Découvert sur le Flip samedi, nous y avons rejouer plusieurs fois ce dimanche.
Le jeu est agréable, facile à expliquer, la difficulté est progressive et les parties sont courtes (trés courtes). Idéal pour jouer avec celles et ceux qui ne sont pas des joueurs chevronnés et très accessible pour les enfants (à partir de 10 ans).
Tout se joue dans la communication et ce n'est pas si facile ! C'est un bon exercice qui peut être utile pour illustrer la difficulté à donner des consignes claires (pour les managers, par exemple).
Le petit hic est le nombre de cartes : elles sont 16, ce qui est peu compte tenu du prix assez élevé du jeu. Cela me fait craindre une rejouabilité faible, une fois que les joueurs connaissent les cartes... Notons tout de même l'effort sur les maps : graphismes et règles particulières. Ces règles permettent au jeu de ne pas être répétitif si l'on enchaîne les 4 aventures (4 cartes / aventure).
A essayer tout de même, ma fille a adorée :)
je l'apporte systématiquement, et je l'ai conseillé à mes amis qui l'ont acheté aussi... alors pourquoi ?
C'est un petit jeu très sympa. alors pour commencer par un point négatif, les règles sont parfois compliquées à assimiler, on regarde souvent pour comprendre les cartes spéciales, un petit récap individuel aurait été pas mal, là c'est vrai qu'on s'échange souvent le livret de règles.
MAIS ! ca n'empèche pas de prendre beaucoup de plaisir à jouer ! on essaye d'aller le plus loin possible, on prend des risques (ou pas !) on garde des cartes cachées, on jette du bateau celui ou celle qui a trop de points, on se crashe avec plaisir quand on a un jetpack... le jeu est bien équilibré (même si les cartes trésor font intervenir la chance), les dés qu'on relance parfois fonctionnent bien, quel plaisir d'arriver sur la dernière ile !
à 4-5-6 je recommande vraiment (en dessous, je pense que c'est moins marrant mais pas testé)
je l'apporte systématiquement, et je l'ai conseillé à mes amis qui l'ont acheté aussi... alors pourquoi ?
C'est un petit jeu très sympa. alors pour commencer par un point négatif, les règles sont parfois compliquées à assimiler, on regarde souvent pour comprendre les cartes spéciales, un petit récap individuel aurait été pas mal, là c'est vrai qu'on s'échange souvent le livret de règles.
MAIS ! ca n'empèche pas de prendre beaucoup de plaisir à jouer ! on essaye d'aller le plus loin possible, on prend des risques (ou pas !) on garde des cartes cachées, on jette du bateau celui ou celle qui a trop de points, on se crashe avec plaisir quand on a un jetpack... le jeu est bien équilibré (même si les cartes trésor font intervenir la chance), les dés qu'on relance parfois fonctionnent bien, quel plaisir d'arriver sur la dernière ile !
à 4-5-6 je recommande vraiment (en dessous, je pense que c'est moins marrant mais pas testé)
Joué qu'une seule fois mais je ne sais pas si j'ai envie d'y revenir.
Le jeu est fluide et très équilibré. Il y a un peu d’interaction. Le matos est fou. Tout ça dit, je suis restée sur ma faim. Il manquait le truc en plus.
Echoes a le mérite de l'originalité avec son mécanisme de puzzle sonore.
Il faut reconstituer la chronologie d'une histoire à travers 24 petits extraits sonores divisés en 6 chapitres.
Nous avons réussi Le Cocktail en une trentaine de minutes à quatre joueurs sur une petite table.
Le seul critère à prendre en compte est de jouer dans un lieu calme.
A mon avis le jeu est idéal entre 2 et 4 joueurs.
Il nécessite le téléchargement d'une petite application. Aucun de nos deux smartphones, pourtant relativement récents, n'a réussi à complètement la télécharger et nous ne pouvions pas scanner les images. Il nous fallait rentrer un code pour chaque image. Rien de catastrophique mais cela nuit à la fluidité.
Le jeu n'est pas rejouable mais comme rien n'est détruit il est transmissible à d'autres joueurs.
J'ai trouvé l'expérience assez agréable mais pas extraordinaire. Je ne refuserai pas de faire une autre histoire mais je ne l'achèterai pas. Si l'occasion se présente jetez-y une oreille.
Pourquoi ? ca s'explique en deux minutes, on se prépare et c'est parti pour 2min30 de concentration, d'incompréhensions et de rires !
le thème du lapin dans le chapeau est bien abordé, le matériel est joli (une copine trouve quand même que ca fait enfant, mais je suis pas d'accord), les difficultés sont présentées sous forme d'enveloppes surprise à ouvrir, j'aime beaucoup l'idée.
petit point négatif concernant les difficultés, je pense qu'elles ne sont pas toujours bien dosées, certaines de la deuxième enveloppe mériteraient d'être dans la premiere, mais c'est pas bien grave ^^
bref, à plusieurs on s'embrouille, on mélange et on essaye de résoudre le truc, c'est fun, ca va vite, vraiment je recommande ! même ma soeur qui n'aime pas les jeux en coopération a beaucoup aimé ! en plus on peut enchainer plusieurs parties en variant les challenges, franchement bravo et merci !
Spyrium n'a peut-être pas la puissance ronflante d'un Caylus ou d'un Steam, l'envergure d'un Goa ou d'un Mégawatts, mais quelle finesse !
Ma première partie n'est pas exaltante, tout juste agréable. Et puis partie après partie, je découvre les différentes couches qui constituent le jeu. Oh on peut gagner sans mine ! Oh on peut gagner sans usine ! Avec très peu de revenus ! Avec très peu d'ouvriers ! Des stratégies extrêmes, tout ce que j'aime dans un jeu...
Au cœur du jeu, le système d'enchères déguisées en pose d'ouvriers est tout simplement génial.
Avoir foule d'ouvriers n'est pas forcément ultime, car il est souvent bon de passer tôt, auquel cas la moitié de mes ouvriers pourraient s'avérer inutiles.
Et que dire des bonus à 8 et 20 PV ? Encore une idée géniale. Là où dans de nombreux jeux de gestion on a intérêt à garder ses cartouches pour marquer des points sur le tard, Spyrium rend la stratégie inverse viable. Un bon bol d'air ludique !
Autre chose appréciable, Spyrium est le genre de jeu où si l'on vous pique quelque chose sous le nez au premier tour, c'est toute votre stratégie, toute votre partie qui se redessine et il faudra alors vous adapter.
L'équilibre et l'élégance de ce jeu me soufflent.
Le seul bémol concerne le design, très austère et qui peut ne pas donner envie d'y (re)venir.