-> Avis général :
Un gros jeu de gestion, mais jouissif.
-> Nombre de parties jouées (à la louche) :
5
-> Le matériel (esthétique, maniabilité, autres) :
Yen a qui aime d’autre non, perso je trouve ça nikel, tant que ça reste pratique c’est ce qui compte.
-> Les règles (clarté, humour, illustrations, autres) :
Tendu du string les règles, mais finalement c’est très clair, ce qui l’ait moins c’est l’incidence de nos actions sur le jeu et ça c’est pas évident à déchiffrer, surtout le passage entre les deux époques (canaux -> rail).
-> Moyenne des durées et avis (adaptée, autres) :
Ben je dirais 1h30 à 2h (avec des gens rapides). On ne s’ennuie pas un seul instant toujours à réfléchir au meilleur coup.
-> Les mécanismes (originalité, liaison au thème, interaction, autres) :
Fabuleux, on trouve de l’interaction, le thème est assez bien rendu, les mécanismes sont des petits bijoux, une gestion qui peut suivre différentes stratégies, bref rien à jeté il titille Age Of steam qui reste pour moi indétrônable.
-> Configuration testée/idéale :
On a testé à 3 et 4… fabuleux… une merveille.
Chaque nouveau jeu de Martin Wallace est toujours attendu avec impatience pour savoir si un nouveau chef d'oeuvre va nous être offert ou seulement un bon jeu.
Brass figure dans cette première catégorie, et s'il ne détrône pas Age of Steam, il se taille sans conteste une place de choix au milieu de tous les jeux qui sortent ces temps-ci et qui sont souvent des déclinaisons des mêmes mécanismes à la mode.
Tout d'abord, Brass c'est un thème cher à Wallace, même s'il peut dérouter plus d'un joueur. La révolution industrielle dans le Lancashire, on peut imaginer plus "sexy", n'est-ce pas ? Mais moi justement j'aime beaucoup. J'apprécie de découvrir certaines anecdotes de notre société au travers de jeux, bien plus que de me voir proposer un énième jeu de pirates ou de conquête/civilisation. Ca change, et ça c'est bien.
Et la mécanique ? Elle est redoutable. Elle est simple: j'ai des cartes lieux et des cartes industries. J'utilise une carte pour faire une action, soit sur le lieu indiqué, soit avec l'industrie indiquée, soit une action sans carte (mais j'en défausse une quand même car c'est la carte qui est le symbole de l'action). Et du coup, elle est aussi très malléable. Les cartes nous guident, mais elles ne forment pas un carcan infranchissable qui nous dicte notre jeu.
Le découpage en deux périodes, une de canaux et une de rails, peut paraître artificel au premier abord, comme pour prolonger la durée de jeu, mais il révèle dès qu'on y joue toute sa force. Lors de la première période on se prépare pour la seconde: sur la carte, sur l'échelle des revenus, voire un petit peu d'avancement en points de victoire. Comme un tour de qualification de course automobile qui décidera de qui partira en pole position. Et la vraie course, c'est la seconde période : là on voit si on s'est bien préparé, et les scores n'ont plus rien à voir avec ceux du premier tour. Une troisième période aurait été de trop, et le jeu a donc la durée parfaite.
Certes, on peut trouver le matériel assez peu esthétique, mais ne boudons pas notre plaisir. Il s'agit bien là d'un très bon jeu qu'il serait vraiment dommage de rater si l'on est amateur de jeu de gestion.
Il faut parfois du temps pour découvrir un jeu, et les vacances sont aussi le moment propice pour rattraper un retard. Une partie de Brass jouée juste après Essen mais pas le temps d'approfondir. 8 mois plus tard, j'ai enchainé les parties en une semaine et c'est devenu un gros coup de coeur: Brass fait partie pour moi des meilleurs jeux sortis au dernier Essen.
C'est probablement le Martin Wallace que je préfère car son système d'emprunts pardonne beaucoup plus qu'Age of Steam. Même si on est à la rue niveau revenu ou points, on pourra regagner de la liberté et du potentiel d'actions dans la partie (emprunts que l'on fait allègrement 2 ou 3 fois dans la partie) et on ne s'ennuie pas jusqu'à la fin, même si on va beaucoup pester (surtout moi :P) car l'interaction, du fait des places limitées, est fortement présente. Inutile donc de regarder avant que cela soit son tour de jouer car c'est se faire du mal inutilement (il faut donc tâcher de jouer vite son tour).
Gérer la transition canaux/rails est très intéressante en terme de dynamique, avec 2 développements du plateau bien différents lors des 2 phases en terme de ressenti.
Un jeu comme j'aime!
On est clairement dans du bon gros jeu bien lourd, avec plein de choix difficiles tout le temps, de l'argent qui manque systématiquement, des places qu'on pique aux autres, et des coups de p... à répétition que c'en est rigolo tout plein.
Il est dommage que la règle soit aussi difficile à enregistrer et aussi peu intuitive, en plus d'être rédigée n'importe comment. Le thème n'est pas très sexy mais il sert bien la mécanique du jeu.
Il faut donc se préparer à une entrée en matière difficile, mais une fois lancés, ce n'est plus que du bonheur pour les amateurs de jeux de gestion avec des tuiles, des cubes ressource, de l'argent, une grosse interaction et un thème fort.
*Nombre de parties jouées : 50+,*
Autant l'avouer tout de suite, *Brass* est un jeu que je trouve simplement exceptionnel. Subtil mélange de gestion, de développement et de connexions, *Brass* est un jeu d’une originalité remarquable, et d’une interaction extrême. Chaque choix se révèle décisif, multidimensionnel, avec des conséquences multiples : placement pour s’ouvrir des perspectives de développement et bloquer celle des autres, timing de l’activation des différentes industries, évolution des revenus, approvisionnement global en matières premières, avancement technologique, préparation de la période suivante, anticipation de l’ordre du tour selon l’argent dépensé… Gestion de ses ressources et gestion de l’espace sont ici étroitement imbriqués : impossible d’asseoir sa puissance industrielle sans développer son réseau, impossible de financer son réseau sans de solides revenus industriels.
Pourtant, *Brass* n’est pas réellement un jeu de pure stratégie, puisqu’à l’instar d’un *Tigre & Euphrat* ou d’un *Carolus Magnus*, la pioche de cartes pousse à orienter son jeu selon son tirage, et non l’inverse ; alors qu’il aurait pu être péniblement calculatoire, *Brass* se révèle donc être un savoureux jeu d’adaptation, souvent d’opportunisme, dans lequel il faut sans cesse repenser ses plans et s’ouvrir de nouvelles possibilités ; il n'y a pas de mauvais tirages, seulement des mauvais coups. L’autre très grande force de *Brass*, c’est la magnifique exploitation de son thème, avec des mécanismes qui visent à coller au plus proche de la réalité historique. Un peu comme à *Amun-Re*, le jeu s’étend notamment sous deux périodes de la révolution industrielle, l’ère des canaux et l’ère du rail ; entre les deux, l’avènement du chemin de fer, le déclin des technologies les moins performantes laisse apparaître un nouveau Lancashire, ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre, avec de nouvelles opportunités et de nouveaux défis qu’il faut savoir anticiper.
*Brass* est donc pour moi un jeu d’une richesse rare, aux stratégies variées, et si captivant que malgré des parties un peu longues on a tout de suite envie d’en refaire une. Cependant, comme souvent avec Wallace, il s’agit d’un jeu exigeant, qui nécessitera certainement une partie complète avant d’être apprivoisé, notamment pour le manque de clarté de sa règle et pour ses quelques cas particuliers. Mais le jeu en vaut largement la chandelle, tant il est admirable pour la tension qu’il crée, la cohérence de son thème, et la brillante ingéniosité de ses mécanismes.
J'avoue être un grand fan de Age of Steam de Wallace et donc c'était avec un a priori favorable que j'ai abordé cette première partie.
A la sortie de la partie, force m'est de conclure que j'ai été perturbé au premier abord par la gestion de son réseau fluvial/ferroviaire sur ce plateau. Au contraire de AOS où justement tout l'intérêt de gérer la progression de son réseau ferroviaire à la fois sur le court terme et le long terme, sur Brass l'impression qui ressort est que le réseau progresse aléatoirement au gré des tirages de cartes (il faut orienter la progression de son réseau en fonction des cartes en main de manière opportuniste). L'utilisation des matières premières charbon et fer présente quelques contraintes mais pas tant que cela de sorte que les petits cubes sont en général pris n'importe où sur la carte sans notion aucune de distance ou autre, sinon de donner un coup de pouce à son adversaire quand on utilise une de ses matières.
Sur ma première partie, dans l'ensemble en regardant le plateau à la fin j'avais plutot l'impression d'un grand meli-melo de rails et de bâtiments sans aucune cohésion ni logique.
Après une deuxième partie, et la compréhension de la logique différentes des deux phases (la premiere en construction de canaux, la deuxième en construction de chemins de fer), le jeu parait moins chaotique. Lors de la première phase il faut choisir en fonction de sa première donne de cartes, entre une stratégie de vente de filatures de coton (donc monter en revenus) soit à l'ouest et dans ce cas nécessitant la construction de ports, soit à l'est où il faut être le plus rapide à se connecter au bord de carte pour vendre "à l'étranger", soit enfin une stratégie basée sur les points de victoire en construisant le seul chantier naval de la première phase (et tenter la même chose en deuxième periode).
Lors de la deuxième phase il faut essayer de poursuivre la stratégie initiale du premier tour si on a réussi à conserver un batiment de nv2 implanté dans la zone en question (à l'ouest en construisant l'un des 3 chantiers naval ou à l'est en vendant le plus rapidement ses filatures de coton), ou alors jouer les opportunités de ses cartes. La deuxième phase rend la production de mines de charbons indispensables pour construire des rails, aussi lors de la première phase il faut s'être débarrasser des petites mines de charbon qui sinon vous font perdre un temps précieux en deuxième phase (car il faut de toute façon s'en débarrasser avant de pouvoir construire une première mine de charbon en deuxième phase. C'est important pour ne pas "caler" au démarrage de la deuxième phase.
En deux parties, j'ai vu à chaque fois la stratégie de construction de chantier naval gagner, et aucune fois une stratégie uniquement basée sur la vente de manufacture. Le plus opportunistes lors de la construction des voies ferrées du deuxième tour est sur deux parties jouées le challenger de la victoire face à la stratégie "chantier naval".
Je ne suis pas sûr du renouvellement entre chaque partie car il semble que le nombre de stratégie reste limité et que la part d'opportunisme (et donc de chance) est très grande dans le jeu.
Excellent jeu de gestion de Wallace, ce maître ludique comme dirait mon ami Merlin (dont je vous recommande la lecture de l'avis), qui se déroule en deux "manches".
La première manche représente les débuts de l'industrialisation en Angleterre, la seconde la même période industrielle après l'avènement du chemin de fer.
Jeu assez cérébral, aux règles épineuses, mais qui une fois maîtrisé apporte des heures (comptez min. 2h30) de plaisir, à condition d'aimer réfélchir.
Plusieurs parties sont d'aillerus conseillées avant de pourvoir connaître toutes les ficelles de ce jeu.
Car, au début, on ne sait pas toujours vers où on va.
Ceci dit, à moins d'être geek maladif, ce n'est pas un jeu facile à sortir lors d'une soirée entre amis, on ne peut pas dire qu'il soit très "fun" non plus; je le rappelle, on nage ici la brasse à contre-courant (jeu de mot facile, je l'admets).
Pour ces deux raisons (règles épineuses et public limité), je mettrais un 3/5.
Par contre, dans le genre c'est un must et il mérite son 5/5.
C'est pourquoi je coupe la poire en deux.
Brass est un jeu énorme de par sa mécanique, tout est pesé pensé, mais dans le même temps qu'est-ce qui fait gagner qu'est-ce qui fait perdre ? Je ne sais pas...
Par moment on est paumés, à d'autres on a une vision claire du coup. Beaucoup trop de tactique et pas assez de stratégie pour moi, et surtout surtout bien trop de contraintes non-intuitives !
Un bon jeu auquel je ne m'amuse pas, donc. Quelle ambivalence !
Mouais... J'ai joué une fois.
Je me suis complètement planté et ai fini bon dernier. Je crois que j'ai eu du mal à comprendre les subtilités et comment gagner.
Je mets donc un 2/5 dubitatif... La note sera certainement modifiée après une seconde partie.
Brass m'est apparu compliqué et long. Mais surtout, il me semble que la moindre erreur (même minime) vous met dedans...
A refaire, pour moi.
Un excellent bon jeu de gestion & développement. Seule critique: les règles assez nombreuses détails et en exceptions. On y a joué 4x avant de jouer avec les bonnes règles! De l'autre côté, même avec les règles bancales, le jeu marchait très bien!
Brass est tout simplement le jeu de gestion le plus tactique, le plus interactif, le plus opportuniste et le plus méchant que je connaisse.
L'administration de sa main de cartes est un exercice ludique enthousiasmant, exercice qui n'est pas dénué de stratégie bien que la réussite d'une planification à moyen/long terme ne dépende jamais complètement de notre bon vouloir.
Les activations d'entreprises et leur imbrication étroite avec chaque édifice (à soi ou à d'autres...), les développements, l'ordre du tour, la piste de revenus, la circulation des marchandises, la course dramatique aux emplacements (et la fine gestion des liaisons qu'elle implique), les deux époques, les écrasements, le marché extérieur et les pistes de demande, font de Brass un jeu très riche en possibilités, virevoltant et constamment passionnant, certes moins original qu'un Byzantium mais dont le thème bien que moyennement sexy (le boom industriel et sidérurgique du coton dans le Lancashire) constitue un aspect atypique bienvenu au sein de thématiques bien plus convenues et répétitives (les Romains, les Egyptiens, le Moyen-Age, le Japon, etc.).
Bref, une merveille de plus à mettre au crédit de Wallace qui s'impose de plus en plus comme le génie actuel des jeux de plateau.
Quel jeu !
Alors certes, autant le dire tout de suite, si on veut pas se tromper sur les règles il vaut mieux se faire un dossier complet avec recherches sur internet et épluchage du forum Tric-Trac et c'est très fastidieux ...
... mais une fois que c'est fait, quel pied !
Brass est vraiment passionnant, le jeu est très ouvert et offre de nombreux choix en ajoutant une bonne dose d'interaction !
En plus la rejouabilité semble importante puisque les actions des joueurs influent à chaque tour sur la suite du jeu.
Petit bémol, le tirage des cartes peut parfois limiter les orientations possibles. Mais ça bloque pas tout non plus et le jeu reste vraiment prenant !
Excellent jeux de gestion, les parties sont assez rapides, les mécanismes sont innovants.
Le jeu est assez profond, il faut quelques parties pour maitriser.
Le point noir est cette horrible règle, limite incompréhensible, qui rend l explication laborieuse.
+ Le nombres d'actions possibles ( bâtiments, emprunt, vente, routes, évolution technologique )
+ Le système de détermination du premier joueur
+ Le coté programmation de la gestion de notre mains de cartes
+ Le système d'utilisation des 2 matières premières ( charbon et acier ) : plateau de jeu puis marché
+ Le coté placement de notre réseau ( canaux puis rails ) permettant de construire avec des cartes générique et non de ville
+ Le système d'utilisation des bâtiments ( activé une fois utilisé )
+ Le principe des évolution technologique
Après une partie de ce jeu, et malgré une première partie un peu difficile à jouer compte tenu du fait des nombreux éléments à comprendre, j'ai passer un excellent moment. En rélisant ce que j'ai aimé je me rends compte que j'ai presque parlé de tout les mécanismes du jeu. Bref un excellent moment ludique, à refaire très vite.
Bon, je viens de me lever, j'ai mal au crâne, des poches sous les yeux et une humeur de chien enragé!! Mon cerveau a fonctionné en mode intensif toute la nuit, à fomenter des stratégies et des tactiques qui ont fait de moi (j'ai du me faire virtuellement une partie de 10 heures) un maitre incontesté de ce jeu! Il est véritablement ce que tout joueur passionné et avide de réflexion, interactions, regards blasés des adversaires (et j'en passe...) devrait posséder dans sa ludothèque!! Alors, effectivement, certain pourront dire que l'explication est longue, peu claire sur certains points et casse l'ambiance ce qui dénature l'âme sublimissime de ce jeu! Je n'ai qu'une chose à dire de mon côté: bienheureux ceux qui ont compris, pour les autres, insistez un peu et vous rejoindrez le clan des privilégiés qui ont été bénis par Wallace et son esprit de génie (j'en fait peut être un peu trop là! )
Non, sérieusement, c'est un must et il mérite d'être placé à côté des meilleurs!
Yayaaa, fantastique jeu. Genre comme je l'aime. Mon précédent coup de cœur un peu dans ce genre fut Throught the Age, mais, là, on est encore dans du très bon jeu un peu plus "placement" mais tout aussi gestion.
Aille, mais comment faire pour bien placer la bonne entreprise au bon moment, profiter des actions des autres (ou les empêcher). Franchement un super casse tete économique.
Mais, attention, si vous lisez la règle et en ressortez avec l'impression de "je n'ai rien compris", c'est NORMAL. Elle est ecrite un peu bizarrement cette regle, et meme en la relisant, rien n'y fait, on se sent perdu.
alors, quelques conseilles :
1) Lisez la quand même.
2) Heuu, ben, relisez là.
3) Faite une partie seul avec la règle sous les yeux.
4) Utilisez les aides de jeux qui sont sur ce site pour ne pas rater un truc.
5) faite vous plaisir, ce jeu est terrible.
Pour moi, c'est un des grands jeu de ce début d'année à ne surtout pas rater (comme Medina (Plus Ancien), Marakeche, Throught the Age, Metropolys, Shogun, ...)
Stef
Brass.
Un gros jeu
Un gros jeu bien complexe
Un gros jeu bien complexe avec plein de mechanismes bien huilé, ben trouvé, bien arrangé.
Du Wallace quoi.
Mais voila, pour maitriser ce jeu, il faut quand même un certain quotas de parties, qui durent quand même environs 2h, sachant que toutes strategies pré-établies ne marchera pas.
C'est donc un jeu où il faudra adapter sa main en fonction de l'evolution du plateau et je dois avouer que c'est quand même avec beaucoup de plaisir que j'ai fait mes 3 premieres parties.
Mais voila, la sauce ne prend finalement pas... je suis peut etre d'humeur plus lègere et j'ai besoin de jeus un peu plus simple, moins tarabiscoté... et je ne pense pas que je jouerai a ce jeu de moi même. Je n'aurais donc l'opportunité d'y jouer que dans mon groupe de joueurs, quand la majorité voudra y jouer et non pas de mon propre chef.
Donc un bon gros jeu pour les gros joueurs, qui a beaucoup de qualités, mais si je devais choisir un gros jeu pour jouer, je ne pense pas que celui la sortirai souvent.
Edit: apres ma 4eme partie, je remonte la note à 4. C'est complexe, mais finalement mon humeur semble s'etre fait à ce jeu que j'aime finalement bien
le livret de règle fait peur par sa densité, le plateau de jeu fait peur par sa complexité, mais il faut aller au dela pour trouver un vrai plaisir ludique. Le jeu est interactif, les tours s'enchainent assez vite une fois que les règles sont maitrisées (heureusement il y en a 16 !!) et il y a du suspens jusqu'au bout avec souvent des scores très serrés.
Une vraie réussite