L’île interdite est un excellent jeu coopératif et familial pour jouer à un jeu de plateau un peu plus abouti sans prise de tête ou tout simplement pour initier vos marmots à ce genre de jeu Pandémique.
Beau (à part les pions, j’insiste), immersif, accessible, il vous plonge dans une aventure rythmée et haletante où marmots et parents prendront plaisir à mener ensemble cette course contre la montée impitoyable des eaux.
Annoncé à partir de 10 ans, je pense que la dimension coopérative, la simplicité des règles et le niveau de difficulté modulable permettent à des marmots plus jeunes (8 ans) de participer sans problème. Grâce aux tuiles Île et aux cartes Aventuriers qui sont disposées et distribuées au hasard en début de partie, le jeu offre une forte rejouablité, ce qui est très appréciable. L’investissement de départ (moins de 25€) sera donc vite amorti. Un truc tout bête en mode “détail qui tue” : l’éditeur remercie l’auteur pour la qualité de son jeu à la fin des règles. Ca, clairement, c’est le genre d epetit truc qui nous fait craquer.
Bref : on aime d’amour. Sur l’île on s’éclate, on s’engueule, on se réconcilie, on se noie, et on chope des trésors : une excellente expérience collective qui vous apprendra à bosser ensemble, et à célébrer chaque victoire par une pizza bien méritée.
Un jeu coopératif dans lequel on peut ajuster la difficulté pour l’adapter à son public.
Le jeu conviendra bien aux familles et marche bien avec des enfants à partir de 8 ans. Les différents personnages permettent aussi de renouveler les configurations.
La pression monte au fur et à mesure du jeu ce qui a le mérite de le rendre animé.
Le tout bouclé en 30 minutes, pas mal !
Un chouette jeu d'équipe.
Au départ je pensais qu'à 2 joueurs cela serait plus compliqué qu'à 3 ou 4 mais pour finir, ayant test à 2 et 3 joueurs la difficulté est la même.
La première partie a été perdue, ensuite que des victoires mais toujours tout juste.
Le principe de tenir avec les joueurs contre le jeu est vraiment sympa.
Du beau matos dans une belle boîte, un jeu fluide aux règles simples, mais.... on en a vite fait le tour.
Alors ok c'est un copié-collé simplifié de Pandémie, mais pour autant il ne fait pas doublon : Pandémie est complexe, riche et vraiment technique, avec des parties qui peuvent être longues. L'Île Interdite trouve sa place dans un petit quart d'heure à tuer, avec tous types de joueurs, même néophytes, qui pourraient être découragés par Pandémie. Du coup, il a son intérêt.
Mais on en a vite fait le tour...
La boite est magnifique, à ranger sur une étagère plutôt que dans le placard ludothèque.
La matériel est tout aussi magnifique à un bémols prés. Pourquoi faire des artefacts aussi beaux alors que dans le jeu ils n'ont qu'un intérêt décoratif, alors que les pions des joueurs ne sont que de vilain meeples tout droit sortis d'un jeu ravensbu\*\*\* ?
Le tour de jeu est simple. Le joueur à plusieurs actions, assécher une tuile, se déplacer, récupérer un artefact, échanger des cartes... chaque joueur ayant un personnage avec une aptitude spéciale. Puis le joueur pioche (et là, les vilaines cartes montée des eaux font des ravages...) Puis, une fois fini le tour du joueur, le tour de l'ile... On retourne des cartes, qui font couler des tuiles. JOUEUR suivant.
Le but étant de récupérer 4 artefact avant qu'ils ne coulent... Et vous avec.
Un jeu de coop où il faut compter les cartes. Mécanique bien huilée, parties rapide (des fois un peu trop ^^) d'environ 20-30 minutes où plus il y a de joueurs, plus il y a d'embuches.
Un jeu où chaque fois qu'on dit OUF, il arrive une nouvelle tuile (enfin... il coule une nouvelle tuile)
Un pandémie like oui, je le concède... Mais on s'en tape ! C'est beau, c'est fun, c'est souvent épique sur la fin de partie. Chez nous, on aime !Et si vous trouvez ça trop dur, différents niveaux de difficulté.
Hey les mecs !! Y'a quelqu'un qui a pensé à assécher l'héliport ? non parce que le niveau de l'eau monte...
Si vous avez déjà jouer a pandémie, vous comprendrez assez vite le mécanisme du jeu.
Je pense que l’ile interdite peut sortir pour un jeu rapide sinon je préfère sortir pandémie si on a un peu le temps.
En tout cas, l’ile Interdite fait le taf. C’est sympa, le coop marche car on discute stratégie. La qualité du matériel est bonne. Ça reste assez fun et il y a du suspens à la fin du jeu.
Je pense que le thème est plus accessible que pandémie.
Voila un jeu qui ressort souvent à la maison avec les enfants (7, 8 ans c'est ok). Le matos est superbe, les illustrations également. Il est simple à comprendre et la tension est permanente pour ne pas se retrouver engloutie sous les eaux.
Vraiment un bon jeu bien pensé
Alors concrètement, je ne comprends pas l’utilité de ce jeu qui ne m’apparaît que comme une version simplifiée de Pandémie, du même auteur. Et comme je lui préfère Pandémie, je me vois mal vous conseiller ce jeu. A moins de vouloir jouer avec des joueurs plus jeunes, l’Ile interdite n’a pas spécialement d’intérêt. Pandémie n’étant pas non plus un jeu d’une extrêmement complexité et facilement explicable à des joueurs non initiés, il n’y a pas de raison impérieuse à jouer à cette Ile interdite. En soi, ce n’est pas un mauvais jeu, mais c’est Pandémie en moins bien… Jouez à Pandémie.
Très beau (jolie boîte en fer, illustrations, tuiles cartonnées...)et bon pour débuter! Les règles sont assez simples, l'interaction est là, le système est bien foutue. Ca manque juste un peu de piment pour jouer entre adultes amateurs...
Le jeu es je trouve très bon pour initier aux jeux coopératifs aussi bien les enfants que les adultes. Le thème parle facilement (chasse aux trésors, des aventuriers sur une île en train de s'enfoncer dans les eaux) et colle bien à la mécanique (on voit l'eau monté et avec la pression).
Chacun à des pouvoirs différents forçant à la coopération et donc à la planification de nos actions, après mais c'est un peu le danger dans tous jeux coopératifs, il ne faut pas jouer avec un joueur qui s'impose trop et qui dit aux autres ce qu'ils doivent faire.
Les règles sont simples, et tous n'ont pas besoin de s'en souvenir dans les détails puisque nous pouvons discuter de ce qu'il es possible de faire entre joueurs, lorsqu'ils planifient leurs actions.
La mise en place es rapide, es peu permettre de moduler la difficulté du jeu.
Pour ceux qui veulent aller un peu plus loin avec des règles légèrement plus complexe il y a le désert interdit. Pour ceux qui veulent un jeu coopératif complet (notamment avec les extensions) et au thème plus adulte il y a Pandémie. Deux jeux du même auteur.
Le coopératif a encore le vent en poupe alors profitons-en avant d'être lassé de ce style. après CDLTR (précurseur), Ghost stories, Pandémie,BattleStar,Novembre rouge et d'autres c'est Cocktail games qui délaisse ses jeux crétins-crétins pour coller à la mode mais pas n'importe comment non plus.
L'auteur est Matt Leacok et la mécanique est sérieusement rôdée puisqu 'à peu de choses près c'est celle de Pandémie en plus simple.
Là où Cocktail fait la différence c'est que le matos est incroyable et immersif (c'est le cas de le dire), que le jeu est plus simple et donc plus familial et que l'île qui s'engloutit avec pour objectif de rejoindre tous l'héliport (clin d'oeil à Zombies!!)me parait plus trippant que de repousser des fantômes chinois ou de combattre des maladies (mais ça n'engage que moi).
Le jeu a sa marge de progression et la variété des rôles tirés complquera ou facilitera la tâche des joueurs qui devront s'entre-aider et faire preuve d'organisation et de cohésion.
Comme toujours le principal défaut c'est le risque qu'un joueur expérimenté voulant fortement gagner prenne le jeu à son compte en distribuant les actions aux autres joueurs qui se retrouveront spectateurs et plus acteurs.
Bon, on accroche encore sur ce jeu qui permettra d'initier des newbies à la coopération mais la magie n'opère plus et les mécanismes sont éculés.
C'est donc sympa mais il va falloir faire gaffe avec les jeux coopératifs parce que ça va finir par lasser si ça continue comme ça.
J'avais tellement entendu parler de ce jeu, on me l'avait vivement conseillé ... mais lorsque j'y ai joué ... bof ! Les actions à effectuer sont, d'une part, assez évidentes si l'on veut gagner à condition que la pioche ne soit pas trop en notre défaveur, et d'autre part peu nombreuses rendant le jeu extrêmement répétitif. La collection de cartes d'un même type pour obtenir un trésor n'est pas très exaltante et sans lien réel avec le thème du jeu. Le matériel est certes de bonne qualité mais je ne suis pas sûr d'y rejouer. Vite joué, vite oublié !
Je l'ai également testé au club de jeux de société de mon collège, et jamais les élèves ne me l'ont réclamé après y avoir joué ... c'est un signe !
Sympa les premières fois, mais très vite ça tourne en rond et cet objectif de coopération devient lassant. Très vite ça se transforme en une planification globale par quelques uns et les autres sont spectateurs et suivent ses ordres.
Joué cet été surtout, avec les enfants, et sans également entre grands; toujours des parties super; il faut réfléchir, on discute, il faut vraiment optimiser et échanger pour gagner. Effet leader possible (surtout faire attention à ne pas brimer les petits motivés en intervenant en tant qu'adulte pour optimiser; dur mais il vaut mieux qu'ils se fassent leur expérience) bien entendu, mais pas systématique.
Les gros plus : thème très présent; graphismes superbes qui font frissonner les plus jeunes; petite boîte super optimisée (et c'est par rien); simple à mettre en place
Des moins : les cartes trésors et inondation pourraient être plus épaisses; quelques flous dans les règles dans de très rares cas.
Une bande son (sur app gratuite pourquoi pas) aurait été un gros plus pour l'ambiance (j'envisage sérieusement de trouver un bruitage d'inondation et de monté des eaux à lancer de temps à autres pour pimenter les parties :-)).
Pour débuter a jeux coopératif, c'est celui qu'il vous faut. Facile a prendre en main, des niveaux de jeux qui peuvent varier. A 8 ans mon fils a bien compris les règles et le principe , le jeu lui plait bcp.
J'ai découvert l'univers des jeux coopératifs avec l'Île interdite, j'ai trouvé ça génial et je ne me lasse pas d'y jouer. J'ai récemment initié mon fils de 6 ans à ce jeu et il est devenu fan !
par l'auteur de pandémie, on y retrouve de nombreuses ficelles. Le jeu est un vrai et pur coopératif qui devient de plus en difficile à mesure que le temps passe. Rapide et stressant, le matériel est de bonne facture et permet de bonnes sensations si justement on ne veut pas ou n'a pas le temps de sortir un pandémie.
Avant de se faire un pandémie ( c'est la même mécanique en moins dur) on peut bien rigoler avec les enfants ou des amis qui ne connaissent rien.... Vite expliqué, vite joué... Il faut veiller à ne pas avoir de 'meneur' dictateur qui empeche chacun de jouer comme il veux:-)
Quand je sors ce jeu le soir, je suis toujours victime d'un petit coup de blues. Peut-être est-ce à cause de cette île perdue au milieu de l'océan, sous un crépuscule orangé, avec ses mystérieux paysages. On imagine alors ce lieu regorger autrefois de vie et de joie, avant que ses habitants ne s'éteignent, laissant derrière eux les vestiges d'une belle et paisible civilisation. Tout cela est si étonnant à penser...
Mais bon, passé ce moment de pensées sensibles, on se retrouve face à un jeu agréable et bien illustré mais un brin simpliste et qui ne passionne pas réellement. Et puis je dois dire que le thème des explorateurs en quête de trésors perdus n'éveille pas grand chose en moi. Quand je vois ces jolies tuiles et les magnifiques lieux qu'elles illustrent, j'ai tendance à aspirer à quelque chose de plus féérique et surnaturel, comme un esprit rattaché à l'île tentant de retrouver ses enfants (eux aussi esprits) perdus sur l'île. Mais je m'embarque dans des délires personnels, là.
Un très joli jeu, mais à la mécanique un peu froide.
Je cherchais un jeu de coopération à jouer notamment avec un enfant... et ça tourne... Pas encore assez joué pour bien voir la profondeur du jeu mais au premier abord ça me parait sympa. On peut choisir le niveau de difficulté afin qu'il soit plus vicieux. Jeu intéressant.