Un jeu simple qui se complique quand il faut faire des choix dans le placement des pions.
S'explique très facilement. on peut parfaitement jouer sans les jokers si on veut.
Un jeu zen et calculatoire qui plaira aux petits et grands.
Vin d'jeu: Le Temps des Merveilles a tout à fait sa place dans l’histoire du Royaume de l’Ouest. Même si les Merveilles ont une utilité assez relative, l’extension apporte ce qu’il faut de nouveauté pour enrichir le jeu sans l’alourdir. Dans cette extension, on ne met pas l’accent sur la variété contrairement à beaucoup d’autres mais plutôt sur la difficulté des choix et c’est ce qu’on a particulièrement aimé.
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Ghost Stories est un bon jeu de coopération.
Points + :
- Les règles sont faciles à appréhender
- Les parties sont fluides et pas trop longues (3/4 d'heure env.)
- Le fait de pouvoir ressusciter un autre moine, permet d'éviter qu'un joueur soit mis définitivement sur la touche et regarde les autres jouer les bras croisés.
- Le thème est original et les illustrations sont très réussies !
Points - :
- Un facteur chance très présent (beaucoup de jets de dés, ordre de sortie des fantômes)
- On ne peut jouer qu'à 4 maximum
- Il est très très (trop) difficile de gagner : au bout de 4 ou 5 défaites d'affilée en ayant joué la coopération aux maximum, on commence à être frustré et se lasser... :(
Je donnerai donc une note de 7/10 pour Ghost Stories, un jeu de plateau coopératif plutôt réussi mais qui souffre malgré tout de quelques défauts handicapants!
Peut on jouer sur tout les Thèmes, transformer n'importe quel évènement historique en jeu?
Pour moi Race To Moscou soulève cette interrogation.
Mombasa m'avait déjà interrogé mais je dois reconnaitre que le thème de la colonisation m avait pas tant choqué ( à tort !! ) .
Est ce le bombardement du mémorial du Babi Yar Aujourd'hui qui me fait réagir ? Peut-être .
Il est évidant que les propos qui vont suivre n'engage que moi. Il s agit simplement de mon point de vu mais je voulais l 'exprimer.
Mon interrogation ne se porte, non pas sur Le fait de jouer les Allemands contre l'Urss, Mais tous les éléments atroces, tous ce qui symbolise les horreurs du nazisme durant cette offensive et surtout ce qui ce passait derrière les lignes, qui sont présent dans ce jeu. Dois je rappeler le massacre fait par panzergruppens à Kiev représenté par des troupe terrestre dans ce jeu. Dois je rappeler les lignes de chemin de fer qui alimentaient le front en troupe et ravitaillement et qui repartait dans l'autre sens , avec des wagons à bestiaux chargé de déportés qui retournaient l est de l'Allemagne et de la Pologne. Sans compter le point de départ de Varsovie , avec son ghetto et tout ce qui à suivie
Je n ai rien contre le fait de jouer les allemands dans un War Game( V commando , Blitzkried, Squad leader etc..) , ce qui me dérange et me met en colère c est le choix avec les sous entendus des horreurs du nazisme . La guerre offre suffisamment son quotas d'horreur et y ajouter insidieusement toutes les horreurs qui en font la pire des guerres . Pour moi ce jeu n'a nullement sa place dans la sphère ludique.
Barbarosa est effectivement une opération militaire qui pourrait être traité dans un War Game , Mais 1941 RTM fait intervenir des éléments qui ont contribué de près ou de loin à la machine infâme qu'est la Shoah. Ce sont ces éléments que je trouve plus que gênante.
Tres surpris de voir un tel jeu dans la sphère d'asyncron , Race to the Rhine était un bon jeu , tres plaisant Race to Moscou est sans intérêt
En parlant de vice, je faisais bien-sûr uniquement référence au buzz des francophones par rapport au nom du jeu. A l'arrivée, c'est bien la vertu (美徳) qui va nous faire réaliser un voyage onirique dans un paysage imaginaire du Japon. Tout d'abord, il faut noter la qualité d'un matériel foisonnant pour un prix tout à fait raisonnable. Ne nous trompons pas, nous sommes dans un eurogame classique avec des mécaniques déjà connues : mini deck building, placement d'ouvriers avec des dés, collections, progression sur diverses pistes pour bonus et points de victoire, cartes d'objectifs. Mais, le tout fonctionne très bien et l'univers est particulièrement agréable et bien tendu. Le côté positif du jeu concerne la multiplicité des voies d'actions et la nécessité de bien optimiser les combos entre une douzaine d'éléments du plateau de jeu et du plateau personnel. Les stratégies sont multiples. Par contre, je trouve un problème de lisibilité sur un joli plateau mais clairement trop fourni. La multiplicé des icones, malgré une aide de jeu très complète, apporte un certain handicap, au moins pour les premières parties. J'apporte également un bémol sur la rédaction de la règle du jeu. Certainement dans un souci de coller l'ensemble du jeu à son thème, l'auteur a compliqué la lecture et la compréhension de la règle du jeu. On reproche souvent aux eurogames des thèmes plaqués que l'on oublie au boût de 5 minutes de jeu mais il ne faut pas que l'inverse devienne un handicap au but réel d'un jeu de société, celui de jouer sans faire des aller-retours incessants dans le livret de règle. Malgré cela, la qualité du jeu est là, alors n'hésitez pas à vous ballader dans ce monde onirique pour croiser peut-être le grand ancien au coin d'un grand arbre de la forêt.
A la coopération, nous préférons nettement les rebondissements compétitifs, les surprises des coups de Trafalgar.
The Loop est enthousiasmant. Encore et encore il revient sur la table. Toujours et toujours, l'aventure et le défi sont au rendez-vous.
Ce jeu se démarque de ses semblables par l'étendue de ses composantes : 1 deck de cartes "action" à gérer individuellement, des combos à préparer avec les mains des partenaires, des discussions sur le timing et l'enchaînement... Et l'on saupoudre avec le chaos des 2 "hasards" que sont l'apparition des clones et la répartition des cubes/failles par l'improbable machine du Docteur Foo.
On en fait des loops, jamais on ne tourne en rond. Le suspens est permanent.
Quand on joue à The Loop , on est épaté par le travail de conception des mécaniques, et la finesse des réglages. Mais ce qui est mieux, c'est qu'on ne les ressent pas, ils sont au service de notre combat temporel.
Ce qui saute aux yeux, c'est l'univers. Affirmé, assumé, qui fourmille de clins d'oeil sans nuire à ce qui se passe sur le plateau.
The Loop transpire la coopération entre les auteurs, l'illustrateur et l'éditeur. Ils se (et nous) font plaisir, en proposant un jeu bien complet, avec plein de niveaux de difficulté, adaptable à plusieurs publics.
Quelle réussite ! il en faut parfois quand on met des cubes rouges dans une machine.
Je voulais mettre 9 étoiles parce qu'une extension avec encore d'autres possibilités va arriver.
Une petite main a rajouté la dixième, je n'ai pas le coeur de la retirer.
Coopération quand tu nous tiens....
Le jeu est très bon à 3 joueurs... mais voilà, on le présente comme un jeu de 3 à 5 joueurs. Le principe général du jeu est très bien pensé avec un jeu de majorité sur un mécanisme de jeu de plis. Côté matériel, les cartes sont de très belle qualité et le plateau et les pions tout à fait satisfaisants. On peut tout de même s'interroger sur l'utilité d'avoir une bonne quinzaine de jetons monastères et, encore pire, une quantité de pièces de 1 et de 5 totalement inutiles sachant que l'on dépasse très rarement 6 pièces par joueur (être riche n'a aucune utilité dans le jeu) : 1 punchboard au lieu de 2 = économies ! Concernant ma grosse réticence pour le jeu à 5 joueurs, déjà on ne joue que 16 cartes sur l'ensemble de la partie (21 cartes à 3 et 20 cartes à 4). Dans les parties à 5, comme on n'utilise que 4 cartes pendant le tour, ce sont généralement les 3 cartes de couleurs (23 - 24 - 25) qui gagnent leurs villes, ce qui donne beaucoup moins de variété aux tours de jeu. De ce fait, ce sont les actions annexes qui sont réalisées majoritairement. A ce effet, il est très rare qu'il reste un viking en fin de manche, ce qui enlève un des aspects intéressants du jeu avec la prise des villes par les vikings. Suite logique, la princesse Estrid du Danemark en fin de dernière manche n'a d'intérêt que pour les 4 points de victoire et plus du tout sur ses deux autres actions possibles. Au global j'aurais aimé un peu plus de variété au niveau des cartes (actions secondaires) tout en restant sur ce nombre de 1 à 25. On pourrait par exemple ajouter la possibilité d'une installation possible de monastère (1 ou 2 cartes). Brian Boru est un jeu très agréable à 3 joueurs, où le jeu de plis apporte toute sa subtilité. A 5 joueurs, on ne joue pas au même jeu et celui-là me semble avoir un peu trop de défauts pour que cette configuration soit mienne.
En préambule je précise que nous n'avons joué que les 2 premières enquêtes car nous n'avons pas été emballé.
Alors pour commencer, cela a déjà été dit mais je le répète : l'ambiance, que ce soit par les textes ou les dessins, est vraiment top. On a vraiment l'impression d'y être ! Cela correspond tout à fait l'idée que nous nous faisons de la pègre dans les année 30.
Pour la partie règles, elles sont, à notre avis, trop alambiqués. Et même si le fait de pouvoir bluffer est une idée intéressante, dans les faits, cela relève de l'usine à gaz. Et l'autre point qui nous a déçu est le fait que la partie solo du jeu ait été abandonné vis-à-vis de sa version originale (qui n'existe qu'en anglais). Le joueur qui fait le marionnettiste perd une partie de l'intérêt du jeu puisqu'il doit tout connaitre avant de jouer.
Et pour finir, nous avons eu l'impression de piétiner et de passer plus de temps à se déplacer et interroger les suspects suivant la technique du doigt mouillé plutôt que de tirer le fil de l'enquête. D'autant plus qu'il faut gérer l'argent pour soudoyer, ce qui prend aussi des actions. Ce qui nous amène au point suivant, chaque joueur devant jouer chacun son tour (en dehors de la phase de bluff des interrogatoires), l'attente devient très longue entre 2 tours. On se retrouve avec des intrigues au final relativement simples (encore une fois, sur les 2 premières enquêtes uniquement) mais qui nous ont pris presque 3 heures de jeu.
En résumé, un background au top, mais un gameplay beaucoup trop lourd.
Je mets un dix pour compenser le 1 qui confond tout !
Comment peut on être aussi réac ?
Pour en revenir au jeu il a bcp de qualité mais n’est pas exempt de défaut
A voir début novembre 2022 sur ma chaîne Cyril et ses jeux
Joseph Bremer a péri dans les flammes de son pavillon. Le photographe inculpé nous demande de l'aide pour le disculper, mais les suspects sont nombreux....
Au travers d'une trentaine de documents, photos, plans et autres objets, vous allez devoir déterminer qui est le coupable.
Ce jeu tient en 90 min comme indiqué sur la boite. Les règles tiennent sur le recto d'une feuille A5, bref, le jeu est expliqué en moins de temps que je ne mets à écrire cette phrase ! Pour répondre, il suffit d'écrire le réponse sur la page du jeu sur le site Origames, rien de plus simple. De même, il y a des indices accessibles sur le même site, et ils ont le bon goût de distiller intelligemment les indices !
En soi, l'enquête est bien dosée, ni trop facile, ni trop compliquée. Et surtout, elle est plausible ! On a vraiment le sentiment de trouver par nous même et de recoller les morceaux du puzzle au fur et à mesure, une réussite! Et point positif en comparaison de beaucoup d'autres jeux d'enquêtes, on n'est absolument pas guidé par des indices qui se suivent ou une obligation de voir untel pour ensuite pouvoir avoir l'indice suivant. On est totalement libre!
En résumé, une super enquête. Seul bémol : l'enquête est quand même relativement simple quand on est féru de jeux d'enquêtes.