Metropolys est un double tour de force : abstraction et enchères. 2 mots normalement bannis de mon monde ludique. Je déteste Zertz et Modern Art.
Et pourtant...
D'accord, le thème est plaqué. Mais au moins, il y a un thème. En plus, j'aime beaucoup le parti-pris graphique : ce vintage néo-renaissance donne au jeu un vrai style, une identité propre.
Les mécanismes sont extrêmement simples (comme souvent dans les jeux abstraits) mais aux conséquences multiples, tant à court terme qu'à long terme. Le mécanisme d'enchère me ravit ici pour la bonne et simple raison que tout sort du jeu et rien n'est transformé ou réinjecté. Pas de "Si je mise xxx thunes pour être premier, je sais que ça va me rapporter ça, qui va me donner ça, qui va me donner yyy thunes que je pourrai utiliser au tour suivant pour miser...". Les conséquences sont bien plus faciles à appréhender.
Et surtout, Metropolys possède toutes les caractéristiques nécessaires à mon bonheur ludique :
Objectifs cachés : j'suis juste fan.
Gestion du tempo : ici poussé à l'extrême. On peut tout aussi bien tout utiliser en début de partie que dépenser de façon régulière ou même tout claquer dans les derniers tours.
Fin de partie variable et sous contrôle des joueurs : et ça peut être très brutal.
Interactivité : gestion de la direction géographique que prennent les enchères, identification et gestion des objectifs adverses, ...
Faux jeu chaotique : Finn Hesse et Dhoi Thay sont demandés à l'accueil !
De très très loin mon Ystari préféré.
Un jeu de placement par enchères, c'est fluide...
Mes plus :
- un principe de mécanique simple
- les objectifs secrets (même si certains semblent un peu déséquilibrés)
- le matériel et le design dans un mix bois et graphisme un peu steampunk comme ils disent
- une assez bonne interactivité et donc une possible ambiance autour de la table, et oui même avec un jeu de (grand) cubes de bois :)
Mes moins :
- des fins de parties difficiles en cas d'erreurs prématurées
- il est toujours pas dans ma ludo perso ! (ERREUR RECTIFIEE DESORMAIS ;)
C'est LE jeu Ystari qui sort le plus par chez nous.
Facile à expliquer, simple mais pas simpliste, ce jeu ma réconcilié avec les jeux abstraits.
Tout est ici question de manipulation, bluff, tentation pour arriver à nos fins.
Jeu rapide, fluide, malin et très agréable à sortir en toute occasion (avec des novices pour les introduire aux JDP comme avec des joueurs confirmés).
j'aime beaucoup ce jeu de Sébastien Pauchon, un auteur qui va bien.
Le seul défaut de ce jeu est son matériel pas top.(boîte peu solide et plateau diffice à lire)
Si GameWorks le ressortait....
Pour le reste on passe de très bons moments.
Il convient à un large panel de joueurs.
C'est un jeu qui sort souvent avec mes amis et ils en redemandent.
Nombre de parties : 6
Malgré son plateau à l'ambiance steampunk/manga pas repoussant bien qu'un peu triste (mélancolique?), je n'ai pas accroché à ce jeu basé sur le placement/cheminement.
On fait quoi à son tour? Ben on place des tours et celui qui place la plus "chère" la construit tandis que les autres sont retirées... Et rebelote pour tous les tours de jeu jusqu'à la fin de la partie...
Comme d'hab chez Ystari on score de différentes façons, on a des bonus/malus, mais pour moi il manque quelque chose comme des retournements de situation, une plus grande variété d'objectifs ou un vrai thème pour ce jeu abstrait, froid et minimaliste.
Un jeu simple, intelligent, qui s'appréhende après une partie, mais qui, à base d'objectifs secrets et de placement se renouvellera jusqu'à la mort. Une ou deux extensions ont paru à ce jour pour permettre de varier le plaisir.
Après les illustrations, on aime ou on aime pas.
Jeu d'enchères et de placement, avec une pointe de bluff et de stratégie pour ne pas que les adversaires découvrent sa carte d'objectif secret trop rapidement. Pour moi le plateau de jeu est peu lisible, trop de couleurs et quartiers pas suffisament bien délimités, ne permettant pas de voir certains coups faciles pour se placer rapidement. Le système de ces tours numérotées pour les enchères m'est apparu axcellent. rapide et fluide, des règles simples.
Le plateau manque un peu de lisibilité, mais reste tout à fait correct. Le reste du matériel est bon, il ne faut pas pinailler...
Le principe est vraiment sympa, captivant. Au fil des parties, j'ai trouvé que ma pratique du jeu s'enrichissait sans cesse, et que le système présentait de nombreuses possibilités.
Et pourtant, au début, j'étais sur la réserve.
Dorénavant, j'utilise ce jeu pour des soirées ludiques avec des joueurs/joueuses aussi bien expérimentées que novices à tout type de jeu de plateau, et ça marche très bien.
Un très bon jeu.
Idéaliste de la société de plaisir et entrepreneur de vocation, vous voila prêt à relever le défi de votre vie.
Les tours poussent dans la ville haute et il serait pour vous une hérésie de ne pas participer à ce grand projet de construction.
Mais participer ne vous suffit pas, il vous faut plus, plus haut, plus branché, plus étendu et mieux, mieux agencé, disposé ; il vous faut être le meilleur tout simplement.
Mais même si le monstre machine ne vous fait pas peur et que la ville basse travaille pour vous, vous ne serez pas seul à caresser se désir et il vous faudra jouer des coudes et de malices pour parvenir à vos fins.
Les - :
- le plateau illisible (et moche)
- tours mal sérigraphiée
- répétitif
- déséquilibre entre objectifs
Les + :
+ enchère jouable à 2
+ enchère originale de "placement"
+ rapide
+ règles simples
Et bien, c'est l'Ystari que je trouve à ce jour le moins bon tout simplement, le plateau est d'une laideur à toute épreuve et on a du mal à s'y retrouver, mais ce n'est que mon avis, bien évidemment.
Le game play quant à lui est réussi mais la réalisation finale laisse en ce qui me concerne bien à désirer, désolé ...
Metropolys est un très chouette jeu d'enchère et de placement qui ne nécessite pas (pour une fois) des grandes interactions où on s’engueule.
L'interaction est tout de même fort présente dans le jeu, où tout le monde doit être pris en compte pour une bonne gestion de ses quartiers.
Petit hic : les cartes de l'extension ne sont pas aux même format que le jeu.
Encore un très bon jeu de l'éditeur Ystaris.
Les règles sont très simple à expliquer même à des néophytes, ce qui n’empêche pas le jeu d'être hyper stratégique surtout en jouant en mode expert.
Le mode famille n'est pas si anecdotique que cela, car il permettra de faire découvrir le jeu à des "petits joueurs" pour ensuite les emmener vers des parties en mode expert.
Concernant les fréquentes remarques sur le plateau, il aurait pu être plus joli (mais aussi plus moche!!) mais il ne pose pour moi aucun soucis de clarté.
un système d'enchères à épuisement.
il faut miser sur des quartiers avec des bâtiments numérotés de 1 à 13.
En fait chacun possède un objectif secret et c'est lui qui fait scorer au principal.
sans être exceptionnel ce jeu fait passer un bon moment.
Le jeu s'explique en 5 mn. Il est donc extrêmement simple d'accès. En plus, il est très rapide (30 à 40 mn, pas plus).
Dommage que les couleurs du plateau soient si moches (enfin, certains aiment), sinon le jeu est très plaisant : il allie à la fois les enchères, la recherche de majorité et même le blocage de l'adversaire. Jouer avec la règle familiale n'étant pas intéressant, il vaut mieux démarrer avec la version Expert, qui est à peine plus compliquée.
Alors celui-là, il roule!
A mon sens, ce jeu est plus de l'anticipation et du calcul que des enchères. Plus on avance dans la partie et plus on va forcer les adversaires à faire tomber leurs pièces maitresses.
Stratégiquement au point, ce jeu plaira sûremnt aux calculateurs! Néanmoins, les joueurs moins averti pourront aussi y prendre du plaisir. Mais attention à ne pas mélanger les genres afin d'éviter que les seconds ne subissent le jeu.
Petits points négatifs tout de même, les couleurs ternes un peu "vintage" (on s'y fait vite) et le prix un peu élevé à mon sens (matéritel assez faible vs Endevor pour une même gamme)
Ce qui est excellent, par contre, c'est ça polyvalence. A 2, 3 ou 4 la mécanique est très bien huilée!
Mot de la fin: Très fin mais sous-estimé