Mystick est un petit jeu très sympathique qui présente l’intérêt d’être parfaitement jouable de deux à cinq joueurs (mais il faut compter l’achat d’une boite pour deux participants).
Les cartes sont très belles et nous changent de l’imagerie habituelle «médiéval fantastique». Si vous aimez les peintres romantiques et les préraphaélites vous serez comblé.
Les mécanismes ne sont pas très originaux et l’on trouve des influences très fortes de Magic l’assemblée et un petit air de César & Cléopatre.
Un des points faibles du jeu reste son prix élevé pour un simple jeu de carte, mais il est vrai que si vous le comparez au prix d’un tarot divinatoire, il n’y a pas une grande différence.
Si les collections de cartes vous rebutent, Mystick semble une bonne alternative.
Les fans des cités perdues se comptent déjà par centaines mais peu connaisssent son grand-frère
Schotten-totten (ou Battle-line (version Us avec 10 cartes en +)).
Une fois de plus, les règles sont simples mais les stratégies multiples et les choix cruciaux.
C'est un très bon jeu pour le public lassé des citées perdues ou pour les fans de jeu de cartes complexe mais non compliqué, malin et de belle ampleur.
Ceci dit je ne le conseillerai pas au débutant, hard-core gamers voici un apréitif de goût et de qualité. A acheter
Les fans des cités perdues se comptent déjà par centaines mais peu connaisssent son grand-frère
Schotten-totten (ou Battle-line (version Us avec 10 cartes en +)).
Une fois de plus, les règles sont simples mais les stratégies multiples et les choix cruciaux.
C'est un très bon jeu pour le public lassé des citées perdues ou pour les fans de jeu de cartes complexe mais non compliqué, malin et de belle ampleur.
Ceci dit je ne le conseillerai pas au débutant, hard-core gamers voici un apréitif de goût et de qualité. A acheter
Michael Schacht a réussi avec ce jeu un pari incroyable : réaliser un très bon et rès vicieux jeu de stratégie jouable en moins d'une heure. A chaque tour on se demande quel est le meilleur coup. Le système de comptage de points est vicieux à souhait : chaque placement de pions vous rapporte des points mais en donne forcément aux autres joueurs. De plus, les conseillers sont en nombre très limité alors qu'il détermine souvent l'issue de la partie : il ne faut pas les gaspiller. Le tout se joue en 45 minutes, ce qui vous laisse le temps de vous venger de votre défaite avec une seconde partie.
En bref, ce jeu est une perle.
Avec Evo, Keyaerts signe un grand jeu (même si la ressemblance avec Ursuppe est frappante) : mécanique simple et logique. Le jeu se joue assez vite et le système d'enchères est génial (quand on joue avec la variante). Les gènes tirés au sort permettent des parties très variées et les cartes (marrantes et très bien illustrées) sont équilibrées et ne perturbent pas trop le jeu (et surtout elles ne décident pas à elles toutes seules de la victoire). Les défauts du jeu existent, bien que ce soit plutot des reproches (souvent dû à Descartes) : pourquoi on ne peut pas jouer à 6 joueurs alors que c'était si simple à faire.
Et ergonomiquement parlant, c'est une HORREUR : le carton qui tapisse le fond de la boite doit être retiré sinon on ne peut pas ranger et la piste de score est inutilisable (je suis obligé de jouer avec celle de Carcassonne). Quand est-ce que Descartes comprendra que l'ergonomie et le pratique c'est important. Mais bon, Evo est un très bon jeu, à découvrir absolument.
Carolus Magnus est un jeu simple et très agréable à jouer.
Les règles sont facilement applicables et les mécanismes plutôt futés.
La plupart des joueurs habitués s’accordent à regretter la trop grande part de hasard qui préside au recrutement des troupes. Mais ce problème peut être facilement contourné (voir fiche).
Il n’en reste pas moins un bel outil pour passer une agréable soirée.
Depuis quelques années, on voit arriver dans le circuit de distribution traditionnel des jeux à portée érotique.
En règle générale, la partie stratégique n’est qu’un prétexte à d’autres réjouissances et Libertin’art n ‘échappe pas à cette règle.
Que puis-je vous en dire de plus ?
L’objectif du jeu est assez explicite, même si la simple lecture de la boite peut laisser penser que l’alibi culturel passe au premier plan.
Mais ne parle-t-on pas des Jeux de l’amour ?
Les amateurs sauront y trouver leur compte…
Isis & Osiris ravira les amateurs de réflexion plutôt que ceux qui recherchent des jeux d’ambiance.
Les puristes regretteront le tirage aléatoire des fiches numérotées. Mais on n’est pas ici au jeu de go. Isis est un jeu plus léger qui fait à la fois appel à la stratégie et la mémoire.
Le jeu semble au départ avoir été conçu pour deux joueurs. Mais la pratique à trois où quatre est aussi réussie, bien que moins contrôlable. Il faut à quatre réagir plus vite au actions des autres puisque le jeu se construit plus vite.
Si vous avez aimé Torres, vous serez ravi par ce jeu qui est plus rapide et plus léger.
Michael Schacht, nous avait déjà offert un excellent jeu de placement avec KARDINAL & KONIG.
Il récidive ici de main de maître avec un petit jeu à emporter partout.
*Additif de décembre 2003*
Isis et Osiris ressort régulièrement sur ma table de jeu et il sert souvent d'apéritif ou de dessert ludique surtout avec des joueurs non-spécialistes. Ca marche toujours, donc pour la longévité il passe de 4 à 5.
Alliant à la fois un jeu de parcours et un jeu d’équilibre, « Mein Lieber Biber » ravira les petits. Le jeu est simple à apprendre mais certaines tactiques nécessiteront plusieurs parties.
Ainsi, un joueur en tête a tout intérêt à faire basculer le plateau.
D’ailleurs, les plus jeunes ne rateront pas une occasion de le faire juste pour le plaisir.
Le format de la boite vous permettra de l’emporter partout.
Utilisant (encore) un mécanisme très proche de « Les cités perdues », ce jeu n’en possède malheureusement pas l’intérêt.
Même, si par rapport à ce dernier, il permet de jouer avec plus de joueurs, le hasard y est tellement présent qu’on ne voit pas comment maîtriser la stratégie. (je suis peut-être passé à coté de quelque chose).
Plus on est nombreux, moins on peut maîtriser. On se prend seulement à espérer de bons tirages de carte et que l’on occupe la bonne place pour récupérer les cartes posées sur les lieux au bon moment.
Ce jeu de carte reste un jeu sympathique, disons pour les 10/15 ans.
Un cadeau d'halloween par exemple...
Doté de jolies illustrations, cette version simplifiée est une bonne initiation au « huit-américain » ou au Uno (qui en est une adaptation déjà simplifiée).
Elle s’adresse au plus jeunes, qui y prendront beaucoup de plaisir.
Evo ressemble beaucoup à Ursuppe, un jeu allemand peu connu mais génialisime et le mécanisme des enchères à Flinke Pinke. Ajoutez à cela une pincée de « La Vallée de Mammouths » et vous aurez une bonne idée de l’ambiance du jeu.
Plus simple que son cousin « Ursuppe », Evo est donc plus facilement abordable.
Même si les dinosaures de la boite, font penser aux Pokemon, ne ratez pas l’occasion d’en faire une partie.
Les tours de jeux sont limpides, les stratégies sont facilement identifiables et la principale difficulté consiste à bien évaluer la puissance de vos adversaires afin de ne pas se laisser distancer.
L’équilibre entre la phase d’enchère qui permet de faire évoluer sa race et les déplacements sur le plateau de jeu principal sont parfaitement équilibrés.
Dès la deuxième partie, je vous conseille d’employer la règle avancée. Celle-ci enlève un gène à chaque enchère. C’est à dire qu’un des joueurs ne pourra rien acheter pendant le tour et les prix des gènes disponibles montent en conséquence. Le jeu y gagne beaucoup et les parties sont encore plus acharnées.
Il existe une petite part de hasard introduite par les cartes d’actions, mais qui conserve l’équilibre du jeu en permettant des rebondissements ludiques.
Keyaerts a réussit le pari de proposer un thème très porteur avec une mécanique simple et très efficace.
J’avais déjà adoré son précédent jeu « Vinci », avec Evo, il se positionne pour devenir un des meilleurs créateurs de jeu du moment. Même si ses jeux reprennent des thèmes déjà exploités, il possède une qualité de synthèse qui donne à ses créations un intérêt essentiel en alliant la simplicité des règles avec la richesse de la stratégie.
Si le jeu paraît simple pour les plus âgés, il confrontera les plus jeunes à un chouette problème : la gestion des cartes afin de ne pas perdre tous ses gains en jouant les bonnes cartes trop vite.
Ici, il faut faire attention à ce que joue les autres joueurs pour ne pas se laisser distancer.
De plus, le fait de ne pas avoir son cochon à soi est une bonne initiation qui permet aux jeunes joueurs de comprendre qu’il faut parfois réviser ses choix dans un contexte qui change régulièrement.
Et puis, pour les plus grands, une course de cochon, ça ne peut pas faire de mal.
Un jeu sympathique pour jouer en famille
Un mécanisme souvent utilisé par Knizia.
Dans Flinke Pinke, il est très épuré et plus puissant.
Dans les Cités Perdues, il est plus abordable.
Grâce aux combinaisons, on peut peut-être considérer que l’aspect stratégique y est renforcé.
**PS :** *Allez je reviens sur ma critique précédente où j'avais assassiné ce petit jeu.*
**PSS :** *Décidément ce jeu n'était pas fait pour moi... Il arrive parfois qu'on se trompe. Plus j'y joue plus je l'aime. Mea Culpa Reiner.*
En voilà une critique de plantée :)
Je crois que c'est une de mes perles... J'aurais pu l'appeler "Comment je suis passé à coté".
Mes premières parties furent lamentables. Je n'avais rien compris. Enfin si, les règles... Elles ne sont pas compliquées mais impossible de comprendre comment avoir une quelconque influence sur le jeu ! Un neurone déficient ? Une absence de neurone dirons les mauvaises langues :)
Et puis voilà que tombent des critiques élogieuses de la part de spécialistes et d'amateurs. Le doute me prend. Je recommence, je rejoue et oh ! Miracle ! La lumière se fait. Depuis ce petit jeu ressort régulièrement chez moi pour mon plus grand plaisir.
Comme quoi, la critique doit être aussi un exercice commutatif...
Un mécanisme souvent utilisé par Knizia.
Dans Flinke Pinke, il est très épuré et plus puissant.
Dans les Cités Perdues, il est plus abordable.
Grâce aux combinaisons, on peut peut-être considérer que l’aspect stratégique y est renforcé.
**PS :** *Allez je reviens sur ma critique précédente où j'avais assassiné ce petit jeu.*
**PSS :** *Décidément ce jeu n'était pas fait pour moi... Il arrive parfois qu'on se trompe. Plus j'y joue plus je l'aime. Mea Culpa Reiner.*
En voilà une critique de plantée :)
Je crois que c'est une de mes perles... J'aurais pu l'appeler "Comment je suis passé à coté".
Mes premières parties furent lamentables. Je n'avais rien compris. Enfin si, les règles... Elles ne sont pas compliquées mais impossible de comprendre comment avoir une quelconque influence sur le jeu ! Un neurone déficient ? Une absence de neurone dirons les mauvaises langues :)
Et puis voilà que tombent des critiques élogieuses de la part de spécialistes et d'amateurs. Le doute me prend. Je recommence, je rejoue et oh ! Miracle ! La lumière se fait. Depuis ce petit jeu ressort régulièrement chez moi pour mon plus grand plaisir.
Comme quoi, la critique doit être aussi un exercice commutatif...
Si vous aimez attendre pendant un jeu, essayez Citadelles. La plupart du temps, vous ne faites que çà : attendre que le paquet de cartes arrive à vous pour choisir votre personnage, attendre que les autres ait joué pour prendre votre ou vos cartes : ça fait déjà 5 minutes que vous savez ce que vous allez faire alors vous attendez que les autres joueurs aient joué le coup qu'ils avaient prévu depuis 10 minutes. De plus, l'interaction se limite à "Je tape sur la gueule de qui ?
Très déçu par ce jeu, je préfère me prendre un peu plus la tête sur son prédécesseur : Verräter
Loïc
Bon, je ne vais pas être très représentatif sur ce coup là !
J'aime vraiment ce jeu.
Les principaux avantages de Top Race sont la simplicité et la grande interactivité entre les joueurs.
Les plus tacticiens d’entre vous regretterons la part aléatoire qu’implique la distribution des cartes.
Pour mon humble part, je dois dire que j’adore ce petit jeu. Purement compétitif, le système d’alliance et de mésalliance se met en place automatiquement car les joueurs sont amenés souvent à des intérêts communs qui évoluent d’une course à l’autre.
Le bluff est également présent, il est très amusant de voir un joueur se retrouver à acheter une voiture qui ne l’intéresse pas, juste parce qu’il a voulu faire monter les enchères.
C’est un jeu très grand public, mais qui offre suffisamment de subtilités pour que tous y prennent du plaisir.
A condition d’aimer les jeux de courses et de paris !
C'est un petit jeu pourtant.
Il y a une bonne part de chance.
Si j'avais voulu être neutre, j'aurais du lui mettre un 3 ou 4 étoiles !
M'en fout ! J'assume !
Un jeu de parcours riche en terme de stratégie et aux règles simples et rapides à appréhender.
Le plateau modulable offre des parties sans cesse renouvelées. Les petits pions sont très mignons (et les cartes aussi) - pas touche les enfants !!
A noter que certains (ils se reconnaîtront peut être) passent trois plombs à réfléchir (on est pas au échec les gars !!).
C'est tout de même un très bon jeu que je recommande vivement. Merci Docteur Mops (jusqu'à présent vous avez été de bon conseil, pourvu que cela dure ...!!).
Voilà un petit jeu sympa, qu'on peut emmener partout et qui assure de bonnes parties de rigolades entre amis.
L'ambiance est assurée. Pouvoir choisir un personnage à chaque tour offre de multiples possibilités. A vous de bien choisir (dans la mesure des disponibilités).
Menace, intimidation, alliance, vengeance, bref tout y est possible. Qui a dit qu'il n'y avait pas d'interaction ?
A prévoir dans votre sac à dos pour la prochaine randonnée cet été.
J’avais depuis longtemps entendu parler en bien de Morgenland. A tel point que Bruno Faidutti l’a élu comme son meilleur jeu de l’année 2000. D’ailleurs c’est lui qui a traduit les règles françaises.
Après l’avoir testé, je ne peux que me plier également à cet avis.
L’ambiance de ce jeu est un pur délice.
Les choix sont nombreux et les interactions entre les joueurs vous entraînera dans des discutions où le bluff, la menace et la cajolerie seront des partenaires précieux.
Je suis beaucoup plus réservé quand à la qualité des illustrations du jeu, mais le matériel est de très bonne qualité.
A consommer sans aucune modération.