé avec de bons amis afin de passer un agréable moment.
Merci les échecs.
ce jeu est passionnant parait il. Je crois que c'est vrai mais je n'ai jamais eu de mentor pour m'apprendre à devenir amoureux de ce jeu. Jouer c'est bien mais maitriser un tel jeu c'est mieux...alors une partie sérieuse et le reste avec tempête sur l'échiquier ou des variantes.
30 parties environ.
Les échecs est un jeu impressionnant, d’une diversité incroyable.
Initié lorsque j’étais enfant, je me débrouillais pas trop mal, je me souviens de très belles parties contre mon frère. Puis nous avons cessé d’y jouer pendant longtemps. Bien des années plus tard, un ami, amateur de ce jeu, tente de m’y remettre. Complètement perdu par les possibilités du jeu, je n’y retrouvais pas le plaisir de quand j’étais enfant. Après quelques parties, je renonce.
Encore quelques années plus tard, je tombe dans l’univers du jeu de société, en y poussant cette même personne. Évidemment, il ressort rapidement son échiquier. Entre temps, ma vision du jeu a changé, je suis alors habitué à perdre sur les nouveaux jeux qui demandent de l’expérience. Je me mets donc à jouer dans une optique différente, en réfléchissant moins, en tentant des choses et surtout en observant.
Je deviens donc pour lui un adversaire passionnant car je lui propose de nombreuses situations inédites, et que mes coups réservent des surprises (car si vous avez bien suivi, je les réfléchis peu, préférant me fier à mon instinct). Au fil des parties (et des défaites, bien entendu), je commence à apprivoiser le jeu, à lire le damier, à me constituer une bonne défense, à préparer quelques coups fumants. Aujourd’hui, après une trentaine de parties, je n’ai gagné que deux fois, surtout suite à des erreurs grossières de mon adversaire, mais je sens que je progresse. Je joue de manière plus réfléchie, et joue des coups à des fins stratégiques et non plus uniquement tactiques.
Des lacunes, j’en ai encore des tonnes et je sais que je vais perdre encore de nombreuses parties. Mais aujourd’hui, le plaisir de jouer est à nouveau là.
Des sujets d’étonnement :
- Alors que les débuts de parties sont souvent similaires, comment se fait-il que les parties soient aussi différentes ? Comment cette diversité est-elle possible ?
- Jusqu’à très récemment, je pensais que la dernière demi-heure ne servait à rien, une fois que l’adversaire a un avantage de pièce conséquent, il ne peut plus perdre. J’ai appris que c’était faux à mes dépens : échec et mat avec la Reine et une Tour seulement, alors que j’avais plus de pièces que lui. Voilà de quoi reconsidérer cette opinion.
- Y’a du bluff dans ce jeu !!! Incroyable non ? Pourtant, si vous ne savez pas quoi faire, faites avancer une pièce potentiellement dangereuse, en la rapprochant du Roi ou de la Reine, ou en forçant un échange de pièces. Les sens en alerte, votre adversaire va faire marcher ses neurones à 100 à l’heure pour voir le plan que vous préparez. Et quelquefois, sa réponse peut vous ouvrir bien des possibilités.
Le jeu d’échec est donc un jeu difficile. Il nécessite de nombreuses parties pour être apprivoisé et je comprends qu’on n’ait pas envie de faire l’effort. Je ne l’aurais pas fait moi-même si cet ami ne m’y avait pas poussé, mais une fois passé le cap, ce jeu réserve de bonnes sensations.