Splendor conviendra parfaitement aux fans de jeux de combinaisons mécaniques avec un thème ultra plaqué. Le matériel est d'ailleurs très joli pour un titre qui aurait pu se contenter de quelque chose de bien moins fignolé (mais on va pas s'en plaindre non plus !).
Le but est de cumuler du point de victoire en investissant dans des cartes plus ou moins bénéfiques mais apportant toutes des revenus constants sur vos futurs achats. Vous pouvez aussi choisir de récupérer du pouvoir d'achat pour aller plus vite mais de manière non permanente... Vous pouvez enfin mettre une acquisition à venir à l'abri de la concurrence, voire ennuyer cette dernière en vous appropriant son prochain achat (que vous aurez deviné au préalable) ;-p !
Non content d'amener des points de victoire, les cartes acquises apportent également des bonus qui, combinés peuvent, eux aussi, débloquer du prestige.
En gros la mécanique est donc ultra simple : achats, combinaisons, choix d'investissement. Le tout dans des parties relativement rapides, avec peu d'interaction entre les joueurs et un thème (la joaillerie) très anecdotique. A savoir : la taille de la boîte est clairement disproportionnée par rapport au contenu...
Un jeu pour les fans du genre donc, pas incontournable mais simple à mettre en oeuvre et qui remplit son office.
Bon jeu rapide et accessible à toute la famille. Matériel superbe. Apprend aux enfants à jouer avec un minimum de réflexion. Un bon moyen pour intéresser les gamins à d'autres jeux un peu plus velus.
Splendor est simple, mais sa stratégie ne se laisse pas facilement appréhender.
Quel plaisir de pouvoir expliquer un jeu aussi riche en quelques phrases et la partie devient rapidement intense. Mais comment atteindre les 15 points de victoires : récolter rapidement des cartes de faibles valeurs, accumuler des jetons, viser les cartes nobles? Un jeu qui donne sa chance à tous, mais est-ce vraiment de la chance?
Très jolies illustrations (qui m'ont fait acheter le jeu), mécanique simple, matériel de qualité. Splendor est un jeu de "gestion" simple tranquille et agréable à jouer à 3 minimum.
Les défauts que certains lui reprochent (thème bidon, froid, peu profond, etc...) , selon moi, contribuent au contraire la réussite d'un jeu très fluide et extrêmement addictif!...
Tout en étant calculatoire et bien plus stratégique que l'on pense, ce splendide objet ludique à été conçu, modelé, de manière à procurer des sensations proches de celles que nous vivrions au casino, sans nous faire subir les effets néfastes du hasard...
Ici, l'aléa des cartes posées concerne toute la table et oblige chacun à rebondir et à réorienter ses objectifs sans cesse.
Très accessible pour tous types de joueurs, une fluidité hors du commun, ça roule..., une tension très perceptible autour de la table au fur et à mesure que l'on avance dans le jeu, les parties s'enchaînent, et...quel plaisir non négligeable de manipuler ces jetons de poker!
très belle réussite...
Simple, addictif et accessible splendor est une vraie réussite pour un jeu qui peut se sortir avec tout le monde.
servi par un graphisme et un matériel superbe (ah ces fameux jetons) splendor n'a qu'un défaut son côté abstrait.
dans la série ressources = cartes = PV, Je le préfère largement aux bâtisseurs car les tours sont plus rapides (quoi que pour certains) et c'est plus intuitif visuellement (on a a pas à passer 3h pour décrypter les ressources apportées par la carte en question)
"Est-ce que quelqu'un vous avait dit que le thème était plaqué? Quoi? les 100 avis précédents le disait aussi? Ah bon..."
Mais ça marche! (le vrai terme est "ça fonctionne" mais par cheu nous on dit: "ça marche") C'est le jeu le plus rapide à expliquer de ma modeste ludothèque et puisque je suis entouré surtout de joueurs peu compulsifs, c'est une qualité apprécié.
Logique, rapide, tendu (surtout sur la fin), assez hasardeux (il y a des cartes...), équilibré, ... une belle mécanique quoi. C'est pourquoi ce jeu sortira souvent chez nous...
Je reste dubitatif sur le montage visuel des cartes... On dirait que l'iconographie est complètement déconnecté des images en dessous, comme si le montage avait été fait à la va-vite. Mais bon ça a le mérite d'être clair et lisible... un belle mécanique que je disais?
Il y a probablement plein d'autres jeux qui donnent les mêmes sensations ludiques, mais moi j'ai celui-là...
On a bien accroché. Ok c'est pas le jeu du siècle, les stratégies sont limités mais ca se sort facilement, ca se joue vite, ca a un côté "course" et opportuniste...
A noter qu'on peut le jouer à 5 avec la boite de base, ca devient chaud mais ca marche.
Après 2 parties à 3 joueurs, je me suis rendu compte que le jeu se résumait à une course.
Tout d'abord, il faut se dépêcher de se constituer un moteur d'achat de cartes gratuites puis de jouer les opportunistes et de récupérer gratuitement une nouvelle carte tous les tours. Ensuite, c'est une question de chance suivant les cartes qui tombent et les bonus donnés par les nobles.
Une fois que tous les joueurs ont compris l'astuce, on se retrouve avec un jeu où la chance est trop prépondérante pour moi.
Il y a deux semaines, lors d'une soirée jeu à Strasbourg, j'ai eu la chance de découvrir Splendor. J'ai tout de suite aimé: règles très simple et pourtant de quoi bien se casser la tête derrière. Ça correspond exactement à ce que je recherche dans un jeu. Je gardais un apriori sur la rejouabilité. Depuis, avec mon collègue, on en a enchaîné pas mal pendant les pauses de midi, et plus on joue, plus on comprend comment maitriser la bête, et plus on aime. Profession oblige, je ne note un jeu que lorsque j'ai un petit coup de cœur, et là c'est un gros coup de cœur. Chapeau bas messieurs les cowboys!
Splendor est un jeu froid et calculateur. On y développe son "moteur" à points de victoire et on rush dès que possible pour atteindre la fatidique barre des quinze points ou plus.
C'est sûr il faut aimer le genre, mais dans ça catégorie il excelle !
*Un gros bémol pour le thème inexistant.*
Vraiment pas compris l'intérêt de ce jeu.
Le seul point positif est sa simplicité qui le rend abordable à tous joueur.
Mais la mécanique vu et revu fait qu'on s'ennuie très vite.
Certainement le jeu le moins intéressant que j'ai joué depuis très longtemps.
Il est vrai que les Space Cowboys nouvellement composés d'une partie de la crème des professionnels du monde ludique et des jeux de société en l'occurrence, ont nettement pu profiter d'une propagande et d'un marketing importants sur leur 1ère édition, mais qu'en est-il exactement de Splendor...
***Les points positifs* :**
* Des règles simples et bien écrites, rapidement comprises (même par les novices) : Permet de démarrer une partie très rapidement.
* Le matériel est de bonne qualité (surtout les jetons style "poker" que les joueurs auront plaisir à manipuler). Le thermoformage à l'intérieur de la boîte est très bien conçu (blocage des jetons et rangement des cartes).
* De 2 à 4 joueurs et pour une durée moyenne des parties de 30 minutes (mais la meilleur combinaison étant de 2 à 3 joueurs).
* S'adresse à tous types de joueurs.
* Le temps d'attente entre chaque tour est très court étant donné qu'une seul action par tour n'est possible.
* Une tension grandissante au fur et à mesure des tours de jeu (l'objectif des 15 points de prestige étant rapidement atteint).
* Une mécanique de jeu bien huilée.
* Permet de faire plusieurs parties de suite.
* Une bonne dose de stratégie.
***Les points négatifs :***
* Peu paraître quelque peu répétitif au fur et à mesure des parties.
* Le thème du jeu aurait peu être plus novateur et plus intéressant que celui de la joaillerie qui n'est pas du tout retranscrit au cours de chaque partie.
* Difficile de rattraper son retard lorsque d'autres joueurs ont pris une bonne avance.
* Dans certains cas, ce jeu peut paraître un peu confus et la "stratégie" de blocage des jetons peut déranger certains joueurs.
* L'accès aux cartes nobles étant limité (afin de scorer rapidement), cela peut être frustant de se faire piquer ces cartes sous le nez et sans rien pouvoir faire : mais cela fait partie intégrante de la mécanique de fonctionnement de ce jeu.
En résumé, nous pouvons dire que SPLENDOR est un bon petit jeu stratégique et comportant une bonne interaction entre les joueurs.
Il saura faire sa place dans toute bonne ludothèque et sortira facilement entre 2 jeux plus lourds.
En attendant justement la prochaine sortie très attendue des Space Cowboys : Black Fleet ! A suivre...
Themenfindungstheorie, wie ich sie mir vorstelle: In den geheimen Forschungslaboren der Spieleverlage sind unermüdlich die Redakteure Stunde um Stunde damit bemüht, gute Spiele mit soliden Mechanismen an frische, neuartige Themen zu nähen. Themen, die Mittelalter, Römerlager und Städtebau im Dunkeln der Gewöhnlichkeit hinter sich lassen, die im Tau der aufgehenden Sonne am Tag 1 einer Neuheit glitzern und funkeln wie Edelsteine, die von Kinderhand auf ein schwarzes Samttuch geworfen wurden.
Boah, was für ne dufte Einleitung zu Splendor. Denn da haben wir es mal mit Edelsteinhändlern zu tun, die in einem schlichten Eurogame ein Wettrennen um 15 Siegpunkte veranstalten. Neu ist die Sache mit Edelsteinen und deren Handel sicherlich nicht, aber die optische Aufmachung des Erstlings der Space Cowboys (und Zweitlings von Autor Marc André) zaubert mir ein Glitzern in die Augen. Fotorealistische Bilder von Minen, Handwerkern, Schiffen, Karawanen und Geschäften. Dazu nur allzu bekannte Gesichter aus den Geschichtsbüchern.
Wir hantieren mit schön schweren Pokerchips, die die fünf Edelsteinsorten plus Gold repräsentieren. Zu schade nur, dass wir sie leider meistens vor uns auf dem Tisch stapeln, anstatt dauernd damit herumzuspielen. Das haptische Element verfliegt, weil es nicht allzu intensiv genutzt wird.
Ein erster Splitter im polierten Gesamtbild? Jein. Das Thema ist aufgesetzt, ich geb’s zu. Aber es macht Laune. Im Grunde kaufe ich mir ja einfach nur mit meinen Jetons Entwicklungskarten, die mir beim weiteren Kauf Jetons einsparen. Wir bauen also eine Maschine, die am Ende die begehrten 15 Siegpunkte schneller abgeliefert hat als die der Mitspieler.
Der Spielablauf ist auch zu viert schnell, die Wartezeiten kurz. In meinem Zug darf ich entweder Edelstein-Chips nehmen oder sie ausgeben, um damit eine Karte zu kaufen. Karten bringen virtuelle Bonus-Edelsteine und manchmal Punkte. Da gibt es unterschiedliche Faktoren und schnell lernen wir, dass beispielsweise Mine nicht gleich Mine ist. Es gibt billige, die das gleiche leisten wie teure. Aber es gibt auch teure, die aber Punkte bringen. Oder ganz billige, die aber Edelsteine einer einzigen Farbe kosten. Das ist schwieriger anzuhäufen.
Wichtig ist das Reservieren, eine andere Zugoption. Ich kann mir eine Karte aus dem 3x4-Kartenraster nehmen und bekomme dafür obendrein noch Gold. Gold ist als Joker zu verwenden. So kann ich mir Karten sichern, sollte ich die gleiche Gier danach bei meinen Mitspielern vernehmen, und verpasse trotzdem nicht ganz den Anschluss. Das Gefühl von Zug um Zug stellt sich ein: Reize ich mein Glück aus und stocke eine weitere Runde Ressourcen auf, oder kriege ich kalte Füße und kaufe mir eine Karte, bevor sie weg ist? Oder gehe ich den Mittelweg und reserviere vorerst? Überzählig reservierte Karten schaden am Spielende übrigens weder Ruf noch Spielsieg. Ich darf halt nur maximal drei halten.
Schließlich gibt es da noch die Adligen. Kennt man alle irgendwie irgendwoher. Der Illustrator hat sich historische Vorbilder und deren Portraits vorgenommen: Anne de Bretagne (wer kennt sie nicht!), Heinrich VIII, Sultan Süleyman I. oder Isabella von Kastilien. Die Adligen kommen automatisch zu mir, wenn ich die gewünschte Anzahl Entwicklungskarten habe. Aber nur einer pro Runde. Bin ich aber gegen Ende der Partie schon mal soweit, poltern die meistens erdrutschartig rein. Und dann ist ein Spielsieg bereits absehbar.
Überhaupt gefällt die Dynamik des Spiels sehr gut. Anfangs nehmen wir Chips, versuchen aus der wechselnden Auslage eine produktive Maschine zusammenzukaufen, die effizient Edelstein-Boni ausspuckt, um möglichst selten die Aktion "Chips nehmen" nutzen zu müssen. Wir entwickeln bald einen Blick dafür; denn auch wenn die Entwicklungskarten alle ähnlich erscheinen, so sind sie es längst nicht.
Zum einen variieren Siegpunkte und Kosten, zum anderen aber auch der Bonus-Output. Beispiel: Die Karavelle aus dem Stapel der Stufe-2-Karten. Sie bringt immer fortan einen Smaragd als Bonus. Aber die eine kostet 5 Smaragde und bringt 2 Punkte, die andere kostet 6 und bringt 3. Oder - für Quereinsteiger - kostet 3 Smaragde und 5 Saphire und bringt 2 Punkte. Gehe ich voll auf eine Farbe, sind die ersten beiden Schiffe sicherlich die Wahl der Stunde, denn so lassen sich massive Monokultur-Boni anhäufen, um die ganz teuren Geschäfte zu bezahlen. Die nur mit Chips zahlen zu wollen ist langsam und mühselig. Und ineffizient. Zu diesen Stufe-3-Entwicklungskarten durchzudringen ist nebenbei erwähnt schwer.
Zwei Strategien entwickeln sich: Gehe ich, wie beschrieben, akzentuiert in die hohen Stufen, oder dümple ich im Stufe-1-Segment herum und kaufe vor allem preiswerte Minen. Ab einem gewissen Zeitpunkt lassen sich mit einer breiten Aufstellung an Bonus-Steinchen nämlich Runde um Runde weitere Karten kaufen, ohne dass ich Chips nehmen und ausgeben muss. Das läuft dann nur noch über die Boni allein. Arbeitskomprimierung könnte man das nennen.
Bis dann hat allerdings die werte Mitspielerschaft schon andere - oder taktisch-vielseitige Mischwege - eingeschlagen. Das Zauberwort ist Flexibilität und auch ein bisschen Glück. Denn nimmt der Spieler vor mir eine Karte und ersetzt sie durch eine neue, so kann da ungewollt ein Zuckerstückchen auftauchen, dass mir genau in den Kram passt.
Splendor erfindet wirklich nichts neues. Aber es verpackt ein einfaches, taktisches und sich wiederholendes Spielprinzip in ein edelsteingeschmücktes Ballkleid, dessen Aufforderungscharakter immens ist. Ich vermisse hier Interaktion jenseits einer Passivkonstruktion auf Höhe mallorquinischer Handtuchkriege, aber für ein Familienspiel sind Tiefgang und Spieldauer überzeugend. Dazu kommt, dass ich es in fünf Minuten erklärt habe.
Auch wenn die Box dem Ordnungssinn von Spielesammlern entgegenkommt, ist sie doch allzu großspurig dimensioniert. Splendor (lat. „Glanz“) strahlt Überfluss aus, lässt uns neureich mit Edelsteinen um uns werfen und bleibt dabei jedoch spielerisch auf dem Boden. Aber Hausmannskost macht schließlich auch satt - und wenn sie schön angerichtet ist, umso besser. Das Auge isst…äh spielt schließlich mit.
J' ai longtemps hėsitė avant d'acheter Splendor , je n'ėtais d'ailleurs pas venu acheter ce jeu dans ma boutique prėférée ce jour-lå .
Trop de com tue la com , space cowboys par ci , Mr Croc par là , bref je ne voulais pas suivre le troupeau .
Mais quelle erreur ! Ce jeu est génial . IL s' explique en 5 minutes , et tient en haleine tout le long de la partie .Ma femme adore , mes amis en re-redemandent ....
Bref le jeu idėal dans toute bonne ludothèque .
D'un à priori , au-préalable , négatif sur ce jeu , je peux dire maintenant , que les Space Cowboys ont frappé très fort pour le premier bébé .
Vivement leur prochain .
Passé l'effet d'annonce et l'engouement à posteriori peu justifié des trictracien (ahh le buzz!!!), je me suis retrouvé face à un jeu à la mécanique certes épurée (une seule action), mais sans thème immersif et sans réelle saveur : On vise les bonus accessibles, on regarde ce que font les autres joueurs, on les gène, on thésaurise des pierres et en 2 tours sans que personne ne s'y attende et sans pouvoir nous contrer, on gagne...
La petite subtilité est de trouver le bon moment où on doit arrêter d'acheter des pierres qui nous servent de moteur pour se concentrer sur les cartes à points de victoire. Rien de fascinant. C'est juste un jeu abstrait et très mécanique.
J'aime essayer les jeux avant de les acheter. Celui-ci, je ne l'achèterai pas, mes compagnons de jeu non plus.