Humm pas simple de donner un vrai avis definitif, alors j'y reviendrait encore au fur de mes parties.
là, j'ai fais deux parties SOLO. pas le meilleur moyen de mesurer ce jeu, mais il permet une comparaison quasi indispensable avec son grand frere Agricola.
ben, faisons court, c'est moins bien. certainnement le theme ou je ne sais quoi, mais on rentre moins à fond dedans. Attention, c'est bien et bien pensé, vraiment pas mal du tout, mais ce n'est pas Agricola.
Ok promis, ej reviendrais donner plus d'avis apres mes autres parties, car n'en doutez pas, je vais y rejouer (il est moins bien, mais pas nul, loin de là)....
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de retour pour complement d'avis..
ce jeu est tre stres bien, vraiment, je me domande comment ils ont pu le caller aussi bien car tout est fantastiquement equilbré. Presqu aucune faille dans le mechanisme, du tres tres bon. je ne trouve pas vraiment que l'interaction entre joueurs soit enorme, à peine plus que agricola, mais le jeu tourne bien, vraiment bien. On est loin du jeu famillial avec une regle special genre agricola, mais si on aime les jeux un peu costo et a ouvertures multiples des possibilités, ALORS, ce jeu est tres tres bon.
je ne change pourtant pas la note (pas encore), car on passe pas mal de temps a se demander quoi faire, quel direction prendre. puis, les dessins, dieux que c'est Agricolesque (Moche de moche). Mais le jeu reste excelent et j'ai hate de rejouer :)
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de retour ENOCRE pour complement d'avis..
apres plusieurs partie, je susi quasi sur le point de monter la note au maxi. Quasi mais pas encore....
Oui, le jeu est de mieux en mieux quand on y joue. Il est terrible, ca va plus vite, et à 2 surtout, on est presque jamais bloqué par l'autre (tres tres rare). Mais je regrete beaucoup le fait qu'il n'y ai pas plusieurs bateaux de Luxe en fain de partie car un seul donne l'avantage à celui qui joue en premier le dernier tour de jeu.
Bon, ok, ca se compense un peu si on arrive à enticiper car on peut vendre son Energie et son Acier à l'export ce qui compense quasiment. Mais pour cela il faut imperativement avoir plusieurs bateaux et assez d'energie pour les faire naviger.
C'est le dernier point qui me derrange dans le jeu. Le reste est vraiment genial et cette sensation de transformation des matieres premieres est tres interessante et bien concu...
je mets quand meme un bon 4.5 / 5.0
Ce jeu au graphisme particulier possède un système de jeu très intéressant : on peut acheter des ressources et les transformer (ou pas ) en produits qui se vendront mieux ou permettront de fabriquer des bâtiments plus intéressants.
Comme cela a souvent été dit, il ressemble à Agricola.
Ce qui lui manque par rapport à cet auguste ancêtre, c'est à mon avis 2 choses :
-on ne joue jusqu'à la fin de la partie qu'un seul pion (à Agricola, on peut accroître son nombre de jetons)
-en mode solo, il n'y a pas de "challenge" sur plusieurs parties (dans Agricola, on garde un savoir faire et de la nourriture de la précédente partie)
Par contre, il possède des points très positifs :
-utilisation de ressources de base que l'on peut ou pas transformer en produits ayant une valeur ajoutée ;
-la variété de produits disponible ne crée guère de pénurie au cours d'une partie, même à plusieurs ;
-la possibilité d'utiliser les bâtiments construits par les autres joueurs contre un paiement en francs ou en nourriture.
En mode solo, il est très bon même si je pense qu'il "s'usera" plus vite qu'Agricola ; à plusieurs il est excellent !
C'est pour cela que même si Agricola reste le numéro 1 de ma ludothèque, Le Havre se classe fort bien et mérite la note maximale.
Bon, Le Havre n'est pas pour moi, passque :
- c'est définitivement et irrémédiablement trop long
- l'industrie du bord de Manche, non merci
- faut pas jouer avec des experts du jeu qui savent exasstement combien de fer et de bois il faudra dans 6 tours (spécial dédicace Thierry )
Sinon pour ceux que tout cela ne rebute pas, les mécanismes du jeu sont excellents. Je dis simplement 1000 fois oui à Agricola, mais plutôt non à Le Havre, vous zaurez comprite...
Avis édité depuis deux parties : Le Havre c'est long, mais c'est bon, mangez-en ! :D
Avis réédité : C'est trèèèès bon à 2 ou 3, mais à plus de joueurs ya un petit côté bug (on joue trop peu souvent, 7 places avant la fin du tour c'est pas assez) et un gros, un énorme côté somnifère (trop long, vraiment trop long). Mais encore une fois à peu de joueurs, c'est très bien !
je viens d acquerir ce jeu et je suis deja rendu a 3 parties solo et 1 partie 2 joueurs. la marge de progression est enorme. le renouvellement des parties aussi. un vrai jeu comme on aimerait en voir plus souvent.
Depuis 2007 avec Brass, on avait pas eu un jeu de ce calibre. C'est à mon sens, tout simplement un des meilleurs jeux que je connaisse dans cette catégorie, le seul "Caylus-like", presque aussi bon que son ainé.
C'est un jeu de gestion et de développement vraiment fin, riche et profond. Doté d'une mécanique très épurée, ultra fluide et efficace avec une rejouabilité juste énÔrme !
C'est vrai que c'est un "gros" jeu, les parties durent entre 2 et 3 heures, mais, la règle et la mécanique sont vraiment très accéssibles, simples et logiques. Ce sont les posibilités, tactiques et stratégiques offertes qui en font un "grand" jeu.
Cerise sur le gateau, c'est excellent à deux joueurs, et là ça peut se jouer en moins de 2 heures. (La seule configuration dans laquelle je n'ai jamais joué est 5 joueurs, car généralement, ce n'est pas celle que je préfère dans ce type de jeu)
Bref, j'adore, j'y joue depuis début novembre 2008 sans m'en lasser, c'est pour moi, déja un classique, qui restera une référence pour tous ceux qui aiment ce genre.
PS:
Je ne note que les jeux que j'aime, auxquels je joue, et qui ont reçu peu d'avis.
Le bonheur est dans le port
Une grande réussite à tout point de vue.
Si le jeu est réussi esthétiquement parlant, il n’y a rien de transcendant néanmoins. Le graphisme est agréable sans plus. Les connaisseurs de la Porte-Océane (autre nom pour désigner Le Havre) apprécieront davantage le jeu car bons nombres d’illustrations correspondent aux bâtiments réels du havre. Ainsi le dessin du centre culturel est le centre Niemeyer situé en plein cœur du Havre (œuvre d’Oscar Niemeyer), le dessin de l’hôtel de ville correspond à l’architecture de la mairie de la ville, tout comme l’Eglise emblématique Saint Joseph (Œuvre d’Auguste Perret).
Le plateau de jeu est très lisible tout comme les cartes, avec toutes les icônes nécessaires à la bonne gestion de son entreprise.
La mécanique du jeu, toute l’intelligence du jeu est un agréable compromis entre Gestion de ressources-approvisionnement et construction de bâtiments et si des similitudes existent avec Caylus, Agricola et même Puerto rico, le jeu Le Havre tire bien son épingle du jeu car il est exceptionnellement fluide et intéractif puisqu’il faudra la plupart du temps payer l’utilisation d’un bâtiment à son propriétaire (banque ou joueur). Les ressources servent à gagner le l’argent mais aussi à construire de nouveaux bâtiments, à nourrir votre pion Docker (eh oui nous sommes au havre, un port aussi plutôt que de l’appeler Ouvrier, restons dans le sujet du jeu est appelons-le Docker).
Après plusieurs parties ( ce qui est mon cas), il est plus facile de concevoir un ordre de construction entre les différentes construction afin d’optimiser au mieux l’organigramme de développement et c’est en cela qu’on apprécie beaucoup le jeu. Les perspectives de jeu sont importantes du fait que les cartes bâtiments sont positionnées de manière semi-aléatoire, modifiant votre comportement d’une partie à l’autre et même la version Solo est Sympa (très utile en tout cas pour se faire la main !).
Avec tout cela, Le Havre est vraiment une réussite ludique. Il tient donc ses promesses et ne fait pas doublon avec les autres jeux cités avec lesquels on le compare souvent.
Maintenant, j’espère que son auteur Uwe rosenberg travaille déjà à une extension. Pas forcément une grosse extension mais le système s’y prête parfaitement. Le Port du havre fut surtout une plaque tournante du Café en Europe, (d’ailleurs la course à la voile entre Le Havre et Cartagena ne s’appelle pas pour rien la Route du Café). Le coton et le tabac ont beaucoup transité également par le havre avec toutes les infrastructures liées à la transformation de ces denrées et si je comprend qu’Uwe ait choisi d’autres ressources pour illustrer son jeu d’être trop proche du contexte de Puerto Rico, il serait agréable d’avoir une extension avec ces nouvelles ressources pour peu qu’elles amènent de nouvelles organisations.
De même, je verrais bien la commercialisation de réceptacle pour les différentes ressources que l’on poserait directement sur les emplacements de hangar pour faciliter la gestion des pions car il y a beaucoup de manipulations et ce n’est pas toujours très confortable.
(Pendant que j’y suis, cher Uwe, la distillerie existe bel et bien au Havre mais je doute que le Schnaps soit l’alcool de référence par ici.)
P.S.
A quoi voit-on qu'un jeu plait plus que de coutume mis à part la note globale ?
A la longueur des avis donnés !!!
*Avertissement : Je préviens tout de suite, la filiation de Le Havre avec Agricola et Caylus est tellement forte que cet avis va faire nombre de comparaisons avec ces deux autres jeux.*
Le Havre, c'est un jeu pour optimisateurs fous !
On y reconnait la patte de l'auteur d'Agricola, avec son graphisme limite enfantin, ses multiples ressources, ses phases de récolte et la nécessité de trouver de la nourriture. L'ascendance de Caylus y est encore plus forte qu'elle ne l'était dans la version fermière, avec des bâtiments qui sont construits (ou achetés) par les joueurs et constituent autant de cases où l'on pourra par la suite envoyer nos... notre ouvrier (eh oui, dans Le Havre, on n'en a qu'un).
Toutefois ce que le Havre pousse à son paroxysme à un point que je n'avais encore jamais vu avant, c'est cet aspect de gestion des ressources qui peuvent toutes évoluer et remplir plusieurs objectifs. Les boeufs peuvent être expédiés pour rapporter de substantiels bénéfices, ou envoyés à l'abattoir pour se nourrir. Le bois peut servir de matériau de construction, ou apporter de l'énergie. Il n'y a pas moins de huit ressources différentes existant toutes en deux états (argile/brique, boeuf/viande, fer/acier...), plus l'argent (des francs, un joli petit goût de nostalgie). Le seul jeu auquel je peux penser qui se rapproche de cette façon de voir les ressources, c'est Roads & Boats, mais là si les ressources se transforment également, elles servent toutes à la même chose : la construction.
Le jeu tourne bien, il est facile à expliquer, mais il faut deux ou trois parties avant de mieux voir comment les bâtiments peuvent "comboter" entre eux. Car c'est en effet là que se situera la clef du succès, trouver le cheminement entre les bâtiments qui permettra le mieux de faire fructifier son pactole de départ. Quels bâtiments construire ? Ou bien plutôt les acheter ? Quels bateaux ? Une alimentation à base de pain, de viande ou de poissons ? Tout comme Agricola, les choix ne manquent pas, et le tout s'enchaîne avec une fluidité, une logique et une cohérence déconcertantes pour un jeu de ce calibre.
La façon dont les bâtiments arrivent en jeu, pas toujours dans le même ordre, est le moyen choisi par l'auteur pour faire varier les parties, là encore un peu comme les actions de chaque période dans Agricola. Ceci plus quelques bâtiments spéciaux venant chambouler l'équilibre des bâtiments standards. Mon premier doute se situe là : même si on ressent bien l'effet de leur présence, je crains que l'on n'utilise qu'un trop petit nombre de ces bâtiments spéciaux à chaque partie pour que le jeu se renouvelle pendant aussi longtemps que ce que l'association des aménagements mineurs et des savoirs faire permet dans Agricola.
Ma seconde réserve, c'est que contrairement à Agricola, le thème de Le Havre est bien moins universel. Dans le Havre, on ne s'amuse pas à bâtir notre quartier en posant les bâtiments sur des cases de rues, ni à stocker nos poissons dans un bassin. La manipulation du matériel reste abstraite, les bâtiments sont des cartes alignées devant nous, et les ressources sont des pions carrés empilés les uns à côté des autres. Tout ce matériel est bien pensé en termes d'ergonomie, il contient tout ce qu'il faut pour jouer confortablement (un pion ressource porte un icône indiquant combien de nourriture il apporte, ou d'énergie, et sa valeur en francs, et si on le transforme il suffit de le retourner), mais il paraît plus "froid" et ne séduira pas un public aussi vaste et autant en dehors de la cible initiale que ne l'a fait le "jeu de dinette" Agricola.
En conclusion Le Havre est indéniablement un excellent jeu, mais peut-être un peu trop calculatoire à mon goût pour surpasser d'autres jeux pourtant moins parfaits. Mais si vous êtes fans de Caylus et de Dominion, alors à moins que vous ne soyez allergique à son thème, c'est un jeu qui devra absolument entrer dans votre ludothèque.
*Avertissement : Je préviens tout de suite, la filiation de Le Havre avec Agricola et Caylus est tellement forte que cet avis va faire nombre de comparaisons avec ces deux autres jeux.*
Le Havre, c'est un jeu pour optimisateurs fous !
On y reconnait la patte de l'auteur d'Agricola, avec son graphisme limite enfantin, ses multiples ressources, ses phases de récolte et la nécessité de trouver de la nourriture. L'ascendance de Caylus y est encore plus forte qu'elle ne l'était dans la version fermière, avec des bâtiments qui sont construits (ou achetés) par les joueurs et constituent autant de cases où l'on pourra par la suite envoyer nos... notre ouvrier (eh oui, dans Le Havre, on n'en a qu'un).
Toutefois ce que le Havre pousse à son paroxysme à un point que je n'avais encore jamais vu avant, c'est cet aspect de gestion des ressources qui peuvent toutes évoluer et remplir plusieurs objectifs. Les boeufs peuvent être expédiés pour rapporter de substantiels bénéfices, ou envoyés à l'abattoir pour se nourrir. Le bois peut servir de matériau de construction, ou apporter de l'énergie. Il n'y a pas moins de huit ressources différentes existant toutes en deux états (argile/brique, boeuf/viande, fer/acier...), plus l'argent (des francs, un joli petit goût de nostalgie). Le seul jeu auquel je peux penser qui se rapproche de cette façon de voir les ressources, c'est Roads & Boats, mais là si les ressources se transforment également, elles servent toutes à la même chose : la construction.
Le jeu tourne bien, il est facile à expliquer, mais il faut deux ou trois parties avant de mieux voir comment les bâtiments peuvent "comboter" entre eux. Car c'est en effet là que se situera la clef du succès, trouver le cheminement entre les bâtiments qui permettra le mieux de faire fructifier son pactole de départ. Quels bâtiments construire ? Ou bien plutôt les acheter ? Quels bâteaux ? Une alimentation à base de pain, de viande ou de poissons ? Tout comme Agricola, les choix ne manquent pas, et le tout s'enchaîne avec une fluidité, une logique et une cohérence déconcertantes pour un jeu de ce calibre.
La façon dont les bâtiments arrivent en jeu, pas toujours dans le même ordre, est le moyen choisi par l'auteur pour faire varier les parties, là encore un peu comme les actions de chaque période dans Agricola. Ceci plus quelques bâtiments spéciaux venant chambouler l'équilibre des bâtiments standards. Mon premier doute se situe là : même si on ressent bien l'effet de leur présence, je crains que l'on n'utilise qu'un trop petit nombre de ces bâtiments spéciaux à chaque partie pour que le jeu se renouvelle pendant aussi longtemps que ce que l'association des aménagements mineurs et des savoirs faire permet dans Agricola.
Ma seconde réserve, c'est que contrairement à Agricola, le thème de Le Havre est bien moins universel. Dans le Havre, on ne s'amuse pas à bâtir notre quartier en posant les bâtiments sur des cases de rues, ni à stocker nos poissons dans un bassin. La manipulation du matériel reste abstraite, les bâtiments sont des cartes alignées devant nous, et les ressources sont des pions carrés empilés les uns à côté des autres. Tout ce matériel est bien pensé en termes d'ergonomie, il contient tout ce qu'il faut pour jouer confortablement (un pion ressource porte un icône indiquant combien de nourriture il apporte, ou d'énergie, et sa valeur en francs, et si on le transforme il suffit de le retourner), mais il paraît plus "froid" et ne séduira pas un public aussi vaste et autant en dehors de la cible initiale que ne l'a fait le "jeu de dinette" Agricola.
En conclusion Le Havre est indéniablement un excellent jeu, mais peut-être un peu trop calculatoire à mon goût pour surpasser d'autres jeux pourtant moins parfaits. Mais si vous êtes fans de Caylus et de Dominion, alors à moins que vous ne soyez allergique à son thème, c'est un jeu qui devra absolument entrer dans votre ludothèque.
J'attendais également impatiemment ce jeu digne successeur de Caylus et d'Agricola de l'aveu même du créateur du jeu. L'enjeu était donc de taille, allait il gommer les imperfections (si tant est qu'il y'en avaient) de ses prédécesseurs ou allait il être une pâle copie de ceux ci.
Tout d'abord mes notations du jeu selon les critères suivants :
**Graphismes/design**
Rien de révolutionnaire en soit, les couleurs sont agréables, les cartes sont plutôt jolies et attrayantes. Les jetons sont sobres mais efficaces. Les cartes aides de jeux sont un peu minimalistes, mais finalement suffisantes. Le design du plateau est très classique et fonctionne bien.
**4/5**
**Matériel**
Évidemment il souffrira de la comparaison de son prédécesseur Agricola qui a mis la barre très très haute dnas ce domaine. Beaucoup de jetons de matières premières que l'on a plaisir à manipuler, des cartes nombreuses et variées de bonnes factures, un plateau de jeu solide, et divers jetons. Pas de matériel en 3D (animaux, ressources....), mais est ce primordial pour faire un bon jeu ? (les ouvriers de Puerto Rico ressemblent pas trop a des ouvriers non? )
**3/5**
**Mécanismes**
Pas mal de choses empruntés à Agricola (moins à Caylus)on retrouve notamment la phase de reproduction et la phase d'alimentation de ce premier.Tout le coté transformation de matière première est également présent au moyen de bâtiments.Alors oui il y'a quelques éléments intéressants dans ce jeu qu'on ne retrouve pas dans les deux comparses. Déjà la possibilité d'acheter ou de construire un bâtiment parfois. Également la possibilité et "l'obligation" de développer une flotte maritime au travers l'achat ou la construction de bateau. Les droits d'entrées est également un concept intéressant, puisque pour utiliser un bâtiment qui ne vous appartient pas il faudra mettre la main à la poche.
Bref il y'a la quelques possibilités d'interactions entre joueurs, la ou à Agricola chacun construisaient dans son coin.
Une mécanique bien huilée, prenant de bons aspects des autres jeux et rajoutant quelques subtilités.
**5/5**
Il est également nécessaire de parler de la durée du jeu, en effet nous avons fait une partie à deux joueurs en version longue, qui a durée quand même 3 heures. Je pense qu'a 4 ou 5 joueurs le jeu doit être assez long et le peu d'action réalisables doit apporter un coté frustrant non négligeable.
Pour moi c'est un jeu que je sortirais en priorité seul avec ma copine ou un ami. Lorsqu'a 4 ou 5 joueurs je sortirais Agricola.
Malgré certains défauts (Durée, concepts re-pompés, matériel classique) j'ai vécu de très bons moments sur ce jeu lors de mes premières parties, avec l'envie d'en refaire. Les tours s'enchainant à un rythme effréné une fois les règles acquises et l'envie de voir sa stratégie se développer devient très addictif.
Pour moi le Havre est donc une réussite.
Je suis un gros amateur de gros jeux...
Mes plus grands orgasmes ludiques, c'est à Caylus, Roads & Boats et Agricola que je les dois !
J'attendais impatiemment mes exemplaires du Havre... quel ne fût pas mon bonheur lorsque j'ai enfin pu tester ce chef d'oeuvre !
Je vais pas vous le refaire, vous connaissez les origines de ce jeu... pas de problème, on les retrouves, elles sont là et bien assumées : le Havre c'est le meilleur d'Agricola et Caylus, mixés pour en faire un jeu riche, profond, équilibré et sans cesse renouvelé.
Ce qui frappe le plus c'est qu'il y a toujours plein de choses à faire, tellement que durant le milieu de la partie les opportunités stratégiques sont particulièrement nombreuses et variées.
Selon les choix, l'efficacité d'une stratégie se ressentira immédiatement, ou beaucoup plus tard, sur la fin de parties, lorsqu'on aura réussi à acheter deux gros bateaux de luxe !
Il semble qu'Uwe Rosemberg ait réussi à équilibrer son jeu à la perfection, différentes options bien menées pouvant apporter au final un score assez proche.
Je n'ai testé le Havre qu'à 2 et 4 joueurs. Plus on est nombreux, plus les parties sont chaotiques. Je réussi parfaitement à développer une stratégie à 2, m'adaptant aux petites contrariétés causées par mon adversaire, mais à 4, c'est beaucoup plus dur !
Jamais jeu n'a autant rimé avec frustration que dans cette configuration !
Il faudra s'investir dans Le Havre, indéniablement plus lourd que son petit frère, mais quel plaisir au final, j'espère que vous serez nombreux à vous y essayer !
A mon avis, c'est agricola en mieux.
Pourquoi ? Par ce qu'il y a enfin de l'interaction !
Les bâtiments que l'on achète sont commun à tous mais peuvent éventuellement générer des coûts pour ceux qui veulent s'y rendre, façon Caylus en fait.
Il faut quand même plusieurs parties pour comprendre avant de maîtriser tous les rouages mécanique.
Je pense qu'à 3 joueurs la configuration est idéale, car au delà ça devient plutôt chaotique et à 1 ou 2 peut-être trop répétitif.
On peut voir déjà des stratégies évidentes tel que le développement des bateaux qui facilitent vraiment les tâches futurs.
Niveau matos, y'en a pas mal sur la table !
Un peu plus de clarté sur le plateau n'aurait pas fait de mal. Par contre je ne suis pas vraiment fan du style graphique du plateau. Je lui aurait préféré une illustration de Michael Menzel.
Ce jeu va faire couler (de) l'encre !
Sympathique, facile à jouer, "Le Havre" se caractérise par beaucoup de possibilités à chaque tour (à condition d'avoir déjà assuré la nourriture!), une caractéristique qui le rend un tantinet addictif : "ah, j'aurais du faire plutôt ça!". C'est à l'évidence un jeu bien testé et qui tourne bien, et j'apprécie le mode "rapide" qui permet à 3 joueurs de faire une partie intéressante en un peu plus d'une heure (pour des joueurs décidés). C'est en tous cas un jeu de développement, qui peut évoquer "Brass" par son thème industriel et sa profondeur, avec plus de choix dans les actions et donc probablement plus de stratégies possibles mais un peu moins de contrôle avec une interaction qui m'a semblé un peu plus chaotique. Pour conclure, un très bon "gros" jeu de gestion qui sait rester d'approche légère.
**Le Havre** ne plaira pas à tout le monde. C'est un gros jeu de gestion dans laquelle il faut apprendre à jongler avec de multiples ressources poisson, graines, bois, argile etc... de manière la plus opportuniste possible car à chaque fin de round arrive inévitablement le couperet de la nourriture pour la population. C'est également un jeu de planification pour essayer dans le long terme d'investir dans les bateaux et les bâtiments les plus intéressants. On se retrouve donc confronté à ce choix cornélien, dois-je me préoccuper du court terme en privilégiant la nourriture ou en m'axant plus sur un développement (peut-être) plus rentable à long terme. Le jeu propose en outre de nombreuses stratégies potentielles, ce qui fait qu'il offre une rejouabilité importante. Attention, c'est un jeu complexe et long et il faut compter environ 3h pour une partie complète à 3 personnes.
Un très bon jeu à classer près des Caylus ou des Brass.
Depuis 2007 avec Brass, on avait pas eu un jeu de ce calibre. C'est à mon sens, tout simplement un des meilleurs jeux que je connaisse dans cette catégorie, le seul "Caylus-like", presque aussi bon que son ainé.
C'est un jeu de gestion et de développement vraiment fin, riche et profond. Doté d'une mécanique très épurée, ultra fluide et efficace avec une rejouabilité juste énÔrme !
C'est vrai que c'est un "gros" jeu, les parties durent entre 2 et 3 heures, mais, la règle et la mécanique sont vraiment très accéssibles, simples et logiques. Ce sont les posibilités, tactiques et stratégiques offertes qui en font un "grand" jeu.
Cerise sur le gateau, c'est excellent à deux joueurs, et là ça peut se jouer en moins de 2 heures. (La seule configuration dans laquelle je n'ai jamais joué est 5 joueurs, car généralement, ce n'est pas celle que je préfère dans ce type de jeu)
Bref, j'adore, j'y joue depuis début novembre 2008 sans m'en lasser, c'est pour moi, déja un classique, qui restera une référence pour tous ceux qui aiment ce genre.
PS:
Je ne note que les jeux que j'aime, auxquels je joue, et qui ont reçu peu d'avis.
Agricola + Caylus = Le Havre
Un merveilleux mixte...
Je récupère des ressources sur les différents quais avec mon bateau...
Je construis en occupant un bâtiment me permettant d'en construire d'autres, tout en fournissant les ressources demandées...
J'occupe un bâtiment me permettant d'acquérir ou de transformer des ressources (Désolé, ce bâtiment n'est plus disponible, j'y suis...)
J'achète un bâtiment ou un bateau quand je veux durant mon tour (action additionnelle)
Je vend quand je veux... Oups! Oui mais à moitié prix...
Au bout du quai: Y faut nourrir la gang!!!(Y faut prévoir et c'est de plus en plus cher)
Qui amassera le plus de francs??? (chaque bâtiment a sa valeur et certains ont une valeur ajoutée...)
Les bateaux, les bâtiments, les ressources et les francs, je craque pour ce jeu...
De plus, si comme moi, vous appréciez également les parties en solo...
C'est un MUST!!!
Merci Uwe!!!
Humm pas simple de donner un vrai avis definitif, alors j'y reviendrait encore au fur de mes parties.
là, j'ai fais deux parties SOLO. pas le meilleur moyen de mesurer ce jeu, mais il permet une comparaison quasi indispensable avec son grand frere Agricola.
ben, faisons court, c'est moins bien. certainnement le theme ou je ne sais quoi, mais on rentre moins à fond dedans. Attention, c'est bien et bien pensé, vraiment pas mal du tout, mais ce n'est pas agricola.
Ok promis, ej reviendrais donner plus d'avis apres mes autres aprties, car n'en doutez pas, je vais y rejouer (il est moins bien, mais pas nul, loin de là)....
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de retour pour complement d'avis..
ce jeu est tre stres bien, vraiment, je me domande comment ils ont pu le caller aussi bien car tout est fantastiquement equilbré. Presqu aucune faille dans le mechanisme, du tres tres bon. je ne trouve pas vraiment que l'interaction entre joueurs soit enorme, à peine plus que agricola, mais le jeu tourne bien, vraiment bien. On est loin du jeu famillial avec une regle special genre agricola, mais si on aime les jeux un peu costo et a ouvertures multiples des possibilités, ALORS, ce jeu est tres tres bon.
je ne change pourtant pas la note (pas encore), car on passe pas mal de temps a se demander quoi faire, quel direction prendre. puis, les dessins, dieux que c'est Agricolesque (Moche de moche). Mais le jeu reste excelent et j'ai hate de rejouer :)
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Allez, je suis de retour
- Version Francaise, pas plus de 4/5 car la traduction de la doc est tres tres loin de la version Anglaise (imprecision, erreur, manques), j'en suis assez decu mais encore bravo et merci quand meme de la proposer, il ne manque qu'une petite Mise à jour ou un FAQ sur le site de Ystari.
- Version Original, TOP de TOP, apres plusieurs parties, je trouve ce jeu ENORME et grandiose !!!!
Définitivement, les jeux de gestion sont de loin les jeux qui offrent pour moi les systèmes les plus excitants.
Le jeu est le second de l'auteur du fameux Agricola. Je trouve le Havre tout aussi intéressant qu'Agricola et même mieux au fur et à mesure des partie. Les perspectives sont plus nombreuses. Il y a des similitudes entre les deux jeux mais aussi pas mal de différences. Il y a des ressources qu'ils faut récupérer, transformer, vendre. Il faut récupérer des bâtiments soit en le construisant, soit en l'achetant. Un des points nouveaux est le système d'utilisation des bâtiments (qui vous servent à faire pleins de trucs) : il est possible d'utiliser un bâtiment possédé par un autre joueur, mais alors il faut payer un droit d'entrée au joueur. Ainsi il est intéressant dans le jeu de se saisir d'un bâtiment dont on sait qu'il sera nécessaire aux autres joueurs.
Enfin le jeu offre diverses dimensions qui permettent de faire de l'argent et des bâtiments (cela correspond aux points de victoire à la fin) de différentes manières et donc de pourvoir modifier ses stratégies au cours du jeu.
**Conclusion : si vous aimez "Agricola", vous devriez aimer "le Havre". C'est de la très bonne gestion avec pas mal d'interaction entre joueurs. Plus j'y joue, plus le jeu m'enthousiasme. La seule exigence est d'être motivé et avoir le temps pour s'engager dans des parties de 3 heures.**
Ce jeu est parfaitement huilé. On voit qu'il a été bien étudié.
On doit récolter des matières qui nous permettent de soit payer nos impots (ce qui est primordial sinon on est endetté et c'est la cata), soit de construire des bâteaux qui nous permettent de payer plus facilement nos impots, soit de construire des bâtiments qui nous permettent de récolter plus de matières premières.
Le différentes constructions apportent différents bonus.
Les autres joueurs peuvent profiter de vos propres constructions en vous payant un impôt.
Un jeu bien fait quoi, mais pas super original et assez frustrant car tant qu'un joueur ne bouge pas son pion d'une tuile, les autres ne savent pas profiter de cette action et souvent, par exemple pour la construction permettant de construire un bâteau, dès qu'un joueur quitte cette tuile, le joueur situé juste après lui en profite et les autres doivent encore attendre un tour...