Un classique désormais incontournable grâce à des règles ultra simples et une mise en place rapide qui font que l'on ressort inlassablement ce jeu et pourtant on l'a acheté l'année de sa sortie il a bien longtemps maintenant ! Indispensable dans toute ludothèque !
Un classique désormais incontournable grâce à des règles ultra simples et une mise en place rapide qui font que l'on ressort inlassablement ce jeu et pourtant on l'a acheté l'année de sa sortie il a bien longtemps maintenant ! Indispensable dans toute ludothèque !
Un classique désormais incontournable grâce à des règles ultra simples et une mise en place rapide qui font que l'on ressort inlassablement ce jeu et pourtant on l'a acheté l'année de sa sortie il a bien longtemps maintenant ! Indispensable dans toute ludothèque !
Un classique désormais incontournable grâce à des règles ultra simples et une mise en place rapide qui font que l'on ressort inlassablement ce jeu et pourtant on l'a acheté l'année de sa sortie il a bien longtemps maintenant ! Indispensable dans toute ludothèque !
Un classique désormais incontournable grâce à des règles ultra simples et une mise en place rapide qui font que l'on ressort inlassablement ce jeu et pourtant on l'a acheté l'année de sa sortie il a bien longtemps maintenant ! Indispensable dans toute ludothèque !
Ultra addictif, on ne s'ennuie jamais, la mécanique du jeu est fluide avec des possibilités très variées pour parvenir à la victoire et malgré tout, rien n'est joué jusqu'au décompte des points!
Il ne manque qu'une chose, un assistant assassin pour zigouiller certains assistants adverses, voir libérer des places dans son propre atelier, je plaisante, humm, quoi que...
Bref félicitations et merci aux créateurs pour cette incroyable réalisation servie par un magnifique design steampunk que j'adore !
Tzolk'in est un gros jeu de gestion qui tente de renouveler le genre avec quelques idées intéressantes.
La présentation avec sa roue centrale et ses engrenages est surprenante et très attractive visuellement. C'est l'élément central du jeu qui lui confère toute son originalité.
Ce procédé astucieux permet de visualiser au fil des tours les revenus, avantages et actions mis à la disposition des joueurs de façon progressive selon la position des ouvriers. La particularité deTzolk'in est que l'on récupère des ressources non pas en posant des ouvriers comme dans la plupart des jeux de ce type mais en les retirant. Plus on attend, plus on temporise et plus l'avantage que l'on en retire est important. Tout ceci pourrait paraître simple si on ne devait pas compter sur d'autres paramètres très contraignant. Il faut nourrir ses ouvriers et les positions que l'on convoite sur cette roue diabolique sont rapidement occupées par les concurrents. Un timing pas si simple à appréhender...
Les multiples façons de marquer des points brouillent les pistes lors des premières parties.
Concernant cet aspect Tzolk'in est une véritable usine à gaz et le jeu demande un certain investissement si l'on veut maîtriser un peu son destin. Il est destiné clairement à un public de joueurs avertis désireux de se creuser les méninges pendant près de 3 heures.
Le jeu semble très équilibré et il faudra comme toujours surveiller ses adversaires de très près pour s'approprier avant eux les bâtiments ou les ressources (limitées!) les plus rentables selon les configurations de partie. L'interaction est donc indirecte mais très présente. Elle donne lieu à quelques grincement de dents (d'engrenages...) au cours de parties toujours très disputées et jamais ennuyeuses.
Les tuiles de départ donnent une orientation pour les premiers tours et change un peu les configurations sans toutefois être déterminantes sur le déroulement de la partie.
L'iconographie est aussi bien réalisée ce qui permet de se repérer assez finalement sur un plateau immense qui comporte de nombreuses indications. On aurait seulement souhaité des graphismes plus attractifs.
Tzolk'in pourra paraître peut-être un peu froid à certains car le thème est vite oublié au profit de mécanismes assez classiques sur le fond. C'est un jeu exigeant et agréablement frustrant qui renouvelle avec originalité le genre notamment par une présentation attirante.
Alors ici pas de place au hasard, il va falloir méchamment réfléchir. Tout calculer, planifier, anticiper. Grâce à ses rouages, il faudra placer ses ouvriers avec intelligence pour récolter les ressources et/ou réaliser les actions tant convoitées. Un thème fort et bien travaillé, aussi bien matériellement que mécaniquement. Tzolk'in est très mathématique, et un mauvais calcul suffit à mettre à plat sa stratégie. Mais le jeu est conçu pour que chaque erreur puisse être réparée sans subir une grosse pénalité. Un magnifique jeu d'optimisation et de placement d'ouvriers, opportuniste à souhait. Un bon jeu expert qui ravira les joueurs les plus tacticiens.
Une ville à construire en agençant au mieux les bâtiments qu’on ira chercher au marché, voilà votre tâche, tout en…simplicité. En réalité pas tant que ça, même si plus le jeu avance plus les choix sont restreints. Les parcs marquent s’ils sont entourés d’édifices différents, et pour le reste, tachez de vous regrouper en quartier ou être adjacent à votre couleur. Ce jeu aurait pu s’appeler copier/coller tant ses mécaniques ont été éprouvées des dizaines de fois entre Carcassonne, Glasgow etc. Sa prise de bâtiment au marché reprend celle de Kingdomino. Cela en fait-il un mauvais jeu ? Non, on peut prendre du plaisir à se triturer la tête pour se placer au meilleur endroit. La version 2 joueurs (2 équipes chacun) n’est pas la meilleure configuration, le dernier à jouer bénéficie d’un effet détonateur qui bloque une tuile et récupère un point de victoire. Un jeu de plus qui offre un beau matériel, un moment agréable si vous n’avez pas de comparaison dans le genre, mais dont on peut se passer, car il y a plus pertinent à disposition.
Un véritable coup de coeur. Au delà du formidable travail artistique, Meadow est un astucieux jeu de collection et de développement. Mécaniquement Meadow ne change rien dans le monde ludique, mais les choix doivent être judicieux. Car les combos peuvent se montrer redoutables, et une carte posée au bon moment peut engendrer quelques points précieux.
C'est fluide, malin, graphiquement sublime, le jeu n'offre que des qualités à mes yeux.
Et il peut même se montrer parfois méchant.
On se laisse transporter par les magnifiques coups de crayon de Karolina Kyak.
Une belle découverte découverte ludique, qui entre assurément dans mon top 10.
Attention, âmes sensibles s'abstenir.
Je vais d'abord essayer d'être objectif et un minimum positif, même si ça m'arrache clairement la gueule (j'avais prévenu).
**Le Havre** est le dernier des rejetons de **Caylus**, même s'il est plus directement le fils d'**Agricola**. Au passage, l'évolution a fait son œuvre : c'est du pur jus de concentré de mécanismes allemands repris de précédents opus, avec une multiplication des possibilités directes qui rendraient totalement jaloux un personnage biblique bien connu.
Donc, ayatollahs du jeu de gestion à l'allemande, **Le Havre** est fait pour vous : plein de cubes et de ressources différentes à combiner, placer et transformer via toujours plus d'actions, de cartes et de constructions différentes. Et ça a l'air de pas trop mal marcher au final.
Ça, c'est fait.
Maintenant, allons-y.
**Le Havre** réussit donc l'exploit totalement sidérant d'être :
* plus froid que le zéro absolu - Thème, matériel, ambiance et même mécanismes. Tout est juste incroyablement glacial.
* plus inélégant et artificiellement gonflé qu'un bodybuilder soviétique à l'époque de l'URSS - C'est juste une caricature tellement tout est poussé au-delà des extrêmes sans aucune recherche de finesse : nombre de ressources différentes, nombre d'actions différentes, nombre de construction différentes...
* moins original que le dernier tube de DJ Oriska - C'est du vu, revu, rerevu, rererevu. Je n'ai pas trouvé le moindre truc un tant soit peu original.
Et en plus, il a le bon gout d'être plutôt long (2h+). Joli sans faute, belle cohérence.
**Le Havre** est pour moi la négation parfaite des notions de jeu, de créativité et d'art. C'est la solution de facilité, le concept éculé pressé jusqu'à la moelle, le tout sans jamais se soucier du côté amusant du résultat ou de savoir ce qu'il peut apporter au domaine ludique.
C'est pour moi un nouveau maitre-étalon, bien utile pour se souvenir de ce qu'il ne faut surtout jamais faire.
Rien que pour ça, il ne mérite pas mieux que la note minimale.
Je m'excuse d'ailleurs par avance auprès des jeux auxquels je mettrai un jour la même note : je ne pense pas qu'ils mériteront d'être mis au même niveau que celui-ci.
**Le Havre** est au jeu ce que McDo est à la gastronomie, TF1 à la culture, Bébé Lilly à la musique ou encore Danielle Steel à la littérature : de la merde.
Il serait vraiment temps de tirer la chasse, parce que là, ça pue.
*1 partie*
N'ayant jamais jouer à Terraforming Mars premier du nom j'avais envie de tester cette version au matériel plus qualitatif. Et bien je n'aime pas du tout les sensations de jeu. Aucune interaction entre les joueurs chacun fait sa popote dans son coin, les cartes sont surchargés d'informations et difficilement compréhensibles bref une partie et je sais que je ne veux pas en faire une deuxième.
Un petit jeu de placement d'ouvriers bien sympathique dans une boîte en métal facilement transportable. Les parties sont rapides et plaisantes mais le jeu nécessite selon moi d'adapter la règle pour l'obtention du jeton premier joueur (si un joueur est déjà premier joueur il ne gagne pas de mint en occupant l'emplacement). En effet sans ça, en fonction des cartes disponibles un joueur peut choisir d'occuper indéfiniment cette position et obtenir un avantage trop important. Il reproduit alors le même tour de jeu pour finir par gagner.