1ère impression après la 1ère partie...une déception !
Celle ci s\'explique par une mauvaise interpretation des règles (nous n\'achetions pas les cartes (:o( mais aussi par la beauté de la boite et son contenu qui laisse présager beaucoup...peut être une plus grande richesse de paramètres.
Là, il ne s\'agit que de construire des frontières.
Et puis après plusieurs parties, on comprend qu\'il s\'agit ici d\'un jeu de placement dont la mécanique est plaquée sur du très beau matériel.
Résultat : Le jeu est excellent !
Et cela, je l\'avoue après une succession de 3 défaites avec le même adversaire.
Le plateau modulable est une excellente trouvaille et promet des parties a chaque fois differentes.
Le deroulement est super rapide puisqu\'il n\'y a qu\'une action par tour...tout s\'enchaine dans le plus grand plaisir.
Mais attention, ce n\'est pas le jeu du genre déconne..l\'ambiance est tendue...
Une action a faire, mais laquelle choisir ?
l\'adversaire va t\'il deviner mon plan machiavélique?
vais je tirer la bonne carte?
Tout peut basculer en une action...dur à encaisser !
Bref, le plaisir est comparable à celui de Tikal...vous l\'avez compris, j\'adooorrre !!!
... Ou comment une boite bleutée parvient à rivaliser avec une boite typée tapisserie de Bayeux.
Venez... approchez, ne soyez pas intimidé, ceci est bien un avis sur "Richard coeur de Lion", titre de l'édition VF de Tilsit sortie en 2004 suite à la réédition (mais pas à l'identique, on va le voir) par Kosmos en 2003 du Löwenherz sorti chez Goldsieber en 1997... vous me suivez ? Alors pour faire plus simple, on va parler de Löwenherz pour la première édition (1997) et de Richard Coeur de lion pour la seconde (2003).
C'est donc un avis, mais un avis comparatif car Richard coeur de Lion est indissociable de son grand frère et ce n'est pas toujours facile d'être le cadet un peu rejeté dans l'ombre d'un champion adulé. Il faut dire que son aîné, le Löwenherz de chez Goldsieber, était un titre souvent cité à l'époque par les joueurs amateurs de jeux plus costauds que la moyenne, dés qu'on leur demandait de présenter leur "Top 10" ou bien simplement "Quel est selon vous le meilleur jeu de Klaus Teuber ?"
Oui, l'auteur, c'est monsieur Klaus "Kätan" Teuber, qui au lieu de ressortir Löwenherz avec ses règles originales, avait modifié son jeu pour des raisons peut-être commerciales ou à la demande de l'éditeur (ce qui revient au même) afin sans doute de le rendre plus abordable, pour tout type de joueur, plus"familial"aussi.
Alors pour résumer brièvement les deux jeux, les joueurs s'affrontent pour constituer des fiefs en installant au départ châteaux et chevaliers, puis en posant des frontières pour délimiter leur possessions en essayant d'intégrer des forêts, des villages, des mines ainsi que d'autres chevaliers pour se renforcer et prendre des territoires chez les voisins. Vous pourrez vous constituer plusieurs fief (3 ou 4 selon les configurations), mais vous ne parviendrez pas à tous les développer de manière égale. Et tout cela pour gagner quoi ? Mais des points de Victoire, du Prestige, de la Gloire même... Alors autant le dire tout de suite, si le thème est un affrontement durant la période médiévale, le roi Richard a vraiment une présence très discrète et l'action pourrait se dérouler n'importe où en Europe sous le règne d'un autre souverain à la même époque. Techniquement, les joueurs réalisent des actions que leur permettent des cartes afin d'agir sur un plateau constitué de tuiles dont la mise en place renouvellent la géographie des territoires à chaque partie... un beau clin d'oeil aux Colons de Catane.
Bon, tout ça c'est d'accord, mais quelles sont les différences alors ?
Et bien Löwenherz est un jeu qui mêle habilement choix simultanés, négociations, enchères, placements, grignotage de territoires adverses et naturellement coups fourrés divers alors que Richard Coeur de Lion (RcdL pour faire plus court) est un jeu qui mêle habilement placements, grignotage de territoires adverses et naturellement coups fourrés divers.
Ah! Vous avez remarqué ? Entre les deux, il manque bien quelque chose...
Le principal changement pour rendre le jeu moins agressif (objet ensuite de bien des critiques) a consisté à faire disparaître la phase négociations/enchères pour le choix des actions. A Löwenherz, vous n'êtes pas assurer de pouvoir jouer une action lors d'un tour, il faut la gagner. Il peut y avoir négociation et parfois enchère rien que pour pouvoir jouer. Certes, si vous acceptez de pas jouer l'action, vous prenez l'argent proposé par votre adversaire, mais en cas de désaccord et perte de l'enchère cachée, l'argent va à la banque et vous n'aurez aucune compensation. Cette phase qui génère une certaine tension (et qui est potentiellement assez méchante) disparaît dans RcdL. Désormais, un joueur se retrouve toujours assuré du choix entre deux actions : vendre une carte qui sera placée sur l'espace "Chancellerie" (pour gagner de l'argent) ou bien jouer l'action d'une carte (qui est ensuite défaussée) en payant son coût. La gestion financière devient ainsi plus simple, alors que Löwenherz impose une bonne estimation de la valeur d'une action à un moment donné et de l'argent versé à un adversaire... avec le risque de se tromper.
En raison de cette grande tension engendrée par cette phase de choix des actions non présente dans RcdL, j'aurais donc tendance à dire : Löwenherz 1 – RcdL 0
Une seconde modification importante des règles concerne la fin de partie. Dans Löwenherz, c'est l'apparition de la carte annonçant la mort du roi qui met fin immédiatement au jeu. Le nombre de tours est incertain, mais on peut l'évaluer car cette carte fait obligatoirement partie des 4 dernières de la pioche. Dans RcdL, c'est curieusement plus complexe. En effet, la fin de partie peut se produire de deux manières différentes : Soit un joueur parvient à un nombre de points fixé selon la configuration (30 points à 4 joueurs, 40 à 3 joueurs, 50 à deux joueurs), soit au moment où la dernière carte de la pioche est prise par un joueur. Cette modification est évidemment loin d'être anodine et engendre des stratégies intéressantes. Par exemple, un joueur en tête et assez proche de la "ligne d'arrivée" n'aura aucun intérêt à ce que la partie s'éternise car immanquablement, ces adversaires vont chercher à lui reprendre du territoire. Or, la perte de territoires "à points" fait reculer le perdant sur la piste de score et avancer le nouveau possédant. Donc, soit ce joueur tenteras d'atteindre le niveau de points requis pour la victoire immédiate, soit il cherchera à épuiser la pioche des cartes. Ces adversaires évidemment auront tendance à se servir dans la chancellerie. Autre détail, si la partie se termine aux points, la richesse finale donne 5 points pour le plus riche, 3 pour le second.
Ces conditions de fin de partie et les subtilités tactiques qui en découlent donnent une tension qui compense selon moi la perte de la phase des cartes action. Donc cette fois, je dirais Löwenherz 1 – RcdL 1
Sur le contenu des cartes maintenant : Les deux jeux partagent les mêmes actions, à savoir poser des frontières, ajouter des chevaliers, imposer la paix, agrandir un fief, recruter un chevalier adverse. Löwenherz propose en plus deux cartes qui donnent directement des ducats et deux cartes donnant des points de victoires. Cette différence n'est cependant pas significative. Une caractéristique de Löwenherz est que les cartes "politiques" (par exemple Renégat ou Alliance) sont dans une pioche à part alors que leurs équivalentes sont disponibles dans la pioche générale à RcdL. Quoiqu'il en soit, les deux systèmes se valent et permettent dans tous les cas des coups bien tordus qui font tout le charme du jeu. Vous avez un Fief qui jouxte un fief adverse peu défendu ? Super, vous allez pouvoir le grignoter avec des actions "Expansion territoriale"... sauf si votre faible voisin joue une carte "Alliance" et là, vous pouvez plus l'attaquer. Ou bien encore mieux : il renverse le rapport de force en sa faveur en jouant "Changement d'allégeance" ; il s'empare alors d'un chevalier de votre fief menaçant pour le placer (à sa couleur) dans celui que vous menaciez et devenir peut-être plus puissant... à présent c'est vous qui risquez quelques pertes territoriales.
Comme écrit plus haut, on peut évaluer le nombre de tours potentiel à Löwenherz (et en tenir compte dans votre stratégie) mais c'est plus incertain à RcdL. En effet, vendre une carte de sa main, c'est la remettre en jeu en la posant face visible sur l'espace Chancellerie. Ainsi, la pioche aveugle des cartes disponibles s'épuise à des vitesses variées selon les parties et les intérêts des participants, car un joueur peut recomposer sa main avec une carte visible de la Chancellerie dont il connait alors l'action et le coût au lieu de piocher sur le tas principal. C'est aspect là n'existe pas à Löwenherz.
Néanmoins, pour moi, c'est bien un match nul. Je pourrais aussi vous parler des aspects financiers qui présentent chacun des difficultés spécifiques mais j'ai été assez long et je ne veux pas tout vous "spoiler" non plus... ce sera à vous de voir à l'occasion. J'espère en tout cas vous avoir un peu convaincu que Richard coeur de Lion n'est pas moins intéressant ou méchant que Löwenherz et vous l'aurez compris, j'aime beaucoup les deux jeux.
\* A ne pas confondre avec le jeu du même nom de A. Chiarvesio édité suite à un KS chez Edge en 2018.
Règles simples, intéraction très fortes, parties bouclées en 1 heure, tour de jeu rapides....diplomatie et beaucoup de tactique....un très bon jeu pour initier...mon préféré de Klaus Teuber.
Comme beaucoup sans doute, je m'étais laissé dire que Löwenherz bleu, c'est comme le lait ou la crème, c'est moins bon que le rouge. Fan et heureux possesseur de la première version, j'en étais resté là, dédaignant les tablées ayant le gout des produits allégés et insipides. Quelques années plus tard, constatant que la boite rouge avait pris une sérieuse couche de poussière, la faute à une durée longue et des négociations parfois fastidieuses et fatigantes, je me suis procuré cette nouvelle version, avec le secret espoir en prime d'y jouer en famille.
Et là, la révélation : loin de déflorer le jeu, la suppression de la phase de négociation/enchères permet aux joueurs de mieux se concentrer sur ce qui fait son originalité, à savoir la mise en place et le développement des territoires sur le plateau. Le hasard qui a pris la place des enchères impitoyables rend certes le jeu plus léger et moins stratégique, mais finalement moins répétitif et plus ludique. Et les négociations n'ont finalement pas vraiment disparu : le marché les remplace avantageusement, et la construction d'un très grand royaume, ou une extension mal venue ne laissent jamais une tablée indifférente. Le principal défaut du jeu étant sans doute une fin de partie un peu trop courte : on préfèrerait souvent un tour ou deux de plus, histoire de permettre plus de risques en construisant des royaumes plus grands. Ceci dit, c'est vraiment plutôt un choix d'auteur qu'un défaut d'équilibrage, j'ai pris sur moi de le respecter, et c'est très bien aussi. Cerise sur le gâteau, cette version est excellente à deux et trois joueurs, contrairement à la précédente qui ne prenait tout son sel qu'à quatre joueurs.
Mon snobisme me perdra.
Un bon jeu de stratégie et de placement. Un début de partie plus accès sur le bornage et vient ensuite la prise des armes pour s'agrandir au dépens des autres joueurs. Le score évolue en + ou en - tout au long de la partie et l'on peut assister à des retournements de situations. Les figurines sont très jolies et les illustrations sont bien dans le thème.
J'ai vraiment beaucoup apprécié.
Tres bon jeu de territoire
les+
-beau
-delimiter son territoire est la clé
-les cartes special
-par les auteurs des colons de catanes
les -
- je ne sais pas
Quelle erreur fût la mienne la première fois que je refusais une partie de Löwenherz. Erreur largement réparée depuis : j'adore ce jeu qui, au premier abord, peut laisser dubitatif. Le matériel est joli et laisse presque penser à un jeu de conquête... ce qu'il n'est pas vraiment. Löwenherz est surtout un jeu de diplomatie basé sur un principe à la fois simple et génial : chaque tour de jeu trois actions sont disponibles. Chaque joueur se positionne à tour de rôle sur une action - sachant qu'à eux tous les joueurs peuvent réaliser quatre actions (à 4 joueurs chacun se positionne sur une action et à 3 joueurs le premier joueur peut se positionner sur deux). Si une action n'est réclamée que par un seul joueur il peut la réaliser. Si elle est réclamée par deux joueurs ceux-ci peuvent d'abord négocier entre eux comme ils le souhaitent (partager l'action, se la vendre, discuter des modalités de son utilisation, etc). S'ils ne s'accordent pas ou si plus de deux joueurs se positionnent sur une même action il y a enchère pour l'acquérir. L'objectif est de bâtir des domaines sur le plateau de jeu, qui seuls permettent de gagner des points de victoire en fonction de leur taille et des ressources qu'ils renferment, puis de défendre et d'étendre ceux-ci (mais de manière très abstraite). Un jeu magnifique dont le seul défaut est le flou qui accompagne les premières parties : on ne sait vraiment pas par quel bout le prendre.
Du tout bon que ce jeu, assez rapidement pris en main, mais dont on ne se lasse pas !
Une de mes premières acquisitions, mais à laquellel, encore aujourd'hui, nous jouons régulièrement avec grand plaisir !
Ce jeux est une vrai découverte ludique pour moi, le placement et les filouteries pour investir un domaine sont pléthores ...
Le matériel est de qualité, la règle digeste, une thématique forte et bien rendu, une interaction présente, tout pour en faire un bon jeu hélas je ne connais pas la version initiale qui à l'air un cran haut dessus !
Ce jeu est tout bonnement une joie quand je sors la boite :) et prend plaisir à bouter hors de mes terres les félons ....
Je n'ai pas joué au premier du nom (Löwenherz) mais RCdL m'a vraiment emballé.
Les règles sont simples, très faciles à expliquer, et après un tour de jeu, tout le monde a compris et se met à cogiter sur les meilleurs plans d'extension possibles. Pour ne rien gâcher au plaisir, le matériel est vraiment de qualité: les figurines chevaliers, châteaux et murailles en plastique sont vraiment représentatives. Le plateau de jeu, modulable, est également très joli, parfaitement lisible, avec un "cadre" l'entourant, évitant ainsi que les tuiles ne glissent.
Côté thermoformage, on rejoint ici Jamaïca: chaque chose à sa place, tout est parfaitement rangé. Le matériel n'est pas pléthorique et pourtant, la boîte est bien remplie. Et pour cause: ça reste du format standard. On vous vends ici un jeu, et non du carton plein de vide ;-)
Bref, une réussite, parfaitement jouable à 2, que je tarde d'essayer à 3, et que je ne regrette vraiment pas d'avoir trouvé en occasion (à l'état neuf).
Enfin, je pense qu'il constituera pour moi un joli tremplin vers des jeux de "développement/connexion" plus complexes comme Euphrate & Tigris.
Avec Löwenherz Teuber revoit le genre « conquête de territoire », ici pas de combat à la Risk, mais du placement subtile, de la négociation, de la diplomatie, accroitre intelligemment son territoire en fonction de l’avancée des autres joueurs.
Löwenherz est un jeu pas trop compliqué mais assez profond en choix stratégique et assez tendu jusqu’au dernier tour.
Ps : Surtout ne pas jouer à la réédition Richard Cœur de Lion ou le jeu a été simplifié en ajoutant notamment du hasard sur les cartes le jeu perd beaucoup en intérêt et en profondeur.
En voilà un qui ne paye pas de mine, mais c'est un jeu qui mérite le détour. Rien que le démarrage pour placer ses châteaux, ben fait y réfléchir à deux fois, et la suite est de même acabits. Je recommande
C'est un super jeu.
Les enchères sont tendues et jusqu'à la fin, il est difficile de savoir qui va gagner. Le jeu peut subitement basculer. Il a peut être un peu vieilli, mais il est toujours efficace et vous fera passer un bon moment.
Ce jeu est un de mes must, mais je m'aperçois que je n'ai jamais pris le temps de le noter! Oo
Il est rapide, accessible aux joueurs occasionnels, simple à expliquer et à comprendre, interactif sans être chaotique, à la fois tactique et stratégique (quand on le connait bien)
Le système de royaume est subtil :
- lorsqu'on construit son royaume on s'aide autant qu'on aide son voisin,
- un château restant tout seul sur une territoire devient un royaume -> cela permet souvent des fins de parties très tendues et des surprises
Il faut savoir que deux joueurs qui se font trop la guerre vont surtout avantager les autres joueurs.
La fin de partie qui peut arriver brutalement dès qu'un joueur atteint un certain nombre de points, rend les stratégies de "coup de théâtre" possibles :)
Je pratique 3 ou 4 joueurs, les deux configurations sont intéressantes.
C'est un jeu à apprentissage : un très bon joueur ne perdra pas face à un débutant
2 points négatifs (il en faut) :
- il y a une part de chance sur la pioche des cartes actions et parfois on manque vraiment d'actions d'extension de royaume, ce qui limite les possibilités
- le thermoformage de la boite est assez bien mais pas assez pour tenir les items dès que la boite est sur la tranche, donc on ne veut pas jeter le thermoformage car il est bien, mais la boite est en bordel dès qu'on le trimballe (oui j'ai des vrais problèmes dans ma vie ;) )
Trouvé complet et en bon état sur une brocante pour 7 euros sans trop connaître le jeu.
La bonne surprise!
Je confirme que c'est un très bon jeu. Un jeu abstrait à thème médiéval, certes, mais un jeu tout en réflexion et en finesse.
Je vais lui accorder un 4 car ça fait très longtemps que je n'ai pas joué et je n'ai que deux ou trois parties à mon actif, et je voudrais m'en refaire une idée claire avant de savoir si je monterais éventuellement la cote.
Mais j'en garde de très bon souvenirs.
Etonnamment, je le préfère à 2 qu'à 4.
Cela prouve au moins que l'argument "2 joueurs" n'est pas purement commercial pour une fois !
Matériel de qualité.
Un peu plus de pions "frontière" aurait été de bon aloi, il m'est arrivé une fois d'en manquer.
Il faut construire un fief étendu et bien protégé tout en limitant les opportunités de vos adversaires (ce qui est très frustrant pour eux :p).
Les retournements de situation en fin de partie ne sont pas rares quoique jamais fortuits.
*"Je place 1 frontière ici et 2 là... et ce territoire libre qui représente un tiers du plateau devient mon fief, par ici la monnaie !"*
Richard Cœur de Lion reprend en version plus allégée la première version de Löwenherz.
Malgré la perte de certain paramètre tel que les enchères, le jeu se montre tout de même très plaisant.
Les puristes préfèreront sans doute la première version qui est sans nul doute un grand jeu, mais il serait dommage de trop se focaliser sur la comparaison et de ne pas voir toutes les qualités ludiques de cette seconde mouture.